Chapitre
IV
Rapport très accablant
sur la vie infamante des papes
Le
mot pape dérive du latin « papa ». Ce terme qui témoigne
d’une affectueuse vénération, est destiné à désigner le
successeur de Saint-Pierre. Décerné d’abord aux évêques,
c’est à partir du pape Grégoire VII (1073-1085) que ce
titre sera exclusivement réservé à l’évêque de Rome. Le
rapport accablant sur la vie des papes qui va suivre
confirme la nature luciférienne de leur organisation
religieuse, portant cependant un manteau chrétien.
Les
papes se sont arrogé le titre honorifique de « Saint-Père
». Curieusement, Jésus-Christ utilise ce même titre divin
lorsqu’il s’adresse à Dieu, son Père (Jean 17 :11). De
même, aux évêques est conféré le titre de « Monseigneur ».
L’expression « Mon Seigneur » est un titre biblique,
exclusivement réservé à Dieu et à son Messie, que les
chrétiens utilisent tous les jours dans leurs prières. Le
titre officiel du pape est VICARIUS FILII DEI (vicaire du
fils de Dieu). Nos dirigeants spirituels ont-ils manifesté
du respect à la sainteté de Dieu en s’attribuant ces
titres divins ?
La
Bible enseigne clairement que tout chrétien qui croit
comme Abraham et qui accepte Jésus-Christ comme Sauveur,
est rendu juste devant Dieu. Un tel chrétien est un saint
aux yeux de Dieu, grâce au substitut du sacrifice sanglant
de Jésus à la croix. Il n’y a pas d’autres critères à la
sainteté. Et seul Dieu qui sonde les cœurs est habilité à
désigner les saints. Malheureusement, nos papes, mus
seulement par la chair et le souffle humains, pécheurs
donc par nature, canonisent des saints selon des critères
qui leur sont propres. Ils ont ainsi usurpé à tort le
pouvoir et le droit divin, en portant une atteinte grave à
l’autorité de Dieu, atteinte confirmée par de telles
dérogations spirituelles. Ces gens ont abusé de la naïveté
et de l’ignorance des peuples du Moyen-âge et de notre
époque. Et soutenus parleurs armées puissantes, ils ont instauré
un règne purement méphistophélique qu’ils ont revêtu d’un
manteau de sainteté. Ils n’ont cure du Christ et de son
Évangile d’amour. Le récit suivant est un résumé succinct
de l’histoire de la vie licencieuse des papes. Il
constitue une preuve indéniable et démontre combien ces
papes n’étaient pas chrétiens, et ne représentent pas
Jésus-Christ sur terre.
–
Le Pape Zépherin (199-217). Sanctifié. Il n’était ni
chrétien, ni apôtre encore moins un pape. Il était plutôt
le grand prêtre sacrificateur dans le temple de la déesse
Cybèle, sur la colline du Vatican. Connu sous le titre
honorifique de Pontifex Maximus, il pratiquait l’inceste,
la pédophilie, des sacrifices humains liés
à
du cannibalisme.
–
Le Pape Calixte I (217-222). Pontifex Maximus. Sanctifié.
Lui aussi n’était ni chrétien ni apôtre encore moins un
pape. Il fut le grand prêtre sacrificateur de son époque
dans le temple de Cybèle sur la colline du Vatican.
Meurtre, infanticide, cannibalisme font partie de son
palmarès.
–
Le Pape Damasus I (366-384). Sanctifié, il fut élu pape,
au même moment que son frère Ursinus, par leurs différents
supporteurs. Il s’ensuivit une série d’émeutes, de
complots, de guérillas et d’assassinats. Le règne du Pape
Damasus I fut d’une extrême terreur. Accusé d’adultère et
de pratiques sataniques, il échappa au procès, après que
tous ses évêques furent assassinés. Il mourut à son tour
l’année d’après.
–
Le Pape Pascal 1er (817-824). Sanctifié, il déplut
fortement à son peuple. À sa mort, la population romaine
empêcha les prélats de l’enterrer dans la basilique
Saint-Pierre.
–
Le Pape Jean VIII (872-882). Il excommuniait, même pour
des faits mineurs. De ce fait, il s’attira beaucoup
d’ennemis. Empoisonné par sa famille, et le poison
n’agissant pas assez vite, il fut achevé à coups de
marteau.
–
Le Pape Adrien III (884-885). Sanctifié, il commença sa
carrière par un règlement de compte, en faisant crever les
yeux à l’un des assassins de Jean VIII. Néanmoins, il fut
béatifié par pape León XIII. Il fut vraisemblablement
assassiné, et la population pilla sa basilique, alors que
les moines de l’Abbaye de Modène disparaissaient les bras
remplis d’objets de valeur.
– Le Pape Jean XII
(955-963). Il devint pape à l’âge de 17 ans, par une
épreuve de force. Ce pape avait un goût raffiné pour les
femmes. Des veuves, des filles vierges et des femmes qui
venaient en pèlerinage à Saint-Pierre de Rome furent
conduites de force sur son lit. Il mourut finalement dans
les bras d’une de ses concubines.
–
Le Pape Benoit IX (1032-1044, Avril-Mai 1045, 1047-1048).
Il était connu sous le nom de « L’enfant pape ou le jeune
Saint-Père ». Il fut élu pape à l’âge de douze ans, grâce
à l’immense fortune de la famille Tuscalani dont il est
descendant. Ainsi, il paya le suffrage des cardinaux qui
lui vendirent leurs votes. Il s’empara du siège papal par
deux fois, duquel il abdiqua trois fois. La seconde
abdication fut au profit d’un mariage qu’il ne parviendra
pas à contracter. Il prenait aussi plaisir à organiser des
orgies homosexuelles dans ses palais.
Le
chroniqueur Raoul Glaber, dans son livre « l’Histoire »,
écrivait qu’en matière de dépravation et de décadence,
pape Benoit IX tient la vedette sur ses prédécesseurs. De
connivence avec ses frères ainés, l’enfant pape avait
établi un règne d’une extrême terreur. À l’âge de 20 ans,
il avait battu le record de tous les crimes et vices, à
telle enseigne que la chrétienté en fut étonnée, pour se
demanders’il s’agissait de cet
ange qu’ils ont connu un peu plus tôt. L’on ne put trouver
de parallèle à sa vie licencieuse, que celle de l’empereur
romain Caligula, qui fut un homme foncièrement dissolu. Le
témoignage sur la vie immorale et insolente du pape révèle
son insouciance absolue pour les affaires religieuses et
la chasteté. L’évêque Benno, historien catholique,
accusait aussi le pape de plusieurs meurtres infâmes et
d’adultère. L’un de ses successeurs écrivait à son sujet :
« Il a commis des viols, des assassinats, et des actes
indescriptibles […] il fut souvent contraint de quitter
Rome en toute urgence […] sa vie pontificale était si
vile, si sale, si exécrable […] si horrible que je tremble
à l’idée de vous les relater » (pape Victor III
[1086-1087], dans son livre “Dialogues” Book iii).
Le
Saint-Siège dira de lui : « Il fut le pire des papes
depuis Jean XII […] il était jeune, matérialiste, immoral,
cruel, et indifférent aux choses spirituelles. Le
témoignage de son immoralité dépasse tout entendement »
(“The Popes, A Concise Biographical History”, Burns and
Oates, Publishers to the Holy See, London, 1964, p. 175,
passim). Officiellement, il a ouvert les portes du Vatican
aux homosexuels, transformant le palais des papes en un
bordel profitable pour gay (“Lives of the Popes”, Mann).
Son caractère violent et immoral poussa la population de
Rome à se révolter violement contre lui. Plus d’une fois,
il fut expulsé de la ville. Mais il revenait toujours au
pouvoir, grâce à ses puissants alliés. En Janvier 1044,
choqués par sa vie de débauche, les romains élurent un
certain Jean qui devrait régner sous le nom de pape
Sylvestre III. Mais les frères ainés de Benoit
l’expulsèrent de la ville, d’où il dut s’enfuir vers les
montagnes pour avoir la vie sauve. Du fait qu’il était
désavoué et rejeté par tous, pape Benoit céda son trône,
au prix de 900 kg d’or, à son parrain. Celui-ci devint son
successeur sous le nom de pape Grégoire VI (1045-1047), et
s’en alla mener une vie de débauche jamais égalée
(“Galian’s History of the Church”). La population eut de
la répugnance à l’encontre de cette transaction considérée
comme de la simonie. Alors, elle se souleva contre
Grégoire VI. Pour mater ces soulèvements et consolider son
règne, ce pape acheta des armes et loua les services de
soldats mercenaires. Mais coup de théâtre ! En 1047, le
débauché pape Benoit réapparut subitement, et se mit à
réclamer son trône papal. Dans des châteaux, il avait déjà
fini de dilapider son or, évidemment, à travers une vie
impudique. Il s’installa confortablement dans l’église
sainte Marie Majeur de Rome, et se proclama pape. Mais
l’empereur Henri III (1017-56) avait promu Clément II
(1046-1047) comme pape. Clément II mourut la même année,
des suites d’empoissonnent. Benoit, à qui l’opinion
attribuait la paternité de cet empoisonnement, reprit,
avec une indiscrète arrogance, le siège papal. Huit mois
plus tard, en 1048, on retrouva le débauché pape, mort et
baignant dans son sang, la gorge tranchée, alors qu’il
avait 28 ans. Les services funèbres refusèrent de lui
donner un cercueil. Discrètement, au
cours de la nuit, son corps fut emballé dans des draps et
jeté dans la forêt (This is an extract from a
pre-publication manuscript called, “The Criminal History
of the Catholic Church” by Tony Bushby).
–
Le Pape Innocent III (1198-1216) est issu d’une noble
famille de Rome qui compte neuf papes dans sa lignée
familiale. Il est l’auteur de la Sainte Inquisition en
1199, qui était destinée à contrer le vandalisme, le
judaïsme, le catharisme, le protestantisme, de même que
tout mouvement qui n’était pas catholique. Ce pape utilisa
les milices de Simon de Monfort pour détruire des villes
entières, comme Carcassonne, Toulouse, Béziers, parce que
les habitants avaient refusé de consigner les adeptes de
Valdo (Vaudois). À Béziers seulement, plus de sept mille
(7.000) habitants furent massacrés. Les milices
catholiques entrèrent dans ces villes, et sans se soucier
de distinguer les hérétiques de ceux qui ne l’étaient pas,
elles effectuèrent les massacres, criant : « Tuez-les
tous, car Dieu saura distinguer les siens. » Il faut
rappeler qu’Innocent III, lors de la dernière année de son
pontificat, fit voter par le Concile du Latran IV une loi
qui obligeait les juifs à s’habiller en jaune, afin qu’ils
puissent être soumis au mépris du public. Ce pape n’était
pas chrétien. Dans son œuvre intitulée « Registro », le
pape Innocent III peignait des caricatures satiriques et
démoniaques pour désigner les croyants de Jésus-Christ
qu’il surnommait « des cochons avec des croix ». Il
autorisa l’attaque, le vol et le meurtre des habitants de
Constantinople, où plus de cent mille (100.000) innocentes
femmes, hommes et enfants furent massacrés. Sous le Pape
Innocent IV, successeur d’Innocent III, les lois
inquisitoires furent confirmées et aggravées. Quiconque
aurait été déclaré hérétique, était automatiquement
emprisonné et condamné à mort, avec confiscation de biens.
–
Le Pape Honoré III (1216-1227) est le promoteur de la
magie noire et de la prophétie de Moloch (Malachie). Il
fut le premier pape à pratiquer et à codifier la magie
noire. Il déclara qu’il y a une prophétie de moloch dans
les dernières phrases d’une personne agonisant dans le
feu. Sous son règne, des centaines de milliers de Cathares
furent brûlés vivants, tandis que les scribes du Vatican
étaient occupés à transcrire les derniers mots des
agonisants qui cuisaient dans les flammes.
–
Le Pape Boniface VIII (1294-1303). Sanctifié, il ordonna
aux troupes papales en 1297 de massacrer toute la
population de la ville de Palestrina appartenant à une
famille rivale. Six mille (6000) innocentes personnes
périrent au cours de cette extermination.
Il
était perçu comme un génie de la magie noire qui traitait
avec le Malin. Il ne croyait pas en Jésus-Christ, et
déclarait que le péché de la chair n’était pas du tout un
péché. Il causa la mort du pape Célestin et de bien
d’autres. Il possédait une idole dans laquelle un esprit diabolique
était enfermé et qui lui répondait chaque fois qu’il
consultait celui-ci. En 1303, il fut capturé dans la ville
d’Agni et conduit à Paris devant un tribunal. En présence
de cinq cardinaux et de 22 évêques, le pape Boniface VIII
fit cette déclaration historique : « Il n’y a pas de
Jésus-Christ et l’Eucharistie n’est que de l’eau et de la
farine. Marie n’était pas une fille vierge tout comme ma
mère et il n’y a aucun mal à commettre l’adultère tout
comme vous croisez vos deux mains ». Il a commis l’inceste
avec ses enfants mâles et femelles. De ses relations
incestueuses avec ses filles naquirent plusieurs autres
enfants illégitimes. Il est accusé de dépravations,
associées au cannibalisme, au sexe et au meurtre. Les
orgies sexuelles, les rites de meurtre d’enfants et de
cannibalisme pratiqués lors des grands-messes sataniques,
étaient courants dans la Basilique Saint-Pierre du
Vatican. Il institua la sodomie et le sacrifice vivant
d’enfants, sous prétexte qu’il s’agissait de la même
tradition que celle pratiquée par les anciens Grecs. Ses
propres enfants furent sodomisés et ensuite exécutés sur
l’autel de Saint-Pierre au Vatican, en sacrifice à Satan.
–
Le Pape Jean XXII (1316-1334) déclara hérétiques tous ceux
qui donnaient de l’importance à la pauvreté du Christ. Il
confisqua des biens aux Juifs et accumula ainsi une
immense fortune, bannissant également le Talmud en 1322.
–
Le Pape Benoît XII (1334-1342). C’est de son ivrognerie
notoire que serait née l’expression « ivre comme un pape
». Il fut évêque et inquisiteur de Pamiers dans sa ville
natale, où il se faisait remarquer par sa cruauté. Lors de
son couronnement, après qu’on a posé la couronne papale
sur sa tête, pape Benoît XII s’était écroulé sur le champ,
complément ivre. L’évêque Molet (historien catholique sur
la vie des papes) commentait à son sujet : « il n’y a
aucune dispute sur son caractère. Sa gloutonnerie, sa
vulgarité et son caractère violent étaient notoires. Il
buvait continuellement du vin fort, tombait souvent dans
l’inconscience et était incapable de regagner sa chambre
papale. Menteur et soulard attitré, il était brutal avec
le clergé. Toute l’Europe demanda sa destitution, mais
l’avide et vindicatif pape français s’accrocha à ses
loques papales, ce, durant huit ans. Il fut un meurtrier
sans vertu, au point que le Vatican, par une fausse
excuse, disait de lui qu’il était possédé par le diable »
(Vati leaks/ “Drunk as a pope”. origin of the saying)
–
Le Pape Urbain VI (1378-1389) fut élu en 1378 par un
concile de Rome. Connu sous le nom de « pape paranoïaque
», il était remarquablement intelligent. Mais pour des
raisons inconnues, il emprisonna six de ses cardinaux
qu’il prit le malsain plaisir de tuer par noyade. On dit
de lui qu’il avait pris l’habitude de soumettre à une
torture atroce toute personne susceptible de succéder à
lui. Il faisait ensuite disparaître ses victimes.
Comploteur obsédé, alcoolique, et
personne perçue comme folle, il fut à l’origine du schisme
qui déboucha sur l’établissement de la papauté d’Avignon.
Il mourut isolé en 1389.
–
Jean XXIII (1410-1415). Homonyme de celui qui fut canonisé
en Avril 2014. Celui-ci fut un antipape. Trente-sept
Évêques ont présenté une déclaration à un concile de
l’Église que pape Jean XXIII était coupable de
fornication, d'adultère, d'inceste, de sodomie, de vol, de
simonie et d'avoir violé trois cents religieuses (91).
–
Le Pape SIXTE IV (1471-1484) était membre de l’ordre
Franciscain. Il fut le pape qui décréta en 1472
l’Inquisition espagnol au cours duquel un millier de
Juifs, des musulmans et des protestants furent cruellement
tués. Quatre-vingt-quatre (84) Portugais furent brûlés
vifs la même année, lors de l’inquisition portugaise. Il
fut un ancien élève d’une école satanique spécialisée dans
l’adoration de la déesse Cybèle, Reine du Ciel. En 1476 le
pape Sixte IV réinstaura une ancienne fête païenne des
Saducéens en l’honneur de Cybèle. Ainsi, il désigna le 8
Décembre comme fête de l’Immaculée Conception de la Vierge
Marie, Reine des Cieux. Il existe des preuves qui
certifient que ce pape ait eu des enfants illégitimes avec
plusieurs maîtresses. De ses relations incestueuses avec
sa sœur Raffaele delle Rovere (1423-1477) naquit un fils
illégitime (Giuliano delle Rovere) qu’il promut au rang
d’évêque de Carpentras en France. Quelques mois après, il
le nomma Cardinal de San Pietro (Vincula), alors que
l’enfant était seulement âgé de dix-huit (18) ans. Cet
enfant deviendra plus tard pape Jules II (1503-1513). Il
désigna un autre de ses fils « neveu », Raffaele Sansoni
Galeoti Riario, comme Cardinal de St George (Velabro),
alors que l’enfant était âgé de 26 ans. Pour des raisons
dynastiques, Sixte IV déclarera la guerre à la ville de
Florence qu’il assiégera pendant deux ans, et où des
milliers de personnes moururent. Il fut fidèle à la
vieille tradition des papes qui consistait à faire des
enfants illégitimes. Pire, il eut des relations
incestueuses avec ses enfants mâles et femelles. De ces
relations incestueuses avec ses filles naquirent d’autres
enfants illégitimes. Il fit des sacrifices humains sur des
autels sataniques. Délibérément, Sixte IV contamina sa
propre sœur et ses enfants de la syphilis, à travers des
actes incestueux répétés. La syphilis qui était une
maladie mortelle à l’époque causa ainsi la mort de
plusieurs membres de sa famille, incluant ses propres
enfants. Les accusant d’être responsables de la mort d’un
enfant chrétien nommé Simon, presque tous les Juifs de la
ville de Trente furent torturés et brûlés vifs en 1475.
–
Le Pape Alexandre VI (1492-1503). L’âge d’or de la
débauche ! Son règne fut dominé par la luxure, l’avarice,
le népotisme et les empoisonnements. Il fut le pape le
plus embarrassant pour l’Église catholique. À la mort
d’Innocent VIII, Rodrigo Borja fut élu Pape Alexandre VI,
après 14 jours d’intrigue entre les cardinaux. Pendant le
conclave, des factions armées connues sous le nom
d’escadrons, tuèrent plus de deux cents (200) personnes
dans les rues de Rome. Rodrigo Borja paya d’importantes
sommes aux électeurs avant les votes, car il avait amassé
d’immenses richesses. Même onze des cardinaux lui
vendirent leurs voix, faits que l’Église a reconnus
(Diarium of Burchard, appendix two vol. iii). Les
cardinaux, évitant de voter un français, lui vendirent
leurs voix, à cause de ses origines espagnoles. Le jour
même où il fut consacré pape, il nomma son fils César,
archevêque de Pampelune à l’âge de 15 ans, puis cardinal.
Les détails sur la vie de ce pape nous sont connus grâce
au témoignage du prélat strasbourgeois Jean Burchard, qui
tint un rigoureux journal des événements autour du pape,
heure après heure. Ce pape pratiquait des sacrifices
d’enfants brûlés vifs dans des cérémonies sataniques y
inclus ses propres enfants illégitimes. Don Cesar Borja
fut le fils préféré du pape. Il le nomma évêque alors
qu’il était âgé de sept (7) ans, puis Cardinal et chef des
armées du Vatican à 18 ans. On le soupçonne aussi d’avoir
fait assassiner et jeter dans le Tibre son frère aîné. Ce
pape fut un pervers sexuel, qui pratiquait publiquement
des orgies sexuelles dans les palais du Vatican. Ainsi, au
soir du 30 Octobre 1501 Don Cesar Borja, fils préféré du
pape, offrit à son père un souper sur la place
apostolique, avec 50 prostituées. Après ce souper, elles
exercèrent des danses acrobatiques, toutes nues, sous le
regard admirateur du pape. Les convives devaient
manifester leur virilité auprès des danseuses, les plus
performants étaient récompensés par des cadeaux. La soirée
s’acheva par un obscène concours de beauté, et le pape
remit les différents prix. Ensuite le pape et Don Cesar
prirent chacun une partenaire de leur choix, pour la nuit
et pour de futures alliances.
Pour compter du 31 Octobre 1501, le pape, les cardinaux,
le clergé, les religieuses et d’autres officiels de
l’Église catholique organisèrent pendant plusieurs jours
la plus grande perversion d’orgie sexuelle jamais
enregistrée dans l’histoire. Ces orgies sexuelles avaient
pour but de faire la promotion du satanisme. Ces orgies
impliquèrent plusieurs centaines de personnes, avec des
meurtres rituels de plusieurs innocentes personnes, et de
fréquents actes de cannibalisme. Le pape soutint
faussement que de telles perversions sexuelles relevaient
de la tradition des nobles familles européennes et de la
Grèce antique. Ce pape pratiquait ouvertement l’inceste et
la sodomie. Il eut des enfants avec ses propres filles.
Selon le livre « Histoire des papes » il ressort que pape
Alexandre VI a eu des relations incestueuses avec sa fille
Lucrèce Borgia, desquelles naquirent d’autres enfants.
Lucrèce était alors connue sous le nom de « la fille du
pape, sa femme et sa belle-sœur » (35). Magicien, athée et
sataniste invétéré il se souciait peu du christianisme. Il
disait souvent : « Dieu tout-puissant, jusqu’à quand va
durer cette superstitieuse secte de christianisme ? »
(36). C’est ce pape Alexandre VI qui ordonna l’assassinat
de Girolamo Savonarola. Il mourut en buvant par
inadvertance dans le verre empoisonné qu’il avait préparé
pour son hôte. À sa dernière heure, l’évêque de Carinola
lui donna l’extrême-onction. Mort, son cadavre enfla
tellement qu’on ne put le mettre dans le cercueil qui lui
était destiné. On le roula ainsi provisoirement dans un
tapis, pendant que ses appartements furent livrés au
pillage, etc. (17, 30).
–
Le Pape Paul III (1534-1549) fut un pédophile notoire et
père de quatre enfants. Il fut un autre pape athée qui a
affirmé la non-existence du Christ. En 1540 il fit tuer
tous les habitants de la ville de Mérindol (France), parce
qu’ils avaient embrassé la foi des protestants
évangéliques. Leurs biens furent confisqués et la ville
resta déserte et inhabitable. Le 4 Avril 1535, tous les
anabaptistes de la ville de Munster (Allemagne) furent
massacrés. Jean de Leyde, leur chef fut tué après avoir
été soumis « à un horrible supplice ». Fidèle à la
tradition des papes en vogue, depuis plus de 700 ans, ce
pape eut trois fils et une fille. Il commit l’inceste avec
eux. Il pratiquait la sorcellerie et l’astrologie. Il tua
sa propre mère et ses nièces pour de l’argent, et pour
sécuriser son héritage. Il tua plusieurs prêtres et
évêques qui étaient en désaccord avec sa papauté.
Passionné d’astrologie, il ne prenait aucune décision sans
interroger les astres.
–
Le Pape Léon X (1513-1521) fut un pape athée qui déclara
la non-existence du Christ. Le pontificat de Léon X était
marqué par un luxe insolent dans la curie romaine. En
effet, pendant des mois, le Saint-Père partait à la
chasse, activité interdite aux précédents papes,
accompagnés de 200 cavaliers et des cardinaux les plus
robustes. Il vivait entouré de 683 serviteurs, allant de
l’archevêque aumônier au gardien des éléphants, et coûtant
au Saint-Siège 100 000 ducats par an. Il organisait
également de nombreux concerts et représentations
théâtrales. Pour faire face à ces immenses dépenses, il
fallut recourir à l’augmentation des droits de
chancellerie, à la vente d’office de cour, et à la vente
de titres de cardinalices.
Les
caisses du Vatican étant vides. Léon X se montra
astucieux, en ayant la brillante idée de créer 30 nouveaux
postes de cardinaux, et de les céder contre une certaine
somme d’argent qui servirait à renflouer ses comptes… Il
rédigea, par conséquent, la camera taxae dont voici
quelques extraits :
–
Article 1 : Un ecclésiastique qui commet un péché charnel
avec ses propres sœurs, filles, cousines, nièces ou avec
une autre femme, sera acquitté contre le paiement de 67
livres.
–
Article 2 : Si un ecclésiastique demande l’absolution pour
avoir commis des péchés contre nature avec un enfant ou
avec une bête, il pourra l’obtenir en payant 131 livres.
– Article 5 : Aux prêtres, il est permis
de vivre en concubinage avec leurs propres parents contre
le paiement de 76 livres.
– Article 9 : Si un prêtre tue un
laïque, il peut avoir l’absolution en versant la somme de
15 livres.
–
Article 10 : Si l’assassin a tué deux personnes ou plus le
même jour, il paiera
15
livres comme s’il en avait tué un seul.
– Article 14 : Pour l’homicide d’un
frère, d’une sœur, du père ou de la mère, il faudra payer
17 livres.
– Article 18 : Celui qui veut se
garantir l’absolution pour tous les homicides qu’il pourra
commettre dans le futur paiera 168 livres.
– Art. 29 : le fils bâtard d’un prêtre
qui veut succéder à son père dans ses fonctions
religieuses paiera 27 livres. Ce pape mourut de la
malaria.
–
Le Pape Paul IV (1555-1559) s’afficha en Patron de
l’abjuration. Il fut tristement célèbre pour sa
corruption, sa débauche et son recours à la simonie. Dès
1542, Paul IV se fit passer pour président de la nouvelle
commission de l’Inquisition. On lui prête cette citation :
« Si mon propre
père avait été quelque peu convaincu d’hérésie,
j’aurais rassemblé mes mains et ramassé le bois de son
bûcher ». La torture, alors appliquée aux
suspects, fut étendue à l’ensemble des témoins. Il
organisa une persécution inédite des juifs dans les États
du Pape, en imposant leur détention dans les ghettos, et
le port d’un bonnet jaune, particulièrement distinctif. À
sa mort, la population romaine fit la fête, et jeta sa
statue dans le Tibre.
–
Le pape Pie IV (1559-1565) fut le pape sous lequel les
moines de l’Abbaye de Perosa (Pinerolo) s’amusèrent à
brûler vifs, à feu lent, un prêtre évangélique avec ses
fidèles en Décembre 1559. Au même moment eut lieu le
massacre de Vaudois en Calabre effectué par des bandes de
délinquants que la Sainte Mère Église avait engagées. Des
hommes, des femmes, des anciens comme des enfants furent
atrocement torturés avant d’être tués sur ordre direct du
Pape. Cette même
année,
àSanto-Xisto, à la
Guardia, à Montalto et à Sant’Agata, on fit des choses
inouïes : des gens furent égorgés, écartelés, brûlés et
horriblement mutilés. Des restes de cadavres humains
furent pendus aux portes des habitations. Ce fut dans un
but dissuasif, à l’adresse de la population. Ceux qui
s’enfuirent dans les montagnes furent assiégés, jusqu’à ce
qu’ils mourussent de faim. De nombreuses femmes et enfants
furent réduits à l’esclavage (30). En 1560, quatre mille
(4.000) Vaudois furent massacrés sur ordre de la Sainte
Mère Église. En 1562, l’on brûla vives pour sorcellerie,
trois cent (300) personnes à Oppenau, 63 femmes à
Wiesensteig et 54 autres à Obermachtal en Allemagne.
–
Le Pape Pie V (1566-72) fut sanctifié. Il fut élevé par
l’Église aux honneurs des autels. Avec ce Pape, ce fut
l’horreur. À titre d’exemple, le 30 Septembre 1567, Paolo
et Matteo, Ottaviano Fioravanti, Giovannino Guastavillani,
Geronimo del
Puzo, furent tous emmurés vivants pour hérésie. Avec «
bolla papale » on décida à Rome de la fermeture de toutes
les synagogues.
–
Le Pape Grégoire XIII (1572-1585). C’est sur ordre de ce
pape qu’eut lieu en France, le 24 Août 1572, Nuit de la
Saint Barthelemy, l’horrible massacre des Huguenots, dans
lequel dix mille (10.000) hérétiques périrent. Une autre
version révèle que ce 24 Août 1572, Nuit de la
Saint-Barthélemy, l’on massacra vingt mille (20 000)
protestants, hommes, femmes et enfants, en une seule nuit,
et sur ordre direct de ce pape. Il organisa même des
festivités pour célébrer ce massacre que les catholiques
continuent d’honorer. Le Vatican lui édifia une tombe
pharaonique dans l’église Saint-Pierre de Rome… En 1573 et
en Croatie, cinq cents (500) hérétiques furent massacrés
par l’évêque catholique Juraj Draskovic, sur ordre papal.
En 1558, deux cent vingt-deux (222) juifs furent brûlés
sur le bûcher, encore sur ordre de ce pape. Le 22 Mars
1585, les frères Missori furent décapités pour avoir
exprimé le droit à la liberté de la presse. Leurs têtes
furent exposées au public. Lorsque l’ignoble bourreau en
la personne de Grégoire XIII mourut, son corps devint un
objet de révérence pour les catholiques, à travers sa
tombe monumentale qu’abrite Saint-Pierre de Rome.
–
Le Pape Grégoire XVI (1831-1846) imposa une interdiction
absolue de toute liberté d’expression verbale ou écrite,
qui ne suivrait pas les dictamens de la Sainte Mère
Église. Sous les menaces les plus graves, il obligea les
juifs à n’exercer aucune activité au dehors du Ghetto.
Avec ce pape, des milliers de personnes moururent pour des
futilités. Ainsi, Giuseppe Balzani fut décapité pour des
offenses au Pape le 14 Mai 1833, Luigi Scopigno pour le
vol d’objets sacrés le 21 Juillet 1840, Pietro Rossi pour
un vol anodin le 9 Janvier 1844, Luigi Muzi, fut décapité
pour un vol minime le 19 janvier 1844, et Giovanni
Battista Rossi pour un petit vol le 3 Août 1944.
En
plus de ces exécutions, il y eut sous le pontificat de ce
Saint-Père, cent dix
(110)
autres condamnations à mort pour des délits communs. La
description des nombreux décapités, pendus et écartelés
par l’Inquisition sous Grégoire XI, est reportée dans un
livre écrit par Mastro Titta (catholic.info).
–
Le Pape Sixte V (1585-1590), après avoir repoussé la
demande de remplacer la fourche par la hache, assistait
joyeusement aux exécutions, se faisant servir à manger,
car « ces actes de justice lui donnaient de l’appétit ».
Et après donc l’exécution d’une sentence il disait : «
Dieu soit béni pour le grand appétit avec lequel j’ai
mangé ».
–
Le Pape Urbain VIII (1623-1644) condamna en 1633 le savant
Galileo Galilei
à la prison à perpétuité, pour hérésie
parce qu’il avait osé affirmer que la terre tournait
autour du Soleil.
– Le Pape Innocent XI (1676-1689),
sanctifié, il condamna en 1680 vingt (20) juifs au bûcher.
Le 2 Août 1685 périssait par le feu, Vincenzo Scatolari,
pour avoir exercé la profession de journaliste, sans
l’autorisation préalable de la Sainte Mère Église. En mai
1686, deux mille (2.000) Vaudois furent massacrés par les
catholiques dans les vallées alpines, sur ordre direct du
Pape. 24 protestants furent tués par les catholiques à
Pressov en Slovaquie en 1687.
–
Le Pape Clément VII (1523-1534), en rétablissant la «
mazzolatura » (rupture des os à coups de bâton), se montra
un des plus cyniques souteneurs de l’art de la torture.
–
Le Pape Pie IX (1846-1878), sanctifié, eut 31 ans de
règne. Il s’agit du plus long pontificat jamais
enregistré. Malheureusement, ses prisons contenaient huit
mille (8000) prisonniers politiques. En 1870, lorsque les
troupes françaises qui assuraient sa sécurité furent
rappelées en France pour cause de guerre contre
l’Allemagne, l’Italie saisit l’occasion pour proclamer son
indépendance et sa réunification. Rome est déclarée
capitale de l’Italie, et le Vatican fut réduit à ce qu’il
est aujourd’hui. Mais pour comprendre la criminalité de ce
Pape saint, il suffit de se rappeler que lorsque les
patriotes de l’unification italienne entrèrent dans les
prisons pontificales pour libérer les prisonniers qui y
croupissaient, enchaînés depuis une si longue période, ils
constatèrent que ceux-ci avaient perdu la vue et l’usage
de leurs membres. De plus, ils trouvèrent dans ces
souterrains des tas de squelettes et de cadavres en
décomposition. Ce fut un mélange de soutanes de moines et
de sœurs, de vêtements civils d’hommes et de femmes,
d’uniformes et de chaussures militaires, exactement comme
lorsque furent libérés les champs d’extermination nazis.
On y trouva aussi des jouets d’enfants, morts avec leurs
parents. En 1881, lors du transfert de sa dépouille, la
population romaine tenta en vain de s’en emparer, afin de
la jeter dans le Tibre. Bien qu’il ait commis des crimes
contre l’humanité, il fut néanmoins béatifié par Jean-Paul
II en l’an 2000. Il fut appelé « mètre cube de fumier »
par Garibaldi.
– Le Pape Jules III (1550) avait une
passion pour les singes, à tel enseigne qu’il avait promu
le gardien de ses singes au rang de Cardinal.
–
Le Pape Léon XII (1823-1829) condamna la vaccination
antivariolique. Quiconque procédait à cette vaccination,
cessait du coup d’être un fils de Dieu. Selon lui, la
variole est un châtiment voulu par Dieu, et la vaccination
un défi contre le ciel (74).
–
Le Pape Pie XII (1939-1958), selon toute évidence, fut
l’un des papes qui voyait des soucoupes volantes. En 1950,
il vit le soleil « danser » plusieurs fois dans le ciel,
depuis les jardins du Vatican. Lors de la grande vague
d’ovnis de 1954, il observa deux apparitions divines, «
similaires à celles de Fatima ». Selon le
témoignage d’un agent des services secrets du Vatican, les
Papes Pie XII et Jean XXIII auraient eu des rencontres, et
même coopéré avec des extraterrestres, une race
d’aliénigènes (50). Pape Pie XII
mourut en 1958, des suites
d’une crise de hoquet.
– Le pape Paul VI (1963-1978) serait
responsable de l’assassinat du président américain John F.
Kennedy et de Aldo Moro (premier ministre Italien).
–
Le pape Jean-Paul II (1978-2005), béatifié en Mai 2011, il
sera canonisé le 27 Avril 2014. Adepte de
l’auto-masochisme, il se flagellait avec sa ceinture avant
de trouver le sommeil. Il fut recalé au prix Nobel de la
Paix en 2003. Bien qu’il soit écrit dans le Coran que
Jésus-Christ n’est pas le fils de Dieu, qu’il ne fut pas
crucifié, et qu’il n’est pas mort à la croix – un rejet
flagrant de Jésus-Christ et du plan de Dieu pour le salut
des âmes, le Pape Jean-Paul II a néanmoins embrassé
publiquement le Coran. Ce geste du pape pose une
problématique doublement préjudiciable : D’abord, «
embrasser le Coran », c’est aimer le Coran. Aussi, c’est
approuver son contenu qui dit que Jésus-Christ n’est pas
le fils de Dieu et qu’il n’est pas Dieu. Ce geste est
grave de la part d’un pape qui prétend représenter Dieu
sur terre ! Ensuite, lorsque le Coran dit que Jésus-Christ
n’est pas Dieu, il insinue aussi que le pape ne représente
pas Dieu sur terre. N’est-ce pas ?
Pour
s’initier au satanisme, les nouveaux adeptes doivent,
entre autres, planter
à l’inverse la croix du Christ, et dire
qu’ils rejettent le Christ et son salut. Officiellement,
le pape Jean-Paul II fut le premier à célébrer la messe
sous une croix inversée.
Au
vu de ces révélations, on constate que ce pape, à l’instar
de bien d’autres, a simplement présenté au monde un visage
chrétien, alors qu’au fond, il était lui aussi un
sataniste. Dans Matthieu 7 : 20, Jésus-Christ disait en
effet : « Vous les reconnaitrez par leurs actes. »
Selon la prophétie de Malachie (évêque d’Irlande) sur le
dernier pape, et selon l’article 64.6 du « Pactume De
Singularis Caelum », toutes les activités du Saint Siège
devraient cesser au jour de la rédemption (le vendredi 21
Décembre 2012). Cette date fatidique dont parle Nostra
Damus, et qui marque aussi la fin du calendrier Maya était
la présumée date de la fin du monde. De ce fait, le pape
de cette époque verrait la fin du monde. Il y avait donc
nécessité de choisir un vieux pape, et c’est ce qui
expliquerait l’élection de Benedict XVI qui accepta la
charge malgré son âge avancé. Il devrait être le dernier
pape.
–
Le pape Benedict XVI (2005-2013) est le pape qui protège
les démons. Il fut accusé publiquement de complicité de
pédophilie sur la scène mondiale. Il avait couvert les
actes pédophiles des prêtres, alors qu’il était le premier
responsable de l’Église catholique en Allemagne. En 1962
le cardinal Ratzinger, qui est devenu ensuite pape
Benedict XVI rédigeât le « Crimen
sollicitationis » (crime de sollicitations), une
vaste conspiration du silence absolument confidentielle,
instruisant comment dissimuler les crimes sexuels des
prêtres, tout en muselant les victimes. Pourtant, Joseph
Ratzinger était le président de la Congrégation pour la
doctrine de la foi, un département du Vatican chargé de
promouvoir et de protéger la doctrine et les mœurs. À ce
titre, il fut également chargé de son application. Et
pourtant voyez ce qu’il fit. Maintenant devenu pape, voyez
ce qu’il a encore fait, du moins, un seul exemple parmi ce
qui reste à être dévoilé : Les exorcistes catholiques sont
en colère contre ce pape et son prédécesseur. Ils les
accusent de protéger Satan et ses démons, en rendant
impossible ou inefficace les exorcismes pratiqués au sein
de l’Église. Pour se faire, ces papes auraient rédigé un
nouveau rituel de délivrance qui devrait remplacer
l’ancien rituel romain. Malheureusement, lorsqu’il est
utilisé, ce nouveau rituel est inefficace car la personne
possédée n’est pas délivrée. Selon l’exorciste officiel du
diocèse de Rome, cette manigance « démontre la volonté du
Vatican de protéger le démon par l’instauration d’un rite
d’exorcisme délibérément conçu pour être inefficace ». Le
père Gabriele (Don Amorth), exorciste en chef de la cité
du Vatican, précise :
« Ratzinger (Pape Benedict XVI) est complice de cette annulation du rite traditionnel de l’exorcisme. Le nouveau rite a été instauré pour protéger Satan ». Sur le site Internet http://www.virgo-maria.org/(voir église conciliaire) ; aussi, dans une interview accordée à la revue italienne « 30 giorni » (Trente jours), on retrouve un entretien du 30 Juin 2011 que Stéfano Maria Paci a accordé au père Gabriele Don Amorth. Vous y trouverez des témoignages bouleversants relatifs à ce sujet : Un complot du Vatican qui a fait de l’Église catholique un refuge pour les démons et qui tente de les protéger. Les extraits que je propose ci-dessous sont des élocutions exclusives du père exorciste.
En
substance, voici ce que déclare Don Amorth : « le nouveau
rituel empêche l’exorciste de chasser le démon, et tout
particulièrement il interdit d’être pratiqué dans 90 % des
cas… » Et nous, exorcistes (…) sur de nombreux points,
nous n’étions pas d’accord avec le nouveau Rituel… Ce
Rituel tant attendu s’est transformé en farce. Une
incroyable entrave qui risque de nous empêcher d’agir
contre le démon. « Au point 15 (…), le maléfice est le mal
que l’on cause à une personne en recourant au diable (…)
les mauvais sorts, les malédictions, le mauvais œil, le
vaudou, le macumba (…). Le nouveau Rituel déclare (…)
catégoriquement, qu’il est absolument interdit de faire
des exorcismes dans ces cas-là. Absurde. Les maléfices
sont (…) au moins 90 % des cas. C’est comme dire aux
exorcistes de ne plus pratiquer l’exorcisme. » Nous
émettons une autre hypothèse : ce rite est délibérément
rendu inefficace afin de protéger l’action du diable dans
le monde.
«
J’ai réuni dix-huit
exorcistes que j’avais choisis parmi les plus experts de
la planète. Nous avons examiné le texte avec une grande
attention. Nous l’avons utilisé. » Nous tous, exorcistes,
nous avons essayé les nouvelles prières du nouveau Rituel
ad interim
et nous nous sommes rendu compte qu’elles sont absolument
inefficaces… RATZINGER EST COMPLICE DE CETTE PROTECTION
ACCORDÉE À SATAN. L’évêque apostat Wojtyla-Jean-Paul II et
le « cardinal » abbé apostat Ratzinger (aujourd’hui Benoît
XVI) ont été dûment informés de cette situation
ahurissante de mépris envers les exorcistes catholiques
lors de la rédaction du nouveau rite conciliaire, mais ils
se sont bien gardés de ne rien faire pour intervenir ni
modifier en quelque manière cette rédaction perverse.
Ils
voulaient nous donner une arme émoussée. Les prières
efficaces, des prières qui avaient douze siècles
d’existence, ont été supprimées et ont été remplacées par
de nouvelles prières, inefficaces.
Ne
rencontrant plus les défenses que les exorcismes
établissaient autour de l’Église, le démon a pu, plus
facilement, faire rentrer des loups dans la bergerie et
placer ses suppôts dans des postes déterminants de la
hiérarchie de l’Église, préparant ainsi le terrain pour
Vatican II.
l’église
conciliaire collabore
désormais directement à cette protection de Satan et de ses
démons, elle
n’est pas du camp de dieu.
« Même détérioration du rite dans le
nouveau bénédictionnaire.
J’ai lu minutieusement ses 1200 pages. Eh bien ! Toute
référence au fait que le Seigneur doit nous protéger
contre Satan, que les anges nous protègent des attaques du
démon, a été systématiquement supprimée. Toutes les
prières pour la bénédiction des maisons et des écoles ont
été supprimées. Tout devait être béni et protégé, mais
aujourd’hui, il n’y a plus de protection contre le démon.
Il n’existe plus de défenses ni de prières contre lui. »
«
Nous avons organisé un
congrès international d’exorcistes, près de Rome. Nous
avons demandé à être reçus par le Pape (…) Mais la veille
de l’audience, Mgr de Nicolo nous a dit (…) de ne pas nous
présenter à l’audience, que nous n’étions pas admis.
Incroyable ! 150 exorcistes venant des 5 continents, des
prêtres parfaitement nommés par leurs évêques conformément
aux règles du droit canon qui exigent des prêtres de
prière, de science et de bonne réputation – et donc un peu
la crème du clergé – qui demandent à participer à une
audience publique du Pape et qui sont mis à la porte ! »
–
Stéfano Maria Paci : « Père Amorth, le satanisme se répand
de plus en plus. Le nouveau Rituel empêche, en pratique,
de faire des exorcismes. On empêche les exorcistes de
participer à une audience du Pape place Saint-Pierre.
Dites-moi franchement : que se passe-t-il ?
–
Don Amorth : La fumée de Satan entre partout. Partout ! On
nous a peut-être exclus de l’audience du Pape parce qu’on
avait peur que tant d’exorcistes réussissent à chasser les légions de
démons qui se sont installées au Vatican.
–
Stéfano Maria Paci :
Vous plaisantez, n’est-ce pas ?
– Don Amorth : Cela peut sembler une
plaisanterie, mais je ne crois pas que cela en soit une. »
– Stéfano Maria Paci : Comment êtes-vous
vus, vous exorcistes, à l’intérieur de l’Eglise ?
–
Don Amorth : Nous sommes très mal traités. Nos confrères
prêtres qui sont chargés de cette tâche délicate passent
pour des fous, des exaltés. Ils sont même en général à
peine tolérés par les évêques qui les ont nommés… Je
pourrais citer une quantité d’évêques et de cardinaux qui,
à peine nommés dans un diocèse, ont retiré à tous les
exorcistes la faculté d’exercer…
Les
vacances de Benedict XVI à Lorenzago di Cadore, dans le
massif des Dolomites du 9 au 27 Juillet 2007 auraient
coûté à la collectivité un million d’euros. Un de ses
prêtres indigné lui écrit : « Cher pape, ça ne va pas.
Quand tu te regardes dans la glace, ton visage doit être
celui du Christ sur terre (…) mais
comment durant de telles vacances peux-tu ressembler à
Jésus, mon maître comme le tien, qui n’avait même pas une
pierre pour poser sa tête ? »… (39)
Voici les titres de ce pape : Primat d’Italie, évêque de
Rome, Patriarche d’Occident, Vicaire de Jésus-Christ,
Serviteur des serviteurs de Dieu, Successeur du prince des
apôtres, Pontife Suprême de l’Église universelle,
Souverain de l’état de la ville du Vatican, Archevêque
métropolitain de la province romaine, etc.
A coup sûr,
Le
pape Benedict XVI est un sataniste
pleine
adoration satanique au Vatican. Photo
authentique
Au soir du 21 Décembre 2012, au dernier jour,
contrairement aux attentes du Vatican, la vie a suivi son
cours normal. La prophétie sur la fin du monde et du
dernier pape était donc fausse. Le 10 Février 2013, pour
des raisons sur lesquelles l’histoire nous éclairera, le
Pape Benedict XVI a surpris le monde entier, y compris ses
Cardinaux, en se déclarant inapte pour la fonction papale.
Il rendit sa démission le même mois.
–
Le Pape François (Mars 2013-). Ce pape, le dernier en
date, est le premier pape jésuite et le premier pape
latino-américain. Un pape d’apparence humble et sincère,
voué à la cause des pauvres. Il était l’homme fort du
Vatican, chargé de la formation des candidats à la
papauté. Il est enfin sorti de l’ombre pour se faire élire
pape, et régner sur l’Église catholique. De par son
appartenance à l’ordre des jésuites, ce pape fait partie
de la branche militaire du catholicisme, la milice de
Dieu. Leur point fort est l’espionnage, la dissimilation
et l’astuce. Selon Vati Leaks, les jésuites sont experts
en la magie ésotérique, et ce nouveau pape pourrait être
le chef du gouvernement secret des illuminatis, et à la
fois du gouvernement visible de l’Église catholique.
Lorsque ce pape mange de la viande, il la mange crue, oui,
absolument crue. C’est ce que révèle une servante devant
les caméras, témoignage diffusé dans l’émission
radiophonique francophone intitulée « Bob nous dit toute
la vérité » (89). À peine était-il élu pape que les
accusations fusaient. Il est tenu pour responsable de
l’enlèvement et de la mort des membres de sa paroisse,
dont des prêtres. En effet, des années après la dictature
brésilienne surnommée « La guerre sale », le journal El Mundo du 08
Novembre 2010, écrivait : « les survivants de la guerre
sale ont accusé publiquement le cardinal Jorge Bergoglio
(pape François) de complicité dans le rapt des prêtres
Francisco Jalics et Orlando Yorio Several, ainsi que six
autres membres de leur paroisse ». Le journal qui tient le
pape pour responsable, révèle que ces deux prêtres ont été
enlevés par les escadrons de la mort en mai 1976 et
relâchés cinq mois plus tard après avoir été torturés. Six
autres personnes liées à leur paroisse ont aussi été
enlevées dans le cadre de la même opération, et sont
portées « disparues ». Il s’agit de quatre professeures de
la paroisse et deux de leurs maris.
Bien
entendu, au lendemain de l’élection du pape François, et
comme on devait s’y attendre, le Vatican a catégoriquement
rejeté ces allégations. Pourtant, les archives de l’époque
fournissent trois indices à charge contre le Saint-Siège :
– En 2005, l’avocate des
droits de l’Homme, Myriam Bregman, a intenté des
poursuites contre le cardinal Jorge Marion Bergoglio,
l’accusant de conspiration avec la junte militaire dans
l’enlèvement de deux prêtres jésuites en 1976.
– Lorsqu’il a été
relâché de prison, le prêtre Orlando Yorio en personne, a
aussi accusé Bergoglio de les avoir livrés aux escadrons
de la mort. Un autre survivant de la guerre sale, le
prêtre Jalics, quant à lui, a refusé de discuter de la
plainte, après s’être retiré dans un monastère allemand (Associated Press,
13 Mars 2013).
– Toutes ces allégations
présentées comme aléatoires ont finalement été consolidées
par Julian Assange, lorsqu’il dévoila sur son site, les
dépêches confidentielles des services secrets américains.
Dans son site de publication de documents confidentiels, «
Les câbles de WikiLeaks
article 20259 », Julian Assange a publié une archive de
1,3 millions de communications diplomatiques et de
rapports des services secrets américains. Elle couvre les années de 1973 à 1976, et
est nommée
« The Kissinger Cables » (82). Cette base de données comprend des documents révélant certaines des opérations impitoyables que les États-Unis ont menées à travers le monde entier. Parmi ces câbles, une série de communications diplomatiques révèle la relation entre le Vatican et un certain nombre de régimes dictatoriaux (le Chili d’Augusto Pinochet, l’Argentine de Jorge Rafael Videla, et l’Espagne de Francisco Franco). Ces révélations confirment en effet les collusions entre le Vatican et les dictateurs argentins et jettent la lumière sur l’installation récente du nouveau Pape François, ex-archevêque de Buenos Aires. En peu de mots et sans détours, le nouveau pontife de Rome est profondément impliqué dans la « guerre sale » menée par la junte militaire argentine (81). Lire aussi « le Pape de la sale guerre » qui dit en substance : « Sur le trône papal a été placé un homme profondément et directement impliqué dans l’un des plus grands crimes de la période d’après-guerre… » (85).
La
première sortie du Pape François fut au Brésil, lors du
JMJ 2013 (Journée Mondiale de la Jeunesse). Ce voyage a
coûté au Brésil la somptueuse somme de cinquante-trois
millions de dollars. La jeunesse brésilienne, furieuse,
proteste… Cependant, Le Pape François a, sur ses épaules
la lourde responsabilité de reformer l’Église
catholique. Parviendra-t-il à reconvertir les papes
satanistes ou homosexuels à Jésus-Christ ou à défaut les
exclure de l’Église ? Chose impossible ! Parviendra-t-il
à mettre fin aux scandales de pédophilie,
d’homosexualité entre prêtres, ainsi que les abus
exercés par les prêtres catholiques sur les bonnes sœurs
? Chose impossible. Autoriser le mariage des prêtres
résorberait la plupart des
problèmes que rencontrent les sacrificateurs de l’Église
catholique. Le Pape François, parviendra-t-il à
concilier les 114 Cardinaux (composés pour la plupart de
satanistes, de gays, de rosicruciens et de conservateurs
irréductibles), et à les convaincre d’autoriser le
mariage des prêtres catholiques ? Du fait du caractère
tabou du mariage des prêtres catholiques, il y a tout à
parier que cette cause ne soit pas entendue au Vatican.
Pour s’en convaincre, le 4 Octobre 2013, dans la ville
d’Assise, Le Pape François a réaffirmé son attachement
au célibat et à la virginité des prêtres catholiques.
Enfin, parviendra-t-il à stopper les fréquents abus et
autres scandales financiers au sein du Vatican ? Si ces
énormes défis ne sont pas relevés, alors, il sera
impossible à l’Église de Rome d’être une Église
chrétienne, sainte et apostolique.
Les faits ci-dessus
énumérés constituent cependant une portion infime de ce
qui peut être dévoilé. Nous évoquons des faits clairement
enregistrés dans les documents de l’histoire, et que le
Vatican ne peut et n’ose démentir. Tous ces papes, et bien
d’autres dont il serait fastidieux de citer ici les noms,
portent le titre honorifique de « Sa Sainteté le Pape X ».
Sont-ce là des œuvres de sainteté ? À juste titre, Luigi
Cascioli disait : « Si tous ces papes étaient des saints,
qui alors étaient les démons ? »
Ne tombons pas dans l’étau de la négligence, en considérant ces faits historiques comme faisant partie d’un passé très lointain, relégué dans les oubliettes. En poussant vos recherches, vous verrez bien que nous vivons toujours ces mêmes guerres barbares que se livrent les papes. Notre génération est celle qui aura connu le triple meurtre successif de trois papes. En effet, en 1939, le Pape Pie XI s’apprêtait à prononcer un discours pour condamner le nazisme et le fascisme, mais il mourut subitement. Le cardinal français Eugène Tisserant, comme pour lui rendre justice répétait inlassablement « ils l’ont assassiné, ils l’ont assassiné, ils l’ont assassiné ! » Le corps du pape fut immédiatement embaumé, rendant toute autopsie impossible. Son successeur fut le Pape Paul XI, qui mourut subitement le 06 Août 1978. Son successeur fut Jean-Paul 1er. Quelques jours après son intronisation, pendant une rencontre avec le cardinal Nicodème de l’église orthodoxe de Russie, du café leur fut servi. Nicodème fut le premier à porter la tasse sur ses lèvres. Il tomba subitement à terre le visage vivement contorsionné, signe d’une mort douloureuse et violente. Le pape déposa sa tasse à café. Il venait juste d’échapper à une mort par empoisonnement, seulement dix jours après son élection. Le 28 Septembre 1978, quatre cardinaux et le pape tenaient une réunion. Les débats furent houleux, et un des proches du pape, le cardinal Villot perdit son poste. Le pape rédigea alors un discours qui devait être publié le lendemain. Mais tôt le matin, sans qu’on fit cas d’une quelconque maladie à son sujet, il fut retrouvé mort sur son lit, le visage vivement contorsionné, signe d’une mort atroce et douloureuse. Il venait d’achever son règne qui n’aura duré que 33 jours et six heures. Le discours qu’il s’apprêtait à rendre public, disparu ainsi que tout objet qui se trouvait à ses côtés. Au moment où l’on annonça sa mort, son corps avait déjà été embaumé, rendant ainsi toute autopsie impossible. Cent onze (111) cardinaux se rassemblèrent alors dans la Chapel Sixtine, le dimanche 15 Octobre 1978 pour élire un nouveau pape. Après huit vaines tentatives de vote, l’on parvint àl’élection du Pape Jean-Paul II, un pape anticommuniste. Trois ans plus tard, le 13 Mai 1981, l’on tira à trois reprises sur lui, en plein cœur du Vatican. Il échappa de justesse à la mort, grâce aux prouesses de la chirurgie et de la médecine moderne. Quelles en sont les causes ? Pendant que certains documents d’investigation parlent de scandale financier lié à la drogue, d’autres qui n’excluent pas cette possibilité y associent un complot du communisme soviétique, une conspiration commanditée depuis le Kremlin par les Illuminatis, dont le but serait de contrôler le Vatican, cet empire mondial (28).
Même de nos jours, la
bataille et les querelles intestines font rage au sein du
clergé catholique. Récemment, et le 1er Mai 2011, Elijah,
patriarche catholique byzantin, se disait être désigné par
Dieu pour protéger la doctrine orthodoxe de l’Église
catholique. Fort de sa nouvelle mission divine, il accusa
Jean-Paul II d’apostasie de pape, parce qu’il aurait
ouvert l’Église aux esprits d’antéchrists. Il décréta
l’invalidité de la béatification de ce défunt pape et
déclara aussi que les messes célébrées par le Pape
Benedict XVI ne sont pas valables. Pour finir, il
excommunia publiquement les Papes Jean-Paul II et Benedict
XVI…
Pensez-vous que ces
papes ont fait la rencontre avec Jésus-Christ ?
À
mon
avis, ces papes sanguinaires n’ont pas rencontré
Jésus-Christ. Paul aussi ravageait l’Église, torturait les
chrétiens et les jetait en prison (Actes 8 : 1-3). Il
était rempli de zèle pour le judaïsme. Mais lorsque sur la
route de Damas, il rencontra Jésus-Christ, il déposa son
sabre et retourna son manteau, pour
mourir décapité au nom de son Dieu. L’apôtre Pierre a
aussi brandi l’épée dans le jardin des oliviers lors de
l’arrestation de son Maître, et le sang avait jailli.
Mais le Seigneur Jésus lui fit déposer son arme (Jean 18
: 11). Pierre obéit, pour finir, lui aussi, par une mort
douloureuse sur une croix. C’est une transformation
miraculeuse qu’on observe sur ceux qui ont véritablement
rencontré le Seigneur Jésus. La conversion profonde, une
nouvelle naissance soutenue par l’amour du prochain. Les
papes qui ont fait massacrer les musulmans, les juifs,
les protestants, les Cathares, les gnostiques, au nom de
Dieu, ne semblent pas, selon toute évidence, avoir fait
cette rencontre. Ils ont agi sciemment ou peut-être
par ignorance des Saintes
Écritures. De ce fait, ils ont œuvré pour le compte du
Malin, quand bien même, ils pensaient défendre le droit
divin.
Les exemples ci-dessus
cités, parmi tant d’autres, démontrent sans ambages que
les papes du Moyen Âge et leur Église étaient très loin du
christianisme biblique. Malgré ce passé historique
lugubre, malgré les permanents scandales de pédophilie et
d’homosexualité de ses prêtres qui témoignent de son
attachement fidèle aux œuvres de Cybèle, l’Église
catholique réclame toujours le titre « d’une Église
sainte, catholique et apostolique ». Elle offre des
apparences de sainteté, et invite même les Églises
évangéliques à se joindre de nouveau à elle. Certes, elle
offre des apparences chrétiennes du fait que c’est la même
Bible qui y est prêchée (avec de graves compromis), et
c’est aussi le même messager (Christ) qui y est présenté.
Elle a même copié les méthodes pédagogiques des
réformateurs et des évangélistes, et c’est ainsi qu’est né
le renouveau charismatique
catholique. Mais dans le fond, elle n’est pas chrétienne.
Pour s’en convaincre, examinez davantage la question des
démons religieux, des stigmatisés, des corps
incorruptibles (aux chapitres suivants), mais aussi
l’histoire guerrière du catholicisme, et les scandales
sexuels de ses prêtres, qui démontrent judicieusement que
l’Église catholique contemporaine ne remplit toujours pas
les conditions spirituelles bibliques requises, pour se
hisser au piédestal du christianisme.
L’imposture du
christianisme militarisé
Une des raisons avancées
par l’Église catholique, pour justifier les horreurs du
christianisme militarisé que nous venons de voir, est liée
au fait que beaucoup de ses prêtres auraient trouvé la
mort dans l’exercice de leurs fonctions. L’exemple le
mieux exhibé est celui de Saint Boniface, qui réussit sa
mission sacerdotale en convertissant une multitude de
païens au catholicisme, mais qui fut tué par un pirate. À
partir de là, on trouva la
nécessité d’introduire l’armée dans le travail des
missionnaires. Finalement, ce christianisme militarisé a
donné autre chose. Il a conduit aux « guerres saintes »
avec leurs horreurs effroyables.
Il
est évident pour moi que l’introduction des armes dans
l’évangélisation, fut-il pour la protection des
missionnaires, demeure une fausse excuse. Convenez avec
moi que si vous ne forcez pas un individu à embrasser
votre religion, vous n’avez rien à craindre de lui. Le
christianisme se veut une religion de paix et d’amour,
suivant les principes de base posés par Jésus-Christ. Et
même s’il vous arrivait de mourir pour l’Évangile,
rassurez-vous, vous avez encore répondu à un principe
chrétien. En effet, le Seigneur Jésus disait :
Rappelez-vous ce que je vous ai dit :
« Aucun
serviteur n’est plus grand que son maître ». S’ils m’ont
persécuté, ils vous persécuteront aussi… (Jean 15 :20). Plus loin, il dira : « Si quelqu’un veut venir
avec moi, qu’il cesse de penser à
lui-même, qu’il porte sa croix et me suive. Car
l’homme qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui
qui perdra sa vie pour moi et pour la Bonne Nouvelle
la sauvera » (Marc 8 : 34-35).
Le
Maître, Jésus de Nazareth a connu une fin
tragique. Il est mort d’une manière ignominieuse, afin de
nous racheter. À l’exception de Jean qui mourut
naturellement, tous les Apôtres du
Christ, ainsi que les premiers martyrs chrétiens, sont
morts d’une manière abjecte, à l’instar de leur Maître.
De ce fait, on peut dire que Saint Boniface a connu une
bonne mort, car ayant quitté ce monde, à la manière de
son maître ; et sa mort ne saurait en aucun cas
justifier un christianisme militarisé.
Si
les papes défendaient le message biblique, cela serait
compréhensible. Mais ils ont plutôt défendu un credo et
une foi antinomiques, insidieusement pour l’unité de
l’empire de Rome dont ils étaient les dirigeants. Au nom
de l’unité de cet empire et du catholicisme, pour
combattre le fractionnisme qui menaçait les fondements
de leur Église, les papes ont brandi le sabre de guerre.
Pourtant, il y a des territoires sur cette terre qui ont
refusé de recevoir le Christ. Il fut même rejeté dans sa
propre patrie (Luc 4 : 16-30), et plus tard, un village
de Samarie refusa de le recevoir, de sorte que ses
disciples proposèrent d’y faire tomber le feu du ciel.
Sur ce fait, le Seigneur leur fit des reproches (Luc 9 :
51-54). Ont-ils fait violence ? Non. Voici
l’enseignement du Prince de la Paix : « Partout où des
gens refuseront de vous accueillir,
quittez leur ville et secouez la poussière de vos
pieds : ce sera un avertissement pour eux » (Luc 9 :
5). De même, lorsque le Christ chassa la légion de
démons, les habitants de cette ville vinrent le supplier
de quitter leurs territoires (Matthieu 8 : 34). Le
Maître a-t-il refusé, et a-t-il brandi un sabre de
guerre contre ces gens qui le rejetèrent ? Non. Il a
enseigné la vérité et l’amour du prochain en tout temps,
malgré les oppositions, jusqu’à en mourir, sans jamais
tuer. Il n’y a donc aucune raison biblique pour les
papes de tuer ceux qui refusaient d’embrasser le
catholicisme. La guerre sainte n’a jamais été un
instrument du christianisme authentique. Imaginez des
enfants de Dieu qui tuent d’autres enfants de Dieu, au
nom de Dieu. Je me pose la question suivante : « Au nom
de quel Dieu ? Du doux Jésus ? » Non ! Les papes ont tué
des millions de personnes au nom de leur dieu, et ce
dieu est différent du Père de Jésus-Christ.
Il
n’y a pas de guerre qui soit sainte. Elle est l’œuvre
réussie du diable ; car La Bible déclare qu’il est un
meurtrier dès le commencement (Jean 8 : 44).
Subséquemment, tous ceux qui font usage de la guerre
pour la promotion leur religion, qu’ils le veuillent ou
non, sont de connivence avec le Malin.