CHAPITRE
III
LES
APPARITIONS MARIALES
Des
fois,
il suffit d’une petite
étincelle pour provoquer un grand incendie. La
révélation sur la
création du
septième jour que nous verrons bientôt a secoué
toutes les assises de
mon corps
et réveillé aussi mon intellect. La découverte des
démons religieux et
leurs
supercheries sur les stigmatisés et les corps incorruptibles ont
remis
en cause
les fondements de ma foi catholique. Maintenant, rien ne va
m’empêcher
de
douter de tous les phénomènes spirituels qui ne
bénéficient pas du
témoignage
de la Sainte Bible. Rien ne va m’arrêter de douter de toutes les
religions
malgré leurs apparentes formes de pureté et d’innocence.
Ainsi donc,
n’ayant
reçu aucune instruction spéciale de mes hôtes
invisibles, je vois
néanmoins que
les apparitions de la Vierge Marie avec ses grands miracles sont
d’origine
satanique, une nouvelle stratégie des démons religieux.
I.
Introduction
au culte marial
Les
apparitions mariales
Depuis la
résurrection du Seigneur Jésus jusqu’à nos jours,
les apparitions
mariales sont
les plus spectaculaires dans le monde chrétien. Il est difficile
de
donner une
date départ pour les premières apparitions car certains
documents
témoignent
qu’elles auraient commencé du vivant de la Vierge Marie aux
environs
des années
quarante (18). Mais c’est précisément le 27 novembre 1830
que s’ouvre à
Paris,
148 rue du Bac, la première série d’apparitions mariales
qui se
répandra dans
toute l’Europe avant de se propager dans le monde entier. Le XXe
siècle
est
considéré comme le siècle de Marie à cause
de la multitude de ses
apparitions
dans le monde. De nos jours, le phénomène s’intensifie et
les miracles
qui en
émanent sont de nature à sidérer l’homme le plus
sage de ce monde. Ces
apparitions sont sans doute approuvées par le Saint-Siège
de Rome ou
par le
clergé catholique de la localité concernée.
Lorsque la Reine des cieux
apparaît, elle guérit des milliers de malades, donne des
conseils et
des
avertissements sur l’avenir, sollicite la construction de chapelles
à
son
honneur, encourage la prière du chapelet, etc. Tous les
illuminés qui
ont eu le
privilège d’être visités par la mère du
divin sauveur opèrent eux-mêmes
des
miracles et possèdent des dons surnaturels et extraordinaires.
Parmi
eux se
comptent les stigmatisés et les incorruptibles. La Madone occupe
une
place de
choix dans l’église catholique où elle est
vénérée sous des titres
honorifiques
tels que : reine des anges, reine des archanges, reine des patriarches,
reine
des prophètes, reine des apôtres, reine du monde à
venir, Ève nouvelle,
cité de
Dieu, demeure de la sagesse, porte du ciel, refuge des pécheurs,
mère
de
l’église, mère du perpétuel secours… (9).
L’objectif de ce chapitre qui
sera
long et peut-être fastidieux, voudrait démontrer que ces
apparitions
mariales
avec tous les phénomènes inhérents ne proviennent
pas du Dieu
d’Abraham. Il est
une première tentative de démasquer les ruses du diable
qui a fait du
catholicisme un instrument efficace pour la ruine des âmes.
II.
Critique du phénomène et identification de la dame
des apparitions
Durant mon
vagabondage religieux qui m’a conduit à séjourner dans
les différentes
religions et sectes, je peux dire que mes amis Témoins de
Jéhovah et
Protestants n’ont pas réussi à me convertir à leur
religion. Cependant,
les
démons religieux quant à eux, ont réussi à
changer ma manière de
percevoir le
monde. Leurs attaques et leurs fourberies que j’ai réussi
à démasquer par la grâce de Dieu m’ont contraint
désormais à observer
une
discipline infaillible qui me préserve désormais de
l’erreur. Il s’agit
de
comparer toute expérience spirituelle à la lumière
de la Sainte Bible.
Le
filtre le plus rassurant, le microscope le plus puissant permettant de
desceller les ruses et les embûches du malin est La Parole de
Dieu : « Il
est écrit ».
Les mêmes méthodes
utilisées par le Seigneur Jésus face au diable lors de la
tentation au
désert
sont valables pour toute personne cherchant à démasquer
les subterfuges
du
malin. De ce fait, j’utiliserai cette méthode du Christ dans mon
étude
critique
sur le phénomène marial. Si Marie bénéficie
du témoignage de la Bible,
alors
nous ne courons aucun risque d’implorer son assistance.
Cette grande
dame a donné son fils au monde et son fils a créé
une grande religion
et a
offert sa vie en sacrifice pour la rédemption de
l’humanité.
Finalement, comme
tout être humain elle a rejoint ses ancêtres dans la mort
après avoir
mené une
vie simple auprès de son divin fils et des saints apôtres.
Après sa
mort,
l’église catholique déclara en 1950 qu’elle est
ressuscitée et montée
au ciel
corps et âme. C’est cela l’Assomption de la Vierge Marie. Contre
toute
attente,
et sans être annoncée au préalable par la Bible
à la manière dont Jean
le
Baptiste fut annoncé, la Vierge Marie commença à
apparaître partout
dans le monde
et opère des miracles qui émerveillent la science. De
plus, ceux qui
ont eu le
privilège de l’observer pendant les apparitions sont devenus des
célébrités de
leur vivant et même morts, leur dépouille attire des
millions de
pèlerins.
Cependant, il convient de se poser la question suivante : cette dame
des
apparitions, est-elle vraiment la mère de notre Seigneur
Jésus-Christ
ou est-ce
là encore une ruse du diable afin de perdre des âmes ?
Après la chute
de
l’homme dans le jardin d’Éden, Dieu dans sa grâce
incommensurable a
pourvu un
rédempteur qui nous a réconciliés avec lui. Alors,
ces fameuses
apparitions
mariales sont-elles une seconde tromperie du malin dans le but de nous
éloigner
de nouveau du véritable Dieu ? Puisqu’il s’agit de notre
âme immortelle
que le
diable cherche à ravir, alors, endons-la-lui cher. Examinons
sans
complaisance
ces phénomènes à la lumière de la Bible
afin de démasquer si possible,
les
ruses du malin. Si le diable veut réussir à tromper les
chrétiens, il
est de
son intérêt de se présenter à nous sous le
pseudonyme de Jésus-Christ,
de la
Vierge Marie ou d’un saint quelconque du passé. Si le diable a
eu
l’audace
d’attaquer le Christ Jésus, le Verbe de Dieu en utilisant des
passages
de la
Bible, alors, il est capable aussi de nous tromper et de nous conduire
dans
l’hérésie en utilisant tout ce qui constitue les
fondements de notre
foi
catholique. Néanmoins, le Dieu créateur dans sa sagesse
infinie devrait
provoquer des failles afin de nous permettre de le retrouver, de
reconnaître ses
œuvres et de démasquer les manigances du malin.
Dans cette
enquête mariale, l’erreur n’est pas permise ; car s’il y a
erreur, les
conséquences seront éternelles et irréversibles.
Pour ma part, je ne
trouve
aucun problème de critiquer ou de rejeter les apparitions
mariales.
Parce que
le Dieu de vérité ne jettera personne en enfer pour avoir
tenté de le
chercher.
Ce n’est pas votre église ou la Vierge Marie qui sauvera
l’âme
pécheresse. Le
salut s’obtient seulement et uniquement par la foi en
Jésus-Christ. Il
y a
surtout problème lorsque les apparitions mariales sont de type
satanique et que
l’homme, par manque de persévérance ou de connaissance
accepte la chose
et se
laisse piéger par les conspirations du dieu de ce monde. N’ayons
donc
pas peur
d’examiner le phénomène marial avec suspicion car avant
tout, il s’agit
de
notre âme qui se trouve en péril.
Notre
Dame d’Afrique
Assomption de Marie
Marie
Nous savons que Marie
n’était pas du tout
vénérée au premier siècle. Bien sûr,
pour avoir été la mère de Jésus,
elle
était une figure emblématique du christianisme mais elle
n’y jouait pas
un rôle
monumental et le récit de la Bible en atteste. Le culte marial
débuta
précisément au Ve siècle lorsque le concile
d’Ephèse la promulgua au
rang de
mère de Dieu. Ce concile marqua donc la naissance et la
montée en
puissance du
culte marial. Les « grandes Dames » de l’époque,
pour montrer
l’importance du
rôle de la femme dans le salut, saisirent l’opportunité et
firent une
promotion
hors mesure du culte marial. Par la volonté des femmes, Marie
devint
alors un
puissant modèle d’exemple de femme dans l’église et
membre de la cour
de Dieu.
De nos jours elle est un des piliers centraux du catholicisme et aussi
un sujet
de grande controverse dans le christianisme.
Le droit divin
Voici ce que déclare
la loi
de Dieu : « Tu ne
te
fabriqueras aucune idole, aucun objet
qui représente ce qui est dans le ciel, sur la terre ou dans
l’eau sous
la
terre ; tu ne t’inclineras pas devant des statues de ce genre, tu ne
les
adoreras pas… » (Exode 20 : 4 -5). Cette
loi a
été
réitérée dans Deutéronome
4 :
16 que
voici :
« Ne
tombez donc pas dans le péché en vous
fabriquant des idoles, des images représentant des
divinités, des
hommes ou des
femmes…
».
Partant
de
là,
on peut dire sans se tromper
que toutes ces images et statues de la Vierge Marie, de
Jésus-Christ,
des
apôtres, des anges gardiens, etc. sont une violation
élémentaire de la
loi de
Dieu. Apparemment il n’y a aucun problème de décorer sa
maison avec des
images
de son Dieu ou des portraits de certaines personnes qui ont notre
affection. Si
vous affichez une image du Christ ou de sa mère dans votre
chambre,
cela
pourrait être acceptable dans une certaine mesure quand bien
même la
loi divine
l’interdit. Encore faut-il être sûr que ces images sont
authentiques
car
l’étude du saint suaire démontre que les iconographes se
trompent
souvent et
ces images varient d’un pays à l’autre selon les cultures. Par
exemple,
la
Vierge Marie des siècles passés était grosse et
bien potelée. Dans
notre siècle
avec la diète, on la dessine mince et élancée. Il
y a aussi Notre Dame
d’Afrique où Marie est africanisée. Les images de
Jésus-Christ ne se
ressemblent pas du tout et il est fort possible que vous adorez l’image
d’un
Juif quelconque du temps du Christ. Néanmoins cela pourrait
être
tolérable à un
certain degré. Mais lorsque vous vous agenouillez devant ces
figurines
pour dire
une prière, c’est de l’idolâtrie quelles que soient les
excuses
avancées. C’est
exactement ce que nous faisons dans l’église catholique. Une
contradiction des
préceptes de la Bible. Si vous voulez être un vrai
chrétien, vous devez
être
biblique. Autrement, vous risquez de pratiquer un christianisme
adapté
à vos
caprices et le dieu qui vous répondra sera différent du
Dieu d’Abraham.
Le
culte idolâtrique marial n’est rien d’autre que de
l’hérésie.
L’iconographie
est une ruse savamment planifiée par le diable afin de perdre
des âmes.
La
justification du
culte idolâtrique
En 787, le
septième concile œcuménique de l’église catholique
a autorisé la
fabrication
des icônes et le culte idolâtrique des icônes pour le
simple fait que
les
personnes qui y sont représentées furent des êtres
humains ayant
possédé un
corps physique et une âme. Le concile a ainsi annulé
l’ordonnance de
Dieu.
Pourtant, le Dieu d’Abraham a dit : « Par
contre, je leur ai ordonné ceci : écoutez
ce que je vous dis, pour que je sois votre Dieu et que vous soyez mon
peuple.
Suivez exactement le chemin que je vous ai indiqué et vous vous
en
trouverez
bien. » (Jérémie 7 : 23-24). Même
si le septième concile œcuménique a
autorisé de telles représentations graphiques, nous
devons reconnaître
néanmoins que le concile n’a aucun pouvoir, aucun droit, aucune
compétence
légale d’abroger la volonté et les lois de Dieu.
Même le fils de Dieu
en la
personne du Seigneur Jésus-Christ s’est jugé
incompétent devant de
telles
abrogations lorsqu’il déclara : « Ne
pensez pas que je sois venu pour supprimer
la loi de Moïse et l’enseignement des prophètes. Je ne suis
pas venu
pour les
supprimer mais pour leur donner tout leur sens. Je vous le
déclare et
c’est la
vérité : aussi longtemps que le ciel et la terre
dureront, ni la plus
petite
lettre ni le plus petit détail ne seront supprimés de la
loi, et cela
jusqu’à
la fin de toute chose. » (Mathieu 5 : 17-18).
Vous voyez, les mêmes lois
rudimentaires du temps de Moïse sont toujours en vigueur et
attestent
que
l’iconographie est une déviation, une forme moderne
d’idolâtrie.
Peut-être
que
c’est le concile œcuménique qui a fondé le christianisme
et peut donc
s’approprier le droit de tronquer les lois de Dieu. Dans le cas
contraire, il a
trouvé les choses telles et n’a aucune compétence
constitutionnelle
divine de
les remanier surtout que ces restructurations sont aux antipodes des
préceptes
de Dieu clairement griffonnés dans la Bible sous le titre
« les dix
commandements. » Ma démonstration n’est pas guidée
par un excès de
zèle. Ce
n’est pas non plus du fanatisme aveugle ni de l’extrémisme
religieux,
mais
simplement un constat amer et douloureux de la violation du droit divin.
Le Pape
protestant ou le réveil de la conscience catholique
Aux environs
des années 610, une voix criait dans le désert : «
Il n’y a pas de Dieu
sauf
Allah. » C’était la voix triomphante du prophète
Mahomet qui annonçait
la
naissance de l’Islam. Cette nouvelle religion monothéiste qui
considérait les
représentations graphiques des êtres célestes comme
une forme
d’idolâtrie
connut dès sa naissance un succès fulgurant qui
menaçait de phagocyter
le
christianisme. Le Pape Léon V se posa alors une question :
« Pourquoi
le
christianisme connaît-il un échec cuisant devant cette
religion ? » Il
consulta
Les Saintes Écritures et s’aperçut que les images et les
icônes sont
une
déviation spirituelle, une forme d’idolâtrie moderne et un
culte
blasphématoire
au Dieu très haut. Il fut convaincu que la naissance de l’Islam
était
une
punition de Dieu sur les chrétiens parce qu’ils remplissaient
leurs
maisons et
leurs églises d’idoles et qu’ils se prosternaient devant ces
statues
pour
adorer. Une prostitution spirituelle proscrite par le Dieu de la Bible.
Par conséquent,
en 815, il envoya des troupes militaires partout dans le royaume pour
détruire
icônes, statues et images de Jésus-Christ, de Marie et de
tous les
saints. Ce
fut fait mais non sans résistance car beaucoup choisirent de
mourir
pour
défendre leurs icônes. L’iconographie est donc possessive.
Mais trente
ans plus
tard, l’iconographie fit un retour en force grâce à
l’empereur Théodore
qui le
restaura officiellement en 843. Pour elle, les icônes sont un
acte de
foi et
non de l’idolâtrie (11). De nos jours, l’église catholique
enseigne que
les
icônes sont des supports visuels qui aident à prier. Ainsi
donc, nous
avons
trouvé une porte de sortie et une bonne excuse pour contester
les lois
de Dieu.
Les mosquées, les synagogues et les autres églises
chrétiennes ont
débarrassé
leurs lieux de prière de toutes images qui pourraient être
considérées
comme
des idoles. C’est ainsi que Dieu l’a voulu. Mais dans certaines
églises
catholiques richissimes, des fois, il y a plus de statues que de
fidèles.
Dans les
synagogues,
les mosquées et les églises chrétiennes, seul le
nom de leur Dieu et de
leur
prophète sont mentionnés pendant leurs prières.
Mais, nous, les
catholiques,
nous invoquons le nom de notre Dieu Jéhovah et de son
prophète Jésus.
Ce qui
est juste. Mais nous invoquons aussi la mère de
Jésus-Christ, le père
adoptif
de Jésus-Christ, les anges de Dieu ainsi que des milliers de
saints et
toujours
nous trouvons des excuses pour ce culte non biblique.
Les lois de
Marie contre celles de Dieu
Lors de son
apparition le 27 novembre 1830, la Vierge Marie a donné les
instructions
suivantes à la voyante : « Faire frapper sur des
médailles les images
de cette
apparition de sorte que toute personne qui porterait ces
médailles
recevra
d’abondantes grâces ». Ce fut le commencement du culte
idolâtrique. Une
violation manifeste de la loi de Dieu clairement écrite dans la
Sainte
Bible.
Le projet connut alors le jour et la médaille fut
baptisée « la
médaille
miraculeuse. » De 1832 à 1837, plus de dix millions
d’exemplaires
furent
vendus. Jusqu’en 1876 plus d’un milliard de médailles furent
vendues ou
distribuées dans le monde entier. De nos jours, la
planète terre est
envahie
par les statues de la Vierge Marie.
Lorsque vous
visitez la chapelle des apparitions mariales au 148 rue du Bac à
Paris,
vous
observerez une majestueuse et impressionnante statue de la Vierge Marie
devant
laquelle s’inclinent des milliers de personnes en quête de
grâce.
Autour de
cette statue, une inscription s’y trouve, invitant le monde entier
à
venir
adorer devant cette idole afin de recevoir d’abondantes grâces.
J’y
suis allé
six fois me prosterner. Ceux qui ne peuvent se rendre à Paris
prennent
le soin
de placer un duplicata de cette statue devant eux pendant la
prière.
Cette pratique
est observée dans le monde entier où les catholiques se
retrouvent pour
leurs
prières. Cela est une invitation à l’idolâtrie pure
et simple et
personne ne
s’en aperçoit. La mère de Dieu, peut-elle violer les lois
de son Dieu ?
Non. La
vraie mère du Jésus-Christ, la fille de Sion, la fille
aînée de la
Jérusalem
céleste ; Marie, l’illustre et très haute reine des cieux
; Marie,
l’avocate
plénipotentiaire des causes impossibles et
désespérées ; Marie, une
juive
d’origine, soumise en tout à la volonté de Dieu ne fera
pas cela.
La
médaille
miraculeuse fut précédée cinq cent
soixante-dix-neuf ans par le
scapulaire brun
du mont Carmel. Tous deux, comme des talismans ou des fétiches
doivent
être
portés par les fidèles catholiques en quête de
grâces. Notre bien-aimée
mère,
la très Sainte Vierge Marie, le rosier du printemps, le lys
éclatant de
blancheur est une femme juive qui sait et comprend que tailler des
sculptures
ou des images qui lui ressemblent est proscrit par la loi juive et
constitue
une violation grave de la loi de Dieu. Elle, la mère du Seigneur
n’a
point
adoré d’images ou d’idoles de son vivant. Il n’y a aucune raison
qu’elle le
fasse après sa mort ou qu’elle encourage une multitude à
enfreindre
cette loi
de Dieu. Par conséquent, l’identité de cette femme qui se
présente sous
le nom
de la Vierge Marie est à revoir. Ces manifestations ne sont pas
logiques, elles
s’opposent à la raison et aux prescriptions du Dieu de la Bible.
Il y a
de
fortes chances que cette femme qui nous apparaît sous le nom de
la
Vierge Marie
soit plutôt une simulation du diable qui se fait passer pour
notre
adorable
mère. Un vol d’identité. Un démon qui se
présenterait comme un ange de
lumière
dans le but de nous tromper dans notre espérance. Le Dieu vivant
s’est
démarqué
des idoles en prenant une position intransigeante et je vous exhorte
à
graver
cela dans votre mémoire. Voici la position du Créateur : «
Je suis le
Seigneur, tel est mon nom. Je
ne laisse pas à
d’autres la gloire
qui me revient, ni aux
idoles l’honneur qui m’est dû. » (Isaïe
42 : 8). Par
conséquent, le respect
sacré que nous avons pour ces idoles, les prières et
louanges qui leur
sont
adressées ne montent pas vers le Dieu très Haut.
La
médaille miraculeuse
Le
scapulaire du Mont Carmel
Moïse
fut une
grande figure du judaïsme. Ses yeux ont observé d’une
manière
quelconque le
Maître de l’Univers. Il a reçu de Dieu les dix
commandements (six cent
treize
commandements en réalité) pour sa nation et pour nous.
Moïse a-t-il
fait
tailler l’image du Dieu vivant sur de la pierre ? Les Juifs ont-ils
taillé des
statues de Moïse ? Selon la Bible, Dieu lui-même, sous une
apparence
humaine
est descendu sur le mont Sinaï afin de prendre un repas avec les
soixante-dix
anciens des tribus d’Israël (Exode 23 : 9-11). Ont-ils
représenté ce
Dieu
vivant par des images, par la sculpture ou de la peinture ? Les hommes
célèbres
de l’époque de Jésus-Christ faisaient tailler leurs
bustes afin
d’éterniser
leur image. Mais le Seigneur Jésus, s’est-il fait
représenter par une
figurine
quelconque ? Aucun des serviteurs de Dieu (roi ou prophète) n’a
violé
ce
précepte de Dieu. Seule la Vierge Marie des apparitions et
l’église
catholique
transgressent cette loi de Dieu et cela est très
préoccupant pour un
chrétien
qui veut marcher selon les prescriptions de son Dieu.
Le Dieu
d’Abraham n’a pas voulu être représenté par un
objet quelconque. Par
contre,
les divinités païennes, les dieux égyptiens, les
dieux de l’Inde, etc.,
ont été
représentés par des idoles devant lesquelles se
prosternent leurs
fidèles. En
matière de représentation graphique des êtres
célestes, les icônes et
les
statuettes de maman Marie sont en tête de liste de par leur
nombre et
diversité. Cela ne relève pas de la volonté de
Dieu clairement définie
dans la
Sainte Bible. Cela fait de nous de vrais idolâtres tels que les
peuples
de
l’Inde et d’Égypte qui adoraient leurs dieux à partir de
sculptures.
Dans le
monde
entier où les catholiques se rassemblent, (surtout à
Lourdes) les
statuettes de
Marie sont revêtues de somptueux vêtements et
portées en procession.
Les
fidèles catholiques accompagnent ces statuettes avec des
chansons et
leur
jettent des fleurs exactement comme font les Hindous avec leurs dieux.
Pour
cela, il n’y a pas un mot plus juste pour qualifier nos processions
mariales ou
celui du saint sacrement : l’adoration d’un objet qui n’est rien
d’autre qu’une
forme raffinée d’idolâtrie.
Si
vous permettez, je dirais que la seule idole
que Dieu a permis de forger fut le coffre sacré (l’arche de
l’alliance
en or)
qui contenait la manne, les tableaux des dix commandements, les
écrits
de
Moïse, le bâton d’Aaron qui avait fleuri, etc. (Exode 25 :
10-22 ;
Hébreux 9 :
4-5). Deux anges s’y reposaient de sorte que leurs ailes se touchaient.
Même
là, aucune instruction ne fut donnée de se prosterner
devant ce coffre
quand
bien même il était souvent rempli de fumée, de la
gloire de Dieu. Ce
détail
nous aide à comprendre que le fait d’adorer le saint sacrement
n’est
pas
biblique à l’origine.
Le
coffre de l’alliance
Le Saint Sacrement
La Bible dit
:
« Ainsi,
frères, nous avons la liberté d’entrer dans le lieu
très saint grâce
au sang du sacrifice de Jésus. » (Hébreux 10 : 19).
Mais
en tant que
catholiques, nous trouvons que Dieu est sacro-saint et qu’il est mieux
de
passer par Marie, oubliant que Dieu s’est fait homme et qu’il a
marché
parmi
nous. La Bible enseigne qu’il y a un seul Dieu et un seul
médiateur
entre Dieu
et les hommes en la personne du Seigneur Jésus-Christ (1
Timothée 2 :
5) mais,
nous, les catholiques, nous confessons que la Vierge Marie est aussi
médiatrice
et même co-rédemptrice, ayant participé à
l’œuvre du salut des hommes.
Ainsi,
sans le dire, nous avons divinisé cette dame par amour.
L’humilité
de
notre mère
Lorsque le
divin ambassadeur, l’archange Gabriel annonça à Marie
qu’elle sera la
mère du
sauveur, elle répondit : « Je
suis la servante du Seigneur ; que tout se
passe pour moi comme tu l’as dit. » (Luc 1 : 38).
Comme vous le constatez,
dès les premiers instants où le ciel entra en contact
avec notre
bien-aimée
mère, elle précisa son credo et son plan d’action : la
soumission à la
volonté
de Dieu, son engagement à servir Dieu dans l’humilité. En
effet, durant
sa vie
sur terre, selon le rapport des quatre évangiles, elle
accompagna son
fils et
prit soin de lui à la manière d’une servante sans jamais
s’imposer.
Telle est
l’image que nous a laissée notre tendre mère. Mais la
femme puissante
qui
apparaît sous le nom de la Vierge Marie réclame
toujours que
l’on bâtisse en son
honneur des églises. Elle s’offre donc les basiliques les plus
somptueuses de
la planète et les chansons composées en son honneur sont
les plus
mélodieuses.
À la manière des divinités égyptiennes et
indoues elle réclame à être
représentée par des statues, des images, des
médailles, des icônes,
devant
lesquelles elle invite les fidèles à se prosterner. Il y
a des jours de
fête en
son honneur (le 15 août), le mois d’octobre est
entièrement consacré à
Marie et
les fidèles catholiques du monde entier, à cette
période, récitent le
chapelet
dans leurs églises, dans les groupes de prières, en
prenant soin de
placer
devant eux une représentation de la Vierge Marie…
Où se
trouve
alors l’humilité de notre mère lorsqu’elle se fait
ériger des
basiliques
somptueuses ? Pourquoi des basiliques en son honneur et pourquoi pas
seulement
en l’honneur de son divin fils Jésus ? Pourquoi est-elle au
centre de
toutes
ces manifestations religieuses alors que nos regards devraient
plutôt
être
orientés vers son fils ? Où se trouve l’humilité
de la Mère du
perpétuel
secours, lorsqu’elle viole les préceptes de Dieu en se faisant
adorer
par les
icônes ? De son vivant, et même après sa mort, le
Seigneur Jésus n’a
jamais
demandé la construction d’une église en son honneur. Mais
pourquoi la
Vierge
des apparitions fait-elle le contraire ? À qui revient la gloire
? À
Dieu ou à
Marie ? Pourquoi rivalise-t-elle d’ardeur avec Dieu en se faisant
vénérer et
adorer ?
Parlant
de
sa naissance, en tant que fils de Dieu, le Seigneur Jésus aurait
pu
naître dans
un endroit célèbre de la Rome antique. Mais il choisit de
naître dans
une
étable, dans la mangeoire d’un animal. Dans sa naissance comme
dans sa
mort, il
s’est fait très petit, il est descendu très bas. À
la naissance du
petit Jésus,
la Sainte Famille de Nazareth n’a pas réussi à immoler un
mouton pour
la
consécration de leur premier né à Dieu. Le couple
était très pauvre et
ils ont
simplement offert deux tourterelles. C’est ainsi que Dieu l’a voulu. La
pauvreté, la simplicité, l’humilité. Depuis
l’Ancien testament jusqu’à
nos
jours, lorsque Dieu le père apparaît ou lorsque son fils
Jésus se
manifeste, ou
lorsqu’il envoie ses anges, nous remarquons qu’ils sont toujours
vêtus
de
simples robes blanches. Toujours dans la simplicité. Mais cette
dame
qui
apparaît sous le nom de la Vierge Marie est toujours
revêtue de
précieux
manteaux de Reine. Elle porte des couronnes en or et selon Myrna
Nazzour, «
elle brille de mille feux comme du diamant ». Dieu accorde-t-il
une
importance
à l’accoutrement ? Les corps glorieux qui ont fait
l’expérience de la
résurrection, ont-ils encore besoin de se parer de
précieux vêtements
multicolores comme ceux de la Dame des apparitions ? Le Seigneur
Jésus
de son
vivant, ou son précurseur, Jean le Baptiste, ont-ils
accordé la moindre
importance à l’accoutrement ?
Lorsque nous
reprochons au clergé catholique la grande attention
accordée à Marie,
on nous
répond que Marie est simplement vénérée
dans l’église catholique alors
que
l’adoration est réservée au Dieu très Haut.
Pourtant, lorsque vous
visitez les
sites des apparitions mariales vous constatez que c’est plutôt
Marie
qui est
adorée et que le bon Dieu reçoit très peu
d’attentions. En effet, pour
l’Europe
de l’Ouest plus de soixante-cinq pour cent des églises
catholiques sont
concentrés sur le culte marial et plus de cent millions de
pèlerins
chaque
année visitent ces sites mariaux
L’immaculée
conception
La doctrine
de
l’immaculée conception est un enseignement de l’église
catholique
depuis 1854
qui affirme que la mère du Seigneur Jésus serait
née pure et exempte de
tout
péché. Ceci serait une grâce spéciale de son
divin fils qui l’aurait
préservée
de toute souillure depuis le sein maternel.
Pourtant,
Marie notre mère, l’étoile radieuse du matin, a
reconnu qu’elle est une pécheresse comme tout être humain.
En effet,
dans
l’évangile de Luc, elle considère Dieu comme son sauveur.
Pourtant,
ceux qui
sont exempts de péchés sont saints et n’ont besoin
d’aucun sauveur. Le
sauveur
est pour les pécheurs. Écoutons maman Marie : « De
tout mon être je
veux dire la grandeur du Seigneur, mon cœur est plein de joie à
cause
de Dieu
mon sauveur. » (Luc 1 : 46). Par
conséquent, cette doctrine de l’immaculée
conception n’est pas biblique encore moins une doctrine
chrétienne.
La
prière du
Seigneur
Un jour, les
disciples du Seigneur Jésus lui dirent :
« Maître, apprends-nous
à prier comme Jean l’a appris à ses disciples. Il leur
dit : lorsque
vous
voulez prier, dites : notre père qui est aux cieux… ». À
cette époque, l’ange
Gabriel avait visité Marie il y avait environ trente ans. Il
était donc
possible de composer la prière mariale intitulée
« Ave
Maria ». Si cette prière mariale était
nécessaire ou même utile, le
Seigneur
l’aurait enseignée à ses disciples. Si la prière
mariale intitulée «
Salve
Regina » était importante pour nous rapprocher de Dieu, le
Seigneur
Jésus
l’aurait mentionnée. Même si ce fut une omission de sa
part, l’apôtre
Paul nous
l’aurait enseignée. Mais nous constatons qu’une prière
qui impliquerait
Marie
ou un saint du passé ne fut enseignée ni par le Seigneur
ni par ses
apôtres.
Paradoxalement, le Seigneur Jésus a interdit toute prière
répétitive et
c’est
exactement ce que nous faisons dans la prière du rosaire
où le « Je
vous salue
Marie » est répété cent cinquante fois dans
une brève période de trente
minutes. Si vous dites trente rosaires par jour comme nous avions
l’habitude de
le faire, cela donne un total de quatre mille cinq cents « Ave
Maria »
en un
jour de prière. C’est précisément de telles
répétitions que le Seigneur
Jésus a
proscrites.
Depuis la
création de l’homme jusqu’à la venue du sauveur, deux
types de prière
furent
enseignés : la prière des psaumes que le Seigneur
Jésus lui-même a
récitée et
le « Pater Noster » qu’il a aussi enseigné. Toutes
les autres formes de
prière
doivent faire l’objet d’une grande méfiance si nous voulons
marcher
dans la
volonté de Dieu. Si vous voulez prier, ouvrez votre cœur et
parlez à
Dieu tout
comme on parle à son père. La récitation d’une
formule composée n’est
pas
l’expression du cœur. Par expérience, je sais que la
répétition
rabâchée des «
Ave Maria » ouvre des portes qui permettent aux démons de
prendre
contrôle de
vos pensées et de bien s’installer dans votre corps. Une fois
qu’ils y
sont,
alors commencent les visions accélérées, les
apparitions, la prophétie,
etc. À
mon avis, ces Ave Maria répétés ressemblent
beaucoup aux tantras
hindouistes.
L’opposition
du Seigneur Jésus
Un jour,
quelqu’un annonça au Seigneur Jésus : « Écoute,
ta
mère, tes frères
et tes sœurs sont dehors et ils te demandent. ». Jésus lui
répondit :
« Qui est ma mère
et qui sont mes frères ? » Puis il regarda les gens assis
en cercle
autour de
lui et dit : « Voyez, ma mère et mes frères sont
ici. Car celui qui
fait la
volonté de Dieu est mon frère, ma sœur ou ma mère.
» (Marc 3 : 32-35). Un
autre jour, quelqu’une lui
dit :
« Heureuse est la femme qui t’a porté en elle et qui t’a
allaité.
» Mais Jésus lui répondit
: « Heureux
plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la
mettent en
pratique ! » (Luc 11 : 27-28). Il
n’y a rien d’injurieux dans ces passages et
la deuxième phrase est plutôt un éloge à
l’égard de Marie et de son
divin fils.
Mais contre toute attente, le Seigneur Jésus rétorqua ses
interlocuteurs par
une leçon qui peut être résumée de la
manière suivante : « N’accordez
d’importance ni à ma mère ni à ma famille mais
plutôt, écoutez La
Parole de
Dieu et mettez-la en pratique ». Dans ces passages vous
conviendrez
avec moi
que le Christ n’a pas répondu favorablement à la
requête de sa mère qui
attendait de le voir. Dans ce cas, le fait d’enseigner que Marie est la
mère du
perpétuel secours et avocate plénipotentiaire des causes
impossibles et
désespérées est un mensonge. Aussi, ce passage
laisse croire que le
Christ
prévoyait qu’après lui, une tierce personne utiliserait
frauduleusement
le nom
et l’identité de sa bien-aimée mère pour faire des
miracles et égarer
des âmes.
Il a eu le flair, le pressentiment des erreurs à venir et a
tenté de
nous en
préserver en nous recommandant vivement de nous
référer toujours aux
enseignements de la Bible. En effet, de son vivant, du temps de son
fils, notre
adorable mère, la très Sainte Vierge Marie n’a
opéré aucun miracle.
Comme
toutes les femmes juives de l’époque, elle n’avait aucune
autorité et
devait
garder le silence en public. Seuls le Seigneur Jésus et ses
apôtres
opéraient
les miracles. Après la mort du Christ, qu’il soit
ressuscité ou
pas, c’est justice s’il réapparaissait pour accomplir des
miracles.
C’était une continuation logique de son œuvre. Cela me semble
donc mal
placé et
même contradictoire de constater que c’est plutôt sa
mère qui apparaît
pour
opérer des miracles extraordinaires après sa mort.
Les
instructions prémonitoires du Christ
Le seigneur
Jésus disait : « L’antéchrist est
déjà à l’œuvre. Il fera de grands
miracles,
même à faire tomber le feu du ciel pour tromper les
élus s’il était
possible ».
Aujourd’hui, toutes les églises chrétiennes à
l’humanité absolue sont
d’avis
que nous vivons les temps de la fin. Tout chrétien attend d’un
moment à
l’autre
la venue du Christ et l’enlèvement de l’église qui
marquera le début de
la
tribulation de sept ans. Après cela, le Seigneur Jésus
descendra du
ciel avec
les rachetés afin d’établir sur terre le règne
millénaire. Il est donc
juste de
se demander : où se trouve donc la réalisation des œuvres
de
l’antéchrist tant
prédit par le Seigneur ? A-t-il menti ou s’est-il trompé
? Toutes les
apparitions mariales avec les grands miracles qui les accompagnent me
paraissent suspectes et pourraient être l’œuvre du malin dont le
Seigneur de
gloire nous a parlé d’avance. En effet, de toutes les
églises
chrétiennes ou
soi-disant chrétiennes, l’église catholique seule est
bombardée des
apparitions
mariales avec des miracles époustouflants. Prenons l’exemple du
miracle
sur la
danse du soleil le 29 octobre 1917 à Fatima (Portugal). Il y
avait en
ce jour
près de soixante-dix mille personnes de toutes les classes
sociales y
compris
des médecins et des journalistes portugais qui étaient
venus critiquer
les
apparitions. Tous ont été témoins de ce que les
paysans ont appelé « la
danse
du soleil ». En effet, les témoins et la presse certifient
que le
soleil s’est
décroché du ciel et est descendu sur terre en faisant des
zigzags et en
tournoyant vivement sur lui-même. Alors, la nature et tous les
témoins
de ce
miracle étaient couleur arc-en-ciel. Puis, faisant semblant
d’écraser
les
pèlerins, le soleil a regagné sa position au ciel sans
nuire à
personne. Par la
suite, des miracles de guérisons spectaculaires ont
été observés. Pour
ma part,
la danse du soleil a bel et bien eu lieu et je pense que cela concorde
parfaitement aux avertissements du Seigneur Jésus sur le diable
qui
fera tomber
le feu du ciel en présence de tous les hommes (Apocalypse 13 :
13).
La
foule observant la danse
du soleil
Nous savons
grâce aux recherches scientifiques que le soleil est né de
l’explosion
d’une
supernova. Cette explosion a projeté les débris de terre
dans un double
mouvement circulaire et rotatoire. Par la suite, ces débris de
terre,
par la
force des mouvements de rotation et par fusion ont donné
naissance à
toutes les
planètes du système solaire. Le soleil, se trouvant au
centre de toutes
ces
planètes les maintient sur orbite grâce à
l’énergie qu’il dégage. C’est
cela la
loi de l’attraction universelle (12) et selon le docteur Richard
Feynman (le
cerveau de la bombe atomique), cette énergie qui maintient les
planètes
sur
orbite est un mélange d’électromagnétisme et de
quantum mécanique
(quantum
électrodynamique). Ainsi donc, nous savons qu’il est impossible
au
soleil de
quitter son orbite pour danser sur terre et remonter au ciel. Si cela
arrivait,
les autres planètes quitteraient aussi leur orbite et pourraient
s’entrechoquer, et ça sera la fin du monde. Il n’y a qu’un seul
soleil
et s’il
avait dansé, la moitié de la planète s’en serait
rendu compte. Mais
rien de tel
ne fut reporté à l’échelle mondiale. On peut donc
dire qu’en réalité,
la danse
du soleil à Fatima était une simulation, une œuvre de
puissance du
malin.
Le site
Internet Youtube propose des enregistrements vidéo sur la danse
du
soleil
(Medjugorje). Lorsque vous visionnez attentivement ces vidéos
avec
l’oeil du
vingtième siècle, vous vous rendez compte que ce miracle
était tout
simplement
un phénomène ufologique. Une savante orchestration des
ovnis pour la
ruine des
âmes.
Pourquoi
Marie
?
Pourquoi la
Vierge Marie fait-elle danser le soleil ? Pourquoi une telle
démonstration de
force de sa part ? Le Seigneur Jésus a-t-il fait danser le
soleil afin
de
démontrer que c’est lui, le fils de Dieu tant attendu ? Non. Vu
l’importance de
la mission du Seigneur pour l’humanité, il lui était
nécessaire de
convaincre
les hommes de son époque qu’il était le sauveur en
accomplissant des
miracles à
faire danser le soleil. A-t-il perturbé le mécanisme des
astres afin de
s’attirer l’attention des hommes dans le but de sauver leurs âmes
?
Pourquoi
n’a-t-il pas secoué les planètes pour démontrer
que c’est lui, le
créateur de
cet Univers impressionnant ? De telles méthodes seraient
pourtant très
efficaces pour la conversion des pécheurs. Eh bien, il ne l’a
pas fait
parce
qu’il les a créées de manière à ce qu’elles
ne puissent pas danser.
Celui donc
qui fait danser ces planètes opère un faux miracle, une
puissante
illusion qui
échappe au contrôle de nos cinq sens.
Lorsque
Satan
dit au Seigneur Jésus : « Si
tu es le Fils de Dieu, ordonne à cette
pierre de se changer en pain. (Luc 4 : 3). A-t-il
opéré ce miracle ?
Non. Pendant son agonie sur la croix, Satan réitéra ses
attaques en
utilisant
une tierce personne et les mêmes propos : « Si
tu es le Fils de
Dieu / si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même / Que le
Messie,
le roi
d’Israël descende maintenant de la croix ! Si nous voyons cela,
alors
nous
croirons en lui. » (Mathieu 27 : 40 ; Luc 23 : 37 ; Marc 15 : 32).
Le Seigneur Jésus est-il
descendu de la croix afin de confirmer son identité ? Bien
sûr que non.
Il sait
qu’il est le Fils de Dieu sans l’ombre d’un doute. Par
conséquent, il
n’a pas
besoin de le démontrer. La mission et l’humilité du Fils
de Dieu ne lui
permirent pas de condescendre aux requêtes du malin. Mais cette
Dame
qui se
présente sous le nom de la Vierge Marie, sans qu’on ne lui
demande quoi
que ce
soit, secoue les astres.
L’apparition
Les
voyantes
Lucie, l’ultime voyante
Le
miracle des flammes
Dans
l’église
catholique, on raconte que plusieurs fois des incendies ont
consumé des
maisons. Mais curieusement, les images de la Vierge Marie qui s’y
trouvaient
n’ont même pas été effleurées par les
flammes. Lorsque nous demandons
le sens
de tels miracles du feu, on nous répond que c’est Marie qui a
écrasé la
tête du
serpent et c’est pour cette raison que les démons ont un respect
sacré
pour
elle. En effet, dans l’église catholique, Marie porte le titre
de «
terreur des
démons ». De même, lorsque vous rentrez en contact
avec les esprits
méchants,
parlez-leur du Seigneur Jésus et vous verrez qu’ils
n’hésiteront pas à
l’injurier et à le mépriser. Parlez-leur de Dieu le
Père, et vous
verrez qu’ils
railleront sur lui. Parlez-leur des archanges Michel, Gabriel ou
Raphaël et
vous remarquerez qu’ils n’hésiteront pas à les traiter de
lâches, etc.
Mais
lorsque vous leur parlez de la Vierge Marie, vous serez
étonnés de leur
réaction : un silence total. Meirad P. Hebga rapporte une telle
expérience dans
son livre « Sorcellerie et prière de délivrance
» page 116 Inades
édition. Le
père Tardif du Canada pendant ses conférences rapportait
aussi que
lorsque la
prière s’avérait inefficace pour délivrer une
personne sous l’emprise
des
démons, il avait souvent recours à la récitation
du chapelet (Ave
Maria) et le
résultat était efficace. Aujourd’hui, je me dresse contre
cette
doctrine et
cette manière de voir les choses et je propose mon entendement :
les
démons
sont des hors-la-loi. S’ils peuvent mépriser Dieu le Père
et son Fils
unique
Jésus-Christ, alors ils ne se feront pas de souci pour la
mère de
Jésus-Christ.
Les démons n’obéissent qu’à leur maître et
n’ont de respect que pour
Lucifer
seul. Ainsi donc, s’ils respectent Marie, il y a de fortes chances que
cette
femme qui se présente sous le nom de Marie soit le diable en
personne
sous une
fausse identité, le démon de l’enfer
déguisé en ange de lumière. C’est
la
raison pour laquelle elle viole les lois de Dieu en invitant les hommes
à se
prosterner devant ses idoles.
Notre dame
de
Yagma
J’ai
toujours
fait des reproches aux protestants et témoins de Jéhovah
pour leur
passivité
sur les apparitions mariales malgré tous ces puissants miracles
qui les
accompagnent. Il y a quatorze ans de nos jours, j’ai vivement
polémiqué
avec un
pasteur protestant qui avait la cinquantaine. Le débat que j’ai
engagé
concernait les événements mariaux mais il a conclu les
débats par cette
observation : « Peut-être que vous, les catholiques, avez
raison ;
peut-être
que cette dame des apparitions est la mère du Seigneur
Jésus. Mais
nous, en
tant que protestants, nous nous éloignons de ces choses car nous
savons
que le
diable peut se présenter en ange de lumière et perdre les
âmes par des
miracles
pseudo-chrétiens. Mais lorsque nous serons au ciel, nous
interrogerons
le
Seigneur sur ces événements et alors nous saurons toute
la vérité. Pour
l’instant, nous ne prenons pas le risque de vendre notre âme au
diable
» Sur ce
fait, j’ai trouvé sa réponse très sage. Mais le
deuxième choc m’est
venu de ma
propre église. La Vierge Marie est apparue plusieurs fois
à une jeune
fille sur
une colline dans le village de Yagma à quelques
kilomètres de la
capitale de
mon pays et ces événements
attirent
beaucoup de personnes. Le Pape Jean-Paul II a
célébré une messe sur
cette
colline qui est devenue officiellement un lieu de pèlerinage
national.
Pour
moi, cette visite papale est un acte du plus haut degré de
reconnaissance des
apparitions mariales au Burkina Faso. Le chef spirituel mondial de
l’église
catholique ne serait jamais monté sur cette colline pour
célébrer une
messe si
tant soit peu de doutes sur l’authenticité des apparitions lui
étaient
montés
au cœur. Mais de graves irrégularités ont fait
éruption compromettant
la beauté
de ce culte marial burkinabé : la voyante a fait circuler une
poudre
noire sous
la forme d’un encens qui lui aurait été donnée par
la Vierge Marie.
J’ai obtenu
cette poudre par l’entremise du responsable du groupe charismatique de
ma
paroisse. J’ai commencé à discuter sur
l’authenticité de cette poudre
sans
qu’on ne prenne la peine de m’écouter. Alors, je suis parti
nuitamment
sur la
colline des apparitions pour prier. J’ai pris l’habitude d’y faire des
veillées
de prière une fois par mois lorsque je vais dans la capitale de
mon
pays.
Quoique cela puisse paraître bizarre, au lieu de dormir à
la maison, je
préférais dormir sur la colline des apparitions afin
d’être près de la
Madone.
Ce jour-là, à une heure du matin, j’ai allumé des
cierges et j’ai jeté
cette
poudre sur les flammes. Alors, au lieu de prier selon mes habitudes, un
lourd
sommeil s’abattit impitoyablement sur moi et dans une vision, j’ai
entendu le
grognement d’un animal, on aurait dit un monstre qui menaçait de
me
dévorer.
Alors, j’ai fui de la colline et j’ai rendu compte au responsable du
groupe
charismatique de ma paroisse. Plus tard, nous avons été
choqués
d’apprendre que
la voyante a fait deux avortements consécutifs et selon les
rumeurs, le
clergé
de la localité serait impliqué dans ce scandale sexuel.
Chez nous, il
n’y a pas
de fumée sans feu et de telles rumeurs sont des
vérités qu’on tente de
cacher.
Il y eut des altercations et ce fut la période où j’ai
commencé à
suggérer une
possible implication du malin dans les apparitions mariales. J’ai alors
commencé à douter de l’identité de cette femme qui
se présentait sous
le nom de
la Vierge Marie, Reine du ciel.
À
l’époque du
prophète Jérémie il y avait aussi une
divinité païenne qui se nommait «
la
reine du ciel » à qui les Israélites offrirent des
sacrifices et
offensèrent
gravement leur Dieu (Jérémie 7 : 16-19). Peut-être
que cette divinité
païenne a
trouvé le moyen de perpétuer son culte idolâtrique
à travers le
catholicisme !
Myrna Nazzour
Les
apparitions de Marie revêtent souvent une forme de violence et de
brutalité.
Les voyants ne s’attendent jamais à une visite de la Madone et
lorsqu’elle
apparaît, les voyants sont apeurés et prennent la fuite
comme on fuit
un
serpent. On observe cela sur I., un des voyants de Yougoslavie (12). De
même,
le 15 décembre 1982, Myrna parle de l’apparition de la Sainte
Vierge de
la
manière suivante, pendant qu’une foule de croyants priait devant
l’icône de la
Vierge Marie, Myrna sentit soudainement quelque chose qui lui tirait la
main
vers le haut de la terrasse. « J’ai senti une force invisible qui
me
poussait
et j’étais effrayée… Je me suis agenouillée sur le
sol en tremblant, le
visage
contre le sol. Lorsque j’ai relevé ma tête, j’ai
aperçu la Vierge Marie
en face
de moi. Elle brillait comme si elle était couverte de diamants.
J’étais
effrayée et je me suis sauvée en criant… » (14).
Une huile
dite
sainte, coule souvent de l’icône de la Madone et souvent elle
coule
aussi des
mains de Myrna. Mais un jour, Myrna fit cette prière devant le
Père
Elias
Zahlaoui : « Oh ! Sainte Vierge Marie, ne permets plus que
l’huile
coule de mes
mains mais seulement de ton icône. Les gens viennent ici à
cause de toi
et non
à cause de moi ». Après avoir dit cette
prière, elle annonça au Père
Zahlaoui :
« Père, on dirait que la Vierge est rentrée dans
mon corps ». Et
soudainement,
l’huile s’est mise à couler abondamment des mains de Myrna comme
une
éponge
engorgée d’huile (14).
Par rapport
à
ces faits, je voudrais faire les observations suivantes : lorsque le
Seigneur
Jésus marchait sur l’eau vers ses disciples, ils eurent peur. Ce
fut la
première et la seule fois de l’histoire qu’un homme a
marché sur l’eau.
Il y a
donc de quoi avoir peur et de croire à un fantôme surtout
si cela
arrivait la
nuit (Mathieu 14 : 25-33). Mais après sa résurrection,
lorsqu’il est
apparu
plusieurs fois à ses disciples, personne n’a pris la fuite par
peur.
C’était
toujours une expérience merveilleuse de paix. Pourquoi donc les
apparitions
mariales font-elles si peur ? Lorsque Myrna implora la Madone de ne
plus
laisser l’huile couler de ses mains, le contraire arriva
aussitôt.
Pourquoi
violer la volonté de cette jeune dame ? L’observation la plus
importante est
que, dans le miracle de l’huile, la voyante témoigne que la
Vierge est
rentrée
dans son corps et c’est seulement après que l’huile s’est mise
à couler
de ses
mains. Cela ressemble à une forme de possession temporaire
même si des
miracles
éclatent par la suite. Ni les apôtres, ni les
évangélistes
d’aujourd’hui qui
ont opéré des miracles ne disent avoir été
possédés de cette manière.
Ils font
une prière et Dieu en réponse fait éclater des
miracles. L’expérience
du
baptême du Saint-Esprit est complètement différente
de ces modèles de
possession.
La Vierge
Marie face aux malheurs
Si Marie est
la mère du perpétuel secours et avocate
plénipotentiaire des causes
impossibles
et désespérées, alors, pourquoi a-t-elle
abandonné les Rwandais qui
comptaient
sur son intercession et qui ont consacré de longues heures
à réciter le
chapelet ? Pourquoi le génocide eut lieu, bien que le peuple
rwandais,
catholique fervent, comptât désespérément
sur le secours maternel ?
Pourquoi
plus de huit cent mille personnes ont été sauvagement
massacrées aux
yeux de
Marie qui n’a pas levé son doigt pour conjurer ce malheur alors
que
beaucoup de
prières lui ont été adressées pendant si
longtemps ? Pourquoi le sang
des
voyantes a été versé
et pourquoi ont-elles
été
sauvagement massacrées et mutilées, elles, les
porte-parole de Marie !
Après le
massacre rwandais beaucoup de catholiques ont été
désillusionnés et ont
perdu
leur foi. Beaucoup alors cessèrent d’aller à
l’église. La faillite de
l’intercession mariale pour le Rwanda m’a permis de découvrir
davantage
le
subterfuge du malin qui se présente sous le nom de Marie.
L’intervention de
Dieu est infaillible lorsqu’il est invoqué et la Bible fait
éloge de
ses
brillants exploits lorsque son peuple est sur le point d’être
exterminé
par un
ennemi puissant. Alors, si la femme des apparitions venait de Dieu,
pourquoi
n’a-t-elle pas été capable de conjurer ce génocide
auguré longtemps à
l’avance
?
Le
génocide Ruandais
Exemples
de malheurs
Les
apparitions mariales sont toujours précédées de
malheurs ou bien les
malheurs
éclatent après ces fameuses apparitions. Des fois elle
apparaît au
milieu des
malheurs. Curieusement, presque toutes les prédictions de
malheur
annoncées par
la Vierge Marie se sont réalisées sans que les nombreuses
prières qui
lui
furent adressées puissent être capables de les conjurer.
Est-elle
peut-être
liée à ces malheurs ? Exemples
: Le 19
juillet 1830 la Vierge Marie à travers de chaudes larmes
révéla à
Catherine
Labouré que les rues seront pleines de sang dans un délai
de quarante
ans. En
effet, en 1870 une guerre éclata en France et le sang coula dans
les
rues.
Beaucoup de prêtres furent tués par les communards.
Monseigneur,
l’archevêque
Darboy est fusillé. En septembre 1846, lors de son apparition
à La
Salette elle
annonça des malheurs et précisa que ceux
déjà arrivés l’année
précédente
provenaient de Dieu. En septembre 1665, une jeune fille, Benoîte
Rancurel qui
gardait les moutons eut l’apparition d’une dame majestueuse qui portait
un bel
enfant dans ses bras. C’est la Vierge du Laos. Elle sollicita la
construction
d’une chapelle en son honneur et annonça que plus tard le
démon fera
une guerre
violente à la bergère et que par la suite elle portera
des stigmates et
des
douleurs les vendredis. En janvier 1871, l’armée prussienne
commandée
par le
général Von Schmidt est aux portes de Laval. La guerre
fait rage et on
ne peut
dénombrer les morts. Il fait face au général
Chanzy qui l’empêche de
prendre la
ville. À ces instants pathétiques, la Vierge Marie
apparaît à quatre
jeunes
enfants dans un petit hameau appelé Pontmain aux confins de la
Bretagne
et de
la Normandie. En automne 1918, presque à la fin de la
première guerre
mondiale
la Vierge apparaît à Fatima au Portugal. Elle annonce
d’autres malheurs
et
immédiatement toute l’Europe fut frappée par une
épidémie de grippe.
Les morts
sont innombrables y compris les voyantes. Après cela, la
deuxième
guerre mondiale
éclata. En 1981, la Vierge Marie apparaît au Rwanda et
annonce des
malheurs
futurs, en 1990 une guerre éclata et le génocide ravagea
entre huit
cent mille
et un million de personnes y compris deux des voyantes, etc., etc.
Pourquoi se
trouve-t-elle toujours au milieu des malheurs et pourquoi son
intercession
est-elle toujours inefficace ? Pourtant, n’est-elle pas l’avocate des
causes
impossibles et désespérées ?
Les
cimetières
et les ossements humains sont des terrains de prédilection de
Satan où
il
savoure sa victoire sur la race humaine. Le diable hait le Dieu
très
Haut mais
il ne peut s’en approcher ni le nuire. C’est pour cela qu’il s’acharne
sur
l’homme qui est créé image visible du Dieu invisible. Son
objectif
principal
est de saboter les œuvres merveilleuses de l’Éternel.
Après une guerre
ou une
pandémie, les morts se comptent par milliers et cette Dame qui
nous
apparaît
sous le nom de Marie pourrait bien être Lucifer en personne qui
vient
conduire
les hommes sur une fausse piste d’intercession sachant bien qu’il a
déjà
planifié son massacre. Le culte marial étant un culte
idolâtrique, une
horreur
pour le Dieu des armées, voici de quoi éloigner le
Tout-Puissant de ces
atrocités annoncées par la Madone, laissant le terrain
libre au malin
pour
commettre tranquillement ses meurtres.
La puissance
et l’infaillibilité de Dieu dans l’histoire
Lorsque
Sennachérib, le roi d’Assyrie avec sa puissante et indomptable
machine
de
guerre s’apprêta à écraser Jérusalem, le roi
Ezéchias invoqua l’éternel
son
Dieu qui lui répondit par le prophète Isaïe. La
même nuit, l’ange du
Seigneur
entra en jeu et tua cent quatre-vingt-cinq mille soldats
assyriens et rendit ainsi l’invasion
impossible (Isaïe 36 et 37). De même, au temps du
prophète Élisée,
lorsque les
Syriens encerclèrent la Samarie, le siège fut long et si
désastreux au
point
que certains Israélites affamés mangèrent leurs
enfants pour éviter de
mourir
de faim. Il a suffi d’un petit acte de rien du tout de la part du
Seigneur de
l’impossible pour mettre fin au siège et secourir son peuple. Il
fit
simplement
entendre le bruit d’une puissante armée équipée de
chevaux et de chars.
L’armée
Syrienne pensa que la Samarie avait payé les Hittites et les
Égyptiens
pour les
combattre. Alors, ils furent pris de panique, abandonnèrent le
siège et
s’enfuirent pour sauver leur vie en laissant derrière eux leur
camp
bondé
d’animaux, de la nourriture ainsi que tout leur trésor. Par ce
geste
dérisoire,
le Seigneur mit fin à ce long siège (2 Roi 7 : 6-7). De
tels exemples
sont
légions dans la Bible et démontrent que le Dieu
d’Israël est puissant
et qu’il
est capable de se défendre et de protéger ses enfants qui
l’invoquent
d’un cœur
sincère. Si les prières adressées à maman
Marie étaient approuvées par
Dieu,
alors elles auraient été efficaces. Mais toujours, ces
prières sont
inexaucées
et la race humaine paie un lourd prix. Pour obtenir les faveurs du bon
Dieu, il
ne s’agit pas de prier d’une manière désordonnée
car même les démons,
les sataniques
et les païens prient. Pour être exaucé, il faut le
prier selon son plan
et
suivant sa volonté. Autrement dit, il bouchera ses oreilles et
ne se
laissera
pas fléchir. La même désillusion eut lieu sur la
colline de Massada à
l’épopée
romaine où plus de trois mille personnes se sont
suicidées à l’approche
de
l’ennemi préférant la mort plutôt que l’esclavage.
Pourtant, ils
priaient et
croyaient eux aussi que Dieu les défendrait et leur donnerait la
victoire.
David
et Goliath
Moise
Les gloires
de
Marie
On a
toujours
parlé des gloires de Marie mais jamais on ne fait mention des
échecs de
Marie.
Pourtant, beaucoup de personnes ont eu recours au secours marial et ont
été
profondément déçues. Six fois, je me suis
agenouillé devant
l’impressionnante
statue de la Vierge Marie au 48 rue du Bac,
Paris.
Cinq fois, j’ai été en pèlerinage à Lourdes
et j’ai imploré le secours
marial à
la grotte de la Massabielle. Après les prières de la
grotte, je passais
des
heures au cimetière de l’Angel de Lourdes sur la tombe du
père Jacomo
Fillon
d’Udine, un pieux religieux qui est mort en
odeur de
sainteté et dont la tombe attire beaucoup de pèlerins…
Non seulement je
priais
pour moi mais aussi pour des frères et sœurs catholiques de ma
paroisse
qui ne
pouvaient se payer le voyage et qui m’ont remis leurs requêtes
écrites
sur du
papier. Nos prières sont demeurées inexaucées
alors que ces requêtes
étaient
des cas sociaux désespérés. Je ne parlerai pas du
cas des paroissiens
qui ont
jeté leurs fétiches pour se consacrer à la
prière mariale et qui sont
repartis
de nouveau à leurs fétiches par suite de profondes
déceptions et qui
pratiquent
maintenant un christianisme hypocrite en consultant des charlatans et
ayant
dans leurs maisons des fétiches. Je ne dirai rien des
déceptions de la
bergère
du groupe charismatique qui de nombreuses fois a fini par dire des
phrases
comme : « Jésus ne connaît pas la honte ; il est
difficile de suivre
Jésus… » ;
résultat de tant de prières
inexaucées.
Certains
pourtant se vantent d’avoir été exaucés par Marie
pour le fait d’avoir
réussi à
réaliser leurs rêves. Pourtant beaucoup de personnes
réussissent mieux
sans
pour autant passer par la prière. Les efforts humains, la
grâce de Dieu
et les
circonstances de la vie suffisent des fois à réaliser de
grandes
choses. Que
dire des célébrités de ce monde qui ne
fléchissent jamais les genoux et
qui
sont pourtant meilleures que ceux qui prient. L’homme par ses propres
efforts
est capable de beaucoup choses. N’attribuons pas toujours nos
mérites
aux êtres
célestes.
La
dévotion du
premier samedi du mois
Lors de son
apparition à Fatima, la Très Sainte Vierge Marie a
institué une
nouvelle
dévotion qui doit se faire tous les premiers samedis du mois.
Cette
dévotion
consiste à consacrer le monde entier au cœur douloureux et
immaculé de
Marie.
Selon notre mère du ciel, la Russie communiste dominera le monde
et
beaucoup de
nations seront rasées. Même le Pape en souffrirait. Mais
si cette
dévotion
était assidûment observée, son cœur immaculé
triompherait, le
communisme
soviétique connaîtrait la chute et une période de
paix serait accordée
à la
terre. Nous avons observé cette dévotion mariale
jusqu’à la chute du
communisme
soviétique et nous continuons de prier. Le communisme
soviétique est un
système
politique qui fait de l’athéisme son cheval de bataille. Toute
religion
y est
considérée comme de l’opium qui endort le peuple et par
conséquent est
appelée
à disparaître. Dans les pays communistes, les
églises sont transformées
en
salles de théâtre, de cinéma, en magasins pour le
stockage de vivres ou
de
munitions… Les serviteurs de Dieu ainsi que les chrétiens sont
torturés, tués
ou déportés. Puisque le communisme est incompatible
à la foi
chrétienne, il
pourrait donc être d’origine satanique. Comme la Vierge Marie a
prédit
sa
chute, proposé une méthode qui a triomphé, alors,
elle est toute
puissante et
son œuvre rend gloire à Dieu. Néanmoins, observons les
choses sous un
autre
angle car des fois, le véritable sens des choses est souvent
voilé et
la façade
qu’on nous présente est toujours de la mascarade. Supposons que
cette
Dame qui
se présente sous le nom de la Vierge Marie soit en
réalité le diable
qui prend
l’apparence d’un ange de lumière dans le but de nous
égarer loin du
vrai
christianisme, quel mensonge peut donc se cacher dans cette
dévotion
qui aurait
provoqué la chute du communisme soviétique ?
Sur
le plan politique, quelle est ma compréhension ?
Jusqu’alors,
le monde était divisé en deux grands blocs bipolaires et
antagonistes :
le
capitalisme à économie libérale avec les USA en
tête face au communisme
de l’U.R.S.S.
Ces deux systèmes politiques étaient incompatibles et
chacun
s’efforçait de
phagocyter l’autre et d’imposer au monde son idéologie. Il
était donc
prévisible qu’un des systèmes vienne à
disparaître. Quand bien même, le
communisme a connu une prédominance dans certains domaines de la
technologie
(le spatial), ses fondements étaient néanmoins
menacés à cause de la
faiblesse
de son économie et de l’austérité de sa politique.
Surtout avec un
rival
puissant, prospère et impitoyable tel que le capitalisme, la
chute de
ce
système politique était prévisible sans le
concours de la prière.
Sur le plan spirituel,
comment voir les
choses ?
Les
systèmes
politiques et religieux sont toujours de connivence. Dans le
communisme,
l’accent est mis sur l’action commune pour l’intérêt du
peuple.
L’intérêt
personnel et les évasions spirituelles sont de facto caducs. Les
religions sont
interdites. À mon avis, le communisme athée était
un refuge pour le
malin et la
chute de ce système représentait une grande
défaite pour Satan qui
cherchait à
supprimer toute religion de la planète. Satan connaît
aussi les plans
de Dieu
et sait que le communisme qui est sa religion va bientôt
s’écrouler.
Alors, ne
pouvant plus combattre la religion par un système politique
athée, il
sera donc
obligé de tolérer la religion dans laquelle sa
présence sera toujours
effective
: les idoles. C’est ce qui expliquerait la tolérance facile et
le
succès du
catholicisme orthodoxe dans les pays de l’ex-U.R.S.S. Nul doute que
l’église
catholique a combattu le communisme mais vous constatez qu’à sa
chute,
c’est la
Vierge Marie qui apparaît et occupe le terrain par un culte
idolâtrique. Juste
de quoi ôter au christianisme sa valeur spirituelle en
l’éloignant de
Dieu.
Ainsi donc, l’église devient de nouveau un instrument efficace
pour la
perte
des âmes, un nouveau cheval de bataille pour Lucifer à
travers
l’iconographie :
au lieu d’adorer Dieu, les hommes choisirent de se prosterner devant
des images
et des objets taillés.
L’église
catholique depuis ses origines était la représentation
officielle du
christianisme. Le malin a essayé en vain de détruire
cette religion dès
sa
naissance en tuant le maximum de chrétiens à travers les
empereurs de
Rome ; et
vu qu’elle était plutôt florissante, alors, le malin
changea de
méthode. Il est
parvenu autrefois à faire tomber le judaïsme par
l’idolâtrie et la
fausse
religion de sorte que les Hébreux, au lieu d’entrer dans la
terre
promise,
jonchèrent le désert de leurs cadavres. L’idolâtrie
est donc une arme
efficace
qui enflamme la colère de Dieu ; et le diable, une fois de plus
appliquera
cette même méthode avec le catholicisme par l’introduction
d’une fausse
mère
qui remplira l’église d’idoles : c’est donc le même diable
avec les
mêmes ruses
et le même résultat efficace tant dans le judaïsme
que le catholicisme.
Remarque
La
dévotion
sur la consécration du monde à Marie doit se faire tous
les premiers
samedis du
mois. Cependant, nous savons que le samedi est le jour du sabbat qui
est le
jour de repos de l’Éternel. En ce jour, aucune entreprise ne
doit être
menée.
Même allumer du feu pour cuire un repas est interdit. C’est le
jour du
Seigneur
et c’est le jour du repos total. Toute personne qui ramasse même
un
simple bois
pour cuire son repas en ce jour doit être mis à mort selon
la loi de
Moïse
(Exode 31 : 14). Pourquoi cette dame du ciel viole-t-elle le repos
sabbatique
et y impose une dévotion qui oblige les gens à profaner
le caractère
sacré de
ce jour spécifique ? Pourquoi avoir choisi le jour de repos du
Seigneur
pour
que le monde lui soit consacré ? Le monde appartient
déjà à Dieu et
toute
personne qui veut se consacrer au Dieu des chrétiens le fait par
le
moyen de la
conversion qui est le baptême. Toute personne ou entité
spirituelle qui
veut donc
que le monde lui soit consacré apparaît comme un rival ou
un ennemi de
Dieu. Si
cette femme venait de Dieu, le Dieu à qui le monde appartient,
alors,
elle
n’avait aucun besoin que le monde lui soit de nouveau consacré.
Pendant le
repos du Seigneur au septième jour après la
création, Satan entra en
jeu et
pervertit l’œuvre de création en y introduisant la barbarie. Et
si le
monde se
porte si mal c’est à cause de cette activité diabolique
pendant le
repos du
Seigneur et cette nouvelle dévotion mariale imposée
pendant ce jour
sacré porte
clairement la signature du dieu de ce monde.
Les
apparitions
Le
christianisme est l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ. Ce ne sont
pas les
apparitions mariales ou d’un ange quelconque qui auraient donné
naissance à
cette religion. Si toute apparition d’êtres célestes
provient forcément
du Dieu
d’Abraham, alors tous ceux qui croient aux apparitions mariales
feraient mieux
de se convertir aux nouvelles religions qui sont nées par la
suite
d’apparitions d’anges.
Après
la mort du Seigneur Jésus, le
christianisme a tenu bon malgré les persécutions. Il
était florissant
sans le
concours de Marie. Les apparitions mariales n’ont pas posé les
fondements du
christianisme. Elles sont apparues comme une gangrène qui ronge
et
divise les
enfants de Dieu. Elles sont comme un cancer qui attaque la
crédibilité
de la
foi catholique. En effet, les églises réformées
évangéliques ne
considèrent
plus l’église catholique comme une église
chrétienne à cause de nos
idoles et
de nos pratiques non bibliques. Pourtant, l’église catholique
demeure
ferme et
imperturbable. Elle se réclame être l’église
apostolique, la tête de
toutes les
églises chrétiennes et invite les églises
évangéliques à se joindre de
nouveau
à elle. En effet, en juillet 2007, le Pape
Bénédicte XVI déclara
officiellement
que « le christ Jésus a établi ici sur terre une
seule église » qui est
l’église catholique. Il renchérit que les autres
dénominations ne
peuvent pas
être considérées comme des églises parce
qu’elles n’ont pas la
succession
apostolique, c’est-à-dire, l’habilité d’être les
successeurs des
premiers
apôtres du Christ. Pourtant, il y a abondance de preuves qui
attestent
que
cette « église mariale », cette grande et puissante
église catholique
dont je
suis fils est l’ennemie du christianisme véritable et je vous en
convaincrai
davantage.
Je ne trouve
pas utile de faire la promotion du culte marial ainsi que tous les
phénomènes
miraculeux qui l’accompagnent. La Bible enseigne clairement que seule
la foi en
Christ Jésus peut sauver l’homme. Ainsi donc, votre
église ou
dénomination et
toutes ses œuvres de puissance ne sont pas utiles au salut si elles
compromettent un tant soit peu votre intégrité et votre
Foi en
Jésus-Christ.
Les
guérisons
et miracles
La Bible
nous
enseigne que beaucoup guériront des malades au nom du Seigneur
Jésus
mais
seront rejetés. Par conséquent, les miracles de
guérison observés lors
des
apparitions mariales ou pendant toute forme de prière ne portent
pas
forcément
l’approbation de Dieu. Dans l’accomplissement d’un miracle, il faut
reconnaître
que ce n’est ni votre pouvoir, ni votre sainteté qui se
manifeste mais
tout
simplement La Parole de Dieu qui produit des fruits en sa saison. Car,
avec un
peu de foi, un ordre donné au nom du Seigneur Jésus peut
avoir des
effets
surnaturels. De même, la maladie n’est rien d’autre que la
conséquence
du
péché, en un mot, un outil de Satan. Ni Ève ni
Adam ne sont tombés
malades
avant la chute. Tous ces malheurs sont apparus avec Satan lorsqu’il fit
tomber
l’homme dans l’insubordination. Si Satan peut donner une maladie, il a
aussi le
pouvoir de la reprendre et de guérir ainsi la personne malade.
De ce
fait,
toutes les guérisons miraculeuses de la Madone peuvent
être une ruse du
malin,
des démons qui chassent des démons pour donner une
simulation de
guérison.
Satan qui fait et défait les liens et qui se présente
comme un ange de
lumière
(cf. 2 Corinthiens 11 : 14-15).
Les larmes
de
sang de Marie
Le Seigneur
Jésus fut saisi d’une grande angoisse juste avant sa passion et
la
sueur qu’il
versât, était mêlée de sang (Luc 22 : 44).
Certains chrétiens, par un
excès de
ferveur religieuse, affirment qu’il a même versé des
larmes de sang.
Lorsque
son corps fut descendu de la croix, sa mère l’a tenu dans ses
bras et a
pleuré.
Cette scène bouleversante a inspiré le
célèbre artiste italien
Michel-Ange qui
a taillé une des plus émouvantes statues de Marie connue
sous le nom de
« la
piéta ». Certaines sources catholiques disent que la
Vierge Marie
aurait versé
des larmes de sang ce jour-là sur le corps de son divin fils. Ce
dernier fait
n’est pas confirmé par la Bible et néanmoins, la Vierge
Marie, lors de
ses
multiples apparitions a déjà pleuré et du sang
coulait de ses yeux. Les
stigmatisés ont aussi versé des larmes de sang. Les
statues de Marie
pleurent
et versent aussi des larmes de sang. Du vrai sang humain selon
l’analyse des
médecins. Des prières telles que le chapelet des larmes
de sang a été
composé
pour invoquer les larmes de sang de la Vierge Marie. Voici un extrait :
« Oh !
Très Sainte Vierge Marie, je vous offre les larmes de sang de
celui qui
vous a
le plus aimé sur la terre et qui vous aime le plus tendrement au
ciel
(cinq
fois). Oh ! Jésus exhausse mes prières à cause des
larmes de sang de ta
très
sainte mère (cinquante fois)… » Pensez-vous que le Roi des
cieux va
permettre à
sa bien-aimée mère de venir pleurer partout sur la terre
comme une
veuve
désespérée ? L’œuvre du salut a été
accomplie à la croix lorsque le
divin
sauveur paya le prix de nos transgressions et déclara : « Tout
est achevé ! »
(Jean 19 : 30).
Les êtres humains sont sauvés, justifiés et
sanctifiés
s’ils acceptent l’œuvre de rédemption. Les larmes d’une
mère ne
changeront rien
à la destinée des hommes. Si cette femme pleure, cela
pourrait cacher
une
certaine astuce. On se souviendra que pour rivaliser avec Moïse,
les
magiciens,
de connivence avec les divinités égyptiennes ont
transformé les eaux en
sang.
Puisque ces divinités ont le pouvoir de changer l’eau en sang,
elles
peuvent
aussi verser des larmes de sang à travers les statues mariales.
Mon
propre
témoignage donnait l’exemple d’un démon qui trouvait des
motifs pour
pleurer et
sangloter au-dedans de moi alors qu’il pleurait sa mort prochaine.
À
mon avis,
les larmes de sang sont une tromperie de l’ennemi qui se joue de nos
émotions.
Tout ce sang
versé par les stigmatisés, par les statues de Marie ou
par Marie lors
de ses
apparitions est une forme moderne de sorcellerie. Dieu commande
explicitement
aux hommes de ne point tailler d’idoles ou d’images. Les hommes
refusèrent et
taillèrent des idoles et les idoles se mirent à pleurer
du sang. Les
hommes
persistent davantage dans l’erreur en attribuant ces œuvres à
Dieu.
Permettez-moi de vous poser une question : dans toute l’histoire de la
race
humaine, depuis quand une pierre ou du plastique a-t-il saigné ?
Si ces
idoles
saignent, ne vous trompez pas, elles sont bien vivantes car elles sont
habitées
par des êtres invisibles. Un saint ange de Dieu ne s’exprimera
jamais
dans une
idole. Aussi, le Dieu très Haut s’est clairement
démarqué des idoles (Isaïe
42 : 8) et
par conséquent il n’y a
aucune chance qu’il se manifeste à travers ces idoles de Marie.
Curieusement,
pendant que les statues de maman Marie pleurent de chaudes larmes, les
idoles
hindoues du dieu Ganesh (un homme avec une tête
d’éléphant) se mettent
à boire
du lait. Le phénomène appelé « miracle du
lait » fut observé par la
presse et
s’est produit dans plusieurs grandes cités telles que New York,
Los
Angeles,
Canada, Kenya… (15). Nous vivons le siècle où les idoles
commencent à
s’exprimer.
Mars 2003,Venuzuela
30
juin 1985, Coree Miracle du lait
Le signe de
l’adversaire
Une semaine
avant que je ne reçoive les premières apparitions du
Seigneur Jésus,
j’ai fait
un rêve banal qui par la suite fut révélateur d’un
principe divin : un
gros
serpent d’environ un mètre de long m’a pourchassé
jusqu’à ce que je me
hisse
sur un rocher. Alors, ce serpent rabougri a tourné trois fois
autour de
moi.
Après avoir bouclé un tour, de sa gueule, il creusait un
trou à mes
pieds et y
enterrait quelque chose. Quelque temps après,
commencèrent les
apparitions de
Jésus-Christ, jusqu’à la publication de ce livre.
Quelquefois, lorsque
je prie
durant de longues heures, je vois un gros serpent qui s’éloigne
de moi.
De
même, pour ma guérison, les marabouts d’Afrique
m’ordonnèrent de faire
trois
fois le tour du marché avec un objet enfermé dans mon
poing gauche et
de
l’offrir en sacrifice. Curieusement, lorsque j’ai rencontré le
premier
pasteur
pentecôtiste, pendant la prière de délivrance,
avant que je ne lui dise
quoi
que ce soit, il esquissa le même cérémonial : il
m’a dit de fermer mon
poing
gauche, de maintenir le poing droit ouvert, de fermer les yeux et de me
consacrer à Jésus-Christ. À ce même moment,
il tourna lui aussi trois
fois
autour de moi dans le sens contraire des aiguilles d’une montre et
lança un cri
de guerre : « Crac ! » comme s’il cherchait à briser
un lien. À la fin
de la
prière, il m’annonça qu’il a vu un serpent pendant la
prière. Il n’y a
pas de
doute, le malin m’avait scellé pour son œuvre.
Je l’ai vu, les marabouts l’ont vu, le pasteur
pentecôtiste l’a
vu et a
tenté de briser ce lien. Le jeune pasteur qui m’a
délivré après une
longue
intercession qui dura trois ans a fait mention de ce serpent.
Curieusement,
lorsque les divinités Égyptiennes ou de l’Inde se
présentent, on
observe le
serpent à leur côté. Le serpent est le symbole du
malin et dans les
apparitions
de la Vierge Marie à Sainte Catherine Labouré, sur la
médaille
miraculeuse, on
voit bien un serpent aux pieds de la Madone. L’église catholique
dira
que c’est
la femme qui a écrasé la tête du serpent et c’est
ce qui explique la
présence
d’un serpent aux pieds de Marie. Pourtant, un tel raisonnement n’est
pas
biblique. En effet, toutes les Bibles enseignent que c’est la descendance
de
la femme qui écrasera la
tête du serpent (Genèse 3 : 15) et cette prophétie
s’est réalisée
lorsque le
Christ mourut sur la croix pour détruire les œuvres
du malin. La présence du serpent aux pieds de
Marie devrait alors trouver une autre explication pour être
crédible.
En ce qui
me concerne, j’ai vécu une expérience différente
et les conclusions
auxquelles
j’aboutis sont différentes : le fait que le serpent ancien,
l’ennemi
juré du
Dieu de la Bible apparaisse aux pieds de Marie est une confirmation que
les
apparitions mariales sont de type satanique.
La
Vierge Marie et le
serpent
La toute première
apparition
mariale eu
lieu du vivant de la vierge Marie dans des conditions qui incitent
à la
réflexion. En effet, le 02 Janvier 40, Nuestra Sefiora Del Pilar
(Notre
Dame du
Pilier), accompagnée de milliers d’anges apparurent à
Saint Jacques à
Saragosse
en Espagne. Curieusement, Saint Jacques qui eu cette apparition
historique ne
l’a pas mentionnée dans son épître et le livre des
Actes des Apôtres
n’en fait
pas cas non plus. Seule la tradition de l’église catholique
enseigne
sur ces
phénomènes. J’ignore ce que pensent les autres enfants de
l’église
catholique
sur cette affaire. Mais moi, votre frère dans la fois, je
remarque
qu’il y eut
plutôt deux différentes femmes répondant du nom de
« Vierge Marie » qui
se sont
manifestées simultanément au début de l’air
chrétienne : la première
fut la
mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Elle est
éternellement
bienheureuse et
elle était un être humain (fille de Joachim et de
Anne).
Elle résidait auprès de St Jean à
Jérusalem. Elle offrait son soutien
modeste
aux apôtres qui s’efforçaient de poser les bases de
l’église primitive
malgré
les embûches. Elle n’a jamais fait de miracles. En un mot, elle
La
Vierge,
l’humble fille de Nazareth annoncé dans La Bible. Au même
moment, une
autre
Vierge Marie, cette fois-ci un être spirituel accompagné
de milliers
d’anges
apparurent à Saint Jacques. Celle-ci était puissante,
elle opéra des
miracles
hors paires et offrit à Saint Jacques la toute première
idole du
catholicisme,
laquelle devrait être placée dans une chapelle construite
en son
honneur. Ce
fut le début du culte idolâtrique marial (18).
Notre
Dame du Pilier
II.
Autres
observations non moins importantes
Les reliques
Les
évangiles
rapportent que les malades qui touchaient le Seigneur
Jésus-Christ
étaient tous
guéris. Plus tard, ses apôtres ont manifesté ces
mêmes dons de
puissance car,
même les objets les ayant touchés guérissaient des
malades et
chassaient les
démons lorsque ces objets leur étaient appliqués
(acte des apôtres 19 :
11).
Même leur silhouette guérissait les malades (actes 5 :
15). On pourra
aussi
citer l’exemple des ossements du prophète Élysée
qui redonnèrent la vie
à un
défunt lorsque ce dernier le toucha par hasard. Cela
démontre la
puissance de
Dieu et témoigne que l’Esprit Saint est présent dans ces
corps même
s’ils sont
morts. Et par là, nous avons l’assurance que ce même
Esprit Saint
redonnera vie
à ces corps à la résurrection des morts. De
même, dans le catholicisme,
les
vêtements des saints sont découpés en miniatures,
enveloppés dans des
plastiques et distribués dans le monde entier à toute
personne qui
désirerait
les porter sur soi. Ces reliques auraient le pouvoir de
protéger, de
guérir
tous ceux qui les porteront. C’est cela le pouvoir des reliques et ces
pratiques sont quelque peu analogues à celles des
chrétiens des temps
apostoliques. Mais comme toujours, le malin a su corrompre ces œuvres
par des
déviations pseudo-chrétiennes en introduisant dans
l’église une autre
forme de
vénération de relique qui n’est rien que du paganisme et
de la
sorcellerie
moderne. Des choses exagérées en grandeur nature et qui
ne bénéficient
pas du
témoignage du peuple hébreu ni de celui des apôtres
du Christ. En
effet, la
dépouille des saints de l’église catholique fait l’objet
d’une nouvelle
forme
de culte jamais vue, ni même imaginée. Le
phénomène a pris une tournure
dangereuse au cours des siècles et ce qui se passe sous nos yeux
n’est
plus du
christianisme. Pour preuve, les dépouilles des saints du
catholicisme
sont
démembrées, découpées en morceaux et
discrètement expédiées à d’autres
églises
pour être exposées et vénérées par
les fidèles. Jusqu’au quatrième
siècle,
aucune église de l’empire romain ne pouvait être
consacrée sans qu’il
n’y ait
de telles reliques. Par exemple, le corps incorruptible de Bernadette
Soubirous
a été ouvert et ses organes retranchés et
distribués à des églises
environnantes pour être enterrés ou
vénérés. La tête de Sainte
Catherine de
Sienne est exposée dans une vitrine devant laquelle des
fidèles se
rassemblent
pour prier tandis que les autres parties de son corps se retrouvent
éparpillées
dans le monde. Les ossements de Saint Calixte sont exposés dans
une
vitrine en
république Tchèque et des milliers de personnes
s’agenouillent devant
ces
reliques pour prier ; dans l’église « Chiesa del
gesù » à Rome est
exposée pour
vénération la main de Saint Francis tandis que la
moitié de son bras se
retrouve au Singapour, à Hanoï, etc. Selon un ancien
Évêque catholique,
ces
reliques sont discrètement enterrées sur l’autel
où les messes sont
célébrées.
Par principe, la paroisse qui abrite la relique porte le nom du saint
dont la
relique se trouve enterrée. Le rôle de la relique à
cet endroit de
l’autel est
de communiquer son pouvoir ou sa sainteté au prêtre qui
célèbre la
messe.
Finalement, la messe elle-même devient un acte magique (30).
Lorsque vous
lisez les témoignages des magiciens convertis au christianisme,
vous
verrez que
ces mêmes reliques sont aussi utilisées par les
prêtres catholiques
pour
rentrer en contact avec le monde invisible des démons (22). Nous
sommes
allés
trop loin parce que nous n’avons pas gardé les yeux sur les
Saintes
Écritures.
Nous pratiquons de la sorcellerie dans sa forme la plus avancée
et
personne ne
s’en aperçoit. Si les autres religions découpaient leurs
morts en
morceaux et
se les distribuaient, cela nous aurait sauté
à l’œil.
Si les religions qui nous entourent se volaient les cadavres de
quelques
illuminés comme nous le faisons,
nous
aurions honte.
Mais nous pratiquons ces choses sans nous gêner. Par
conséquent, nous
pratiquons tranquillement un christianisme non biblique et dangereux
que
j’appelle « un christianisme satanique ».
Il faut
noter
que la vénération des dépouilles des saints du
catholicisme, la forme
la plus
dangereuse a commencé aux environs des années 156
après le martyre de Saint Polycarpe
de Smyrne et s’identifie
aux pratiques païennes en cours avant la naissance du
christianisme. Je
citerai
l’exemple des supposés restes d’Oedipus et Theseus qui faisaient
l’objet de
vénération à Athènes longtemps avant
l’ère chrétienne. Il y a aussi les
ossements ou cendres de Aesculapius, l’affaire de la distribution des
reliques
de Bouddha juste après sa mort (aux environs de 400 avant
Jésus-Christ)
etc.
(5), qui relevaient clairement du paganisme avant de faire leur
entrée
en force
dans le catholicisme et malheureusement considérés comme
des pratiques
chrétiennes.
St
François d’Assise Ste Catherine St
Francis
Que
dire du purgatoire
catholique ?
Toutes les
Bibles (catholique, protestante et celle des Témoins de
Jéhovah) sont
absolument
muettes sur le sujet du purgatoire. Ce mot n’existe sur aucune des
pages de nos
Bibles. Cette doctrine est encore un mensonge du diable subtilement
introduit
dans l’église catholique dans le but d’endormir les
fidèles dans leur
foi.
Aucun patriarche, aucun prophète, aucun roi des temps bibliques
n’a
enseigné
cela. Le Seigneur Jésus ou ses apôtres n’ont pas
mentionné ce mot. Par
conséquent, il n’y a pas de chance qu’un tel endroit puisse
exister.
Dans nos
églises catholiques, les prêtres nous recommandent
vivement de prier
pour le
repos des âmes de nos parents défunts. Ils nous
conseillent aussi de
prier pour
les âmes du purgatoire et beaucoup de messes sont
célébrées tous les
jours dans
les églises catholiques du monde entier pour le repos des
âmes. On nous
enseigne de même que les âmes du purgatoire peuvent
intercéder de
manière
efficace en notre faveur. Étant donné qu’ils sont dans la
souffrance
transitoire, leurs prières s’avéreraient efficaces.
À mon avis, cela
ressemble
plutôt à une invocation des morts. Cet enseignement n’est
pas biblique,
par
conséquent il n’est pas chrétien.
Adam et
Ève
ont-ils prié pour le repos de l’âme de leur
bien-aimé Abel ? Noé a-t-il
prié
pour les âmes éplorées du déluge ? Le roi
Saul et ses enfants, Samson
et bien
d’autres soldats moururent sur le champ d’honneur sans qu’une messe ne
soit
célébrée pour le repos de leurs âmes. Dans
l’histoire de la Bible, seul
Judas
Macchabée a violé cette loi de Dieu et nous, en tant que
catholiques
l’avons
imité par amour pour nos chers défunts. Pensez-vous aimer
ces âmes plus
que
celui qui les a créées ?
La Bible
enseigne que l’obéissance
docile est préférable aux sacrifices des bêtes les
plus
grasses. En effet, la désobéissance est aussi grave que
la divination,
et l’insoumission
aussi grave que l’idolâtrie. (1 Samuel 15 : 22 -23). La
désobéissance en Éden a
fait de notre monde l’enfer que nous vivons aujourd’hui. La
désobéissance des
Hébreux a fait qu’ils ont aussi été temporairement
abandonnés par leur
Dieu et
sont en permanence sous la menace de l’extermination. Ces deux exemples
ne sont
pas suffisants pour certains chrétiens qui continuent
d’enfreindre les
préceptes de Dieu en interrogeant des médiums ou des
esprits de mort
dans le
but d’acquérir de la connaissance. C’est de là que
viennent la plupart
des
doctrines sur le purgatoire. Exemple : Meinrad P. Hebga dans «
Sorcelleries et
prières de délivrance » (page 110), Inades
Édition.
Dans
Lévitique
19 : 31 le Seigneur a interdit tout contact avec les morts. Avez-vous
respecté
cela ? Comment osez-vous employer des méthodes anti-bibliques et
non
chrétiennes pour aboutir à des résultats
chrétiens ? Êtes-vous sûr que
les
informations reçues du monde invisible proviennent de Dieu et
approuvées par
lui ? La Bible enseigne qu’après la mort la situation des
esprits est
irréversible. Mais l’église catholique enseigne qu’il y a
un purgatoire
qui est
un lieu de rachat. Si le purgatoire existe tel qu’on nous l’enseigne
dans
l’église catholique, il doit réussir surtout aux hommes
riches. Parce
que pour
sortir du purgatoire il faudrait célébrer beaucoup de
messes et des
fois des
neuvaines de messes. Et si vous n’avez pas laissé une fortune
à votre
veuve et
à vos orphelins, vous risquez de poiroter longtemps dans cet
endroit
car les
messes ne sont pas gratuites : les hommes pensent qu’ils peuvent muter
les lois
du monde spirituel à coup de messes. Pour ma part, l’idée
du purgatoire
semble
un instrument pour la perte des âmes car la possibilité
d’être racheté
après la
mort, à coup de messes, encourage certains catholiques à
dormir dans
leur foi
ou à s’enliser dans leurs péchés au lieu de se
battre pour les vaincre.
Surtout, nous savons que le péché est bon, étant
le reflet de notre
nature
pécheresse, qui s’efforcerait ou se priverait de quelques
plaisirs !
Soyez
avisé : c’est ici sur terre que se décide votre
éternité. À la mort,
Jésus-Christ ne peut plus rien faire pour vous. Il n’y a pas de
pardon
dans le
séjour des morts. Vous trouverez des témoignages
très édifiants sur les
réalités
de l’après-vie à travers les sites Internet suivants :
www.ciel-et-enfer.skyrock.com ; www.gedeonchampion.com ; www.dailymotion.com (au niveau de
recherche,
écrire : enfer et paradis).
Satan,
peut-il
recevoir les prières adressées à Dieu ?
Peut-on
prier
Dieu et être exhaussé par un démon ? S’il s’agit du
Dieu d’Abraham, la
réponse
est oui. Parce que c’est un Dieu qui sait boucher ses oreilles et
l’histoire du
peuple juif est bondée d’exemples de ce type (Isaïe 1 :
15). Il exige
une
discipline de fer et recommande d’être adoré d’une
manière très
particulière.
Mais si vous violez un tant soit peu le principe par lequel il veut
être adoré,
alors, il se détournera de vous. Surtout si vous abritez des
idoles
dans votre
maison ou dans vos lieux de culte comme l’ont fait les
Israélites du
temps de
l’exode, à coup sûr, ce Dieu vous tournera le dos et les
démons
religieux se
joueront de vous.
Pour
illustrer
le fait que vos prières peuvent être déviées
avec succès à l’adresse
d’un autre
dieu ou d’un démon, je citerai l’exemple d’Isaac et ses deux
fils :
frappé par
le poids de l’âge, le patriarche Isaac avait perdu la vue.
Lorsqu’il
bénissait
Jacob, il pensait au fond de son cœur que c’était bien son fils
aîné
Ésaü qui
se tenait devant lui. Alors, il prononça la
bénédiction. Mais en
réalité,
c’était Jacob qui, par la duperie a détourné les
bénédictions de son
frère.
Lorsqu’Ésaü arriva, la chose était
irrémédiable et le patriarche Isaac
reconnut
que Jacob a usurpé la bénédiction de son
frère et que par conséquent,
il
restera béni. Comprenez-vous enfin ce fait bizarre ? Une
bénédiction ou
une
prière mal placée va toujours à la mauvaise
adresse. Lorsque Ésaü
implora une
bénédiction quelconque, son vieux père lui
répondit qu’il ne pouvait
rien faire
(Genèse 27). Le monde spirituel possède alors ses lois et
principes qui
échappent à la raison humaine. Il ne s’agit donc pas de
prier à votre
propre
manière. Il faut être sûr de prier selon la bonne
manière sinon, c’est
le malin
qui recevra votre louange en lieu et place du bon Dieu. Si vous pensez
que tous
les miracles qui s’opèrent dans vos prières sont un signe
d’approbation
de
Dieu, vous vous trompez car les démons religieux sont aussi de
grands
faiseurs
de miracles.
Les
noms de Dieu
Il m’est
arrivé de consulter les dirigeants locaux de certaines religions
pour
régler un
problème. Ils m’ont alors donné des noms à
réciter communément appelés
« les
noms de Dieu ». Je devais réciter ces noms cent cinquante
à deux cents
fois
toutes les nuits avant de m’endormir. Il y a environ cinquante noms.
Vous
verrez autour de vous des gens qui, à l’aide d’un chapelet,
récitent
continuellement un nom et qui comptent en égrainant leur
chapelet. Il y
a un
nom pour chaque difficulté de la vie, pour les affaires, pour la
protection,
etc. et l’invocation de ce nom est très efficace. Curieusement,
ces
noms de
Dieu ne se trouvent inscrits ni dans la Torah des Hébreux, ni
dans la
Bible des
chrétiens, ni dans le Coran des musulmans. En
réalité, ce sont des noms
d’anges
rebelles de Dieu qui se mettent au service des êtres humains.
Si vous
observez les objets de cultes récupérés lors des
fouilles
archéologiques des
temples égyptiens (21), vous retrouverez les mêmes
chapelets utilisés
dans le
catholicisme, dans l’islam et par certains bouddhistes. La taille des
chapelets
peut varier suivant les civilisations mais c’est toujours les
mêmes. Je
dois
avouer que les divinités d’Égypte et de l’Inde ont
trouvé le moyen de
s’exprimer de nouveau dans ce siècle au travers de nos religions
et
cultures.
Ils ont simplement changé de nom…
Chrétien :
dizainier sept
douleurs Islamic
Le mala boudique ou hindou Chaplete
egyptien
Observation
Dans ce
document, je ne fais pas mention de la transformation que ces
thaumaturges
catholiques ont apportée dans leur milieu à travers leurs
efforts, leur
charité
et leurs souffrances. Je ne parle pas non plus des efforts immenses que
le
catholicisme a tant déployés pour soulager la
misère des hommes en
transformant
positivement le monde à travers leurs institutions. Non. Ici, je
stipule d’une
manière spécifique sur l’origine et le fondement
spirituel de ces
phénomènes et
miracles catholiques à la lumière de La Parole de Dieu.