Chapitre IV

 

Rapport très accablant sur la vie infamante des papes

 

 

 

Le mot pape dérive du latin « papa ». Ce terme qui témoigne d’une affectueuse vénération, est destiné à désigner le successeur de Saint-Pierre. Décerné d’abord aux évêques, c’est à partir du pape Grégoire VII (1073-1085) que ce titre sera exclusivement réservé à l’évêque de Rome. Le rapport accablant sur la vie des papes qui va suivre confirme la nature luciférienne de leur organisation religieuse, portant cependant un manteau chrétien.

 

Les papes se sont arrogé le titre honorifique de « Saint-Père ». Curieusement, Jésus-Christ utilise ce même titre divin lorsqu’il s’adresse à Dieu, son Père (Jean 17 :11). De même, aux évêques est conféré le titre de « Monseigneur ». L’expression « Mon Seigneur » est un titre biblique, exclusivement réservé à Dieu et à son Messie, que les chrétiens utilisent tous les jours dans leurs prières. Le titre officiel du pape est VICARIUS FILII DEI (vicaire du fils de Dieu). Nos dirigeants spirituels ont-ils manifesté du respect à la sainteté de Dieu en s’attribuant ces titres divins ?

 

La Bible enseigne clairement que tout chrétien qui croit comme Abraham et qui accepte Jésus-Christ comme Sauveur, est rendu juste devant Dieu. Un tel chrétien est un saint aux yeux de Dieu, grâce au substitut du sacrifice sanglant de Jésus à la croix. Il n’y a pas d’autres critères à la sainteté. Et seul Dieu qui sonde les cœurs est habilité à désigner les saints. Malheureusement, nos papes, mus seulement par la chair et le souffle humains, pécheurs donc par nature, canonisent des saints selon des critères qui leur sont propres. Ils ont ainsi usurpé à tort le pouvoir et le droit divin, en portant une atteinte grave à l’autorité de Dieu, atteinte confirmée par de telles dérogations spirituelles. Ces gens ont abusé de la naïveté et de l’ignorance des peuples du Moyen-âge et de notre époque. Et soutenus parleurs armées puissantes, ils ont instauré un règne purement méphistophélique qu’ils ont revêtu d’un manteau de sainteté. Ils n’ont cure du Christ et de son Évangile d’amour. Le récit suivant est un résumé succinct de l’histoire de la vie licencieuse des papes. Il constitue une preuve indéniable et démontre combien ces papes n’étaient pas chrétiens, et ne représentent pas Jésus-Christ sur terre.

 

– Le Pape Zépherin (199-217). Sanctifié. Il n’était ni chrétien, ni apôtre encore moins un pape. Il était plutôt le grand prêtre sacrificateur dans le temple de la déesse Cybèle, sur la colline du Vatican. Connu sous le titre honorifique de Pontifex Maximus, il pratiquait l’inceste, la pédophilie, des sacrifices humains liés

 

à     du cannibalisme.

 

– Le Pape Calixte I (217-222). Pontifex Maximus. Sanctifié. Lui aussi n’était ni chrétien ni apôtre encore moins un pape. Il fut le grand prêtre sacrificateur de son époque dans le temple de Cybèle sur la colline du Vatican. Meurtre, infanticide, cannibalisme font partie de son palmarès.

– Le Pape Damasus I (366-384). Sanctifié, il fut élu pape, au même moment que son frère Ursinus, par leurs différents supporteurs. Il s’ensuivit une série d’émeutes, de complots, de guérillas et d’assassinats. Le règne du Pape Damasus I fut d’une extrême terreur. Accusé d’adultère et de pratiques sataniques, il échappa au procès, après que tous ses évêques furent assassinés. Il mourut à son tour l’année d’après.

 

– Le Pape Pascal 1er (817-824). Sanctifié, il déplut fortement à son peuple. À sa mort, la population romaine empêcha les prélats de l’enterrer dans la basilique Saint-Pierre.

– Le Pape Jean VIII (872-882). Il excommuniait, même pour des faits mineurs. De ce fait, il s’attira beaucoup d’ennemis. Empoisonné par sa famille, et le poison n’agissant pas assez vite, il fut achevé à coups de marteau.

 

– Le Pape Adrien III (884-885). Sanctifié, il commença sa carrière par un règlement de compte, en faisant crever les yeux à l’un des assassins de Jean VIII. Néanmoins, il fut béatifié par pape León XIII. Il fut vraisemblablement assassiné, et la population pilla sa basilique, alors que les moines de l’Abbaye de Modène disparaissaient les bras remplis d’objets de valeur.

 

– Le Pape Jean XII (955-963). Il devint pape à l’âge de 17 ans, par une épreuve de force. Ce pape avait un goût raffiné pour les femmes. Des veuves, des filles vierges et des femmes qui venaient en pèlerinage à Saint-Pierre de Rome furent conduites de force sur son lit. Il mourut finalement dans les bras d’une de ses concubines.


 Le jeune pape était perçu comme un individu grossier, qui trempait dans la débauche, et qui avait transformé le palais du Latran en un véritablebordel. Il fut déposé par un synode d’évêques qui le déclara coupable de sacrilège, de meurtre, d’adultère et d’inceste. Mais en 963, Jean XII parvint cependant à reprendre l’avantage sur Léon VIII élu pape à sa place. Une légende raconte qu’il est mort d’une crise d’apoplexies (perte subite de connaissance), en plein acte sexuel avec une femme mariée. L'Evêque de Crémone écrivit les lignes suivantes, an sujet du pape Jean XII: "Aucune femme honnête n'osait se montrer en public, car le pape n'avait aucun respect pour les jeunes filles, les femmes mariées ou les veuves; elles étaient certaines de devenir les victimes de ses passions sexuelles." Ce pape fut, par la suite, assassiné par un homme qui avait surpris ce Souverain Pontife dans un acte d'adultère avec son épouse.
  L’histoire retiendra de lui qu’il fut un pape incestueux, meurtrier, adultère, parjure… Voici ce qu’écrit, à son sujet, Jean Matthieu-Rozay dans son ouvrage Chronologie des Papes : « Il était complètement corrompu. Sa résidence pontificale du Latran, envahie aussitôt par les femmes, les eunuques et les esclaves, devint le palais de la débauche, seul domaine où le pape ait une indéniable compétence ». Il dirigea l’Église par intermittence, pendant 9 ans (de 955 à 964), et fit crever les yeux, couper le nez et les oreilles des évêques qui se dressèrent contre lui. Il donna le trésor de l’Église à ses enfants illégitimes. Il fut destitué par le roi germanique Otton le Grand (48).

 

– Le Xe siècle avait connu la succession d’à peu près vingt-cinq papes. Onze furent déposés avec violence, un le fut deux fois. Cinq furent tués, deux mutilés, un le fut à titre posthume. En effet, en 896, le Pape Étienne VI avait exhumé les ossements de son rival, le Pape Formose, neuf mois après son inhumation. Les ossements de ce pape devaient alors faire l’objet d’un procès macabre, car il était accusé d’hérésie. Ses ossements sortirent coupables de cette parodie de procès. Les trois doigts dont il se servait lors de la bénédiction papale furent découpés. Le reste de sa dépouille fut jeté dans une fosse commune, puis retiré quelques jours après, pour être jeté dans le Tibre. Quelques mois plus tard, Étienne fut victime d’une insurrection populaire. On le déshabilla de force, le mit en prison et le tua par étranglement. Son successeur Romain (897-897) fut déposé violemment, et son successeur Théodore II (897-897) fut tué… En 903, le Pape Christophe (antipape) tua le pape Léon 5 (903-903), pour être tué à son tour, etc.

 

– Le Pape Benoit IX (1032-1044, Avril-Mai 1045, 1047-1048). Il était connu sous le nom de « L’enfant pape ou le jeune Saint-Père ». Il fut élu pape à l’âge de douze ans, grâce à l’immense fortune de la famille Tuscalani dont il est descendant. Ainsi, il paya le suffrage des cardinaux qui lui vendirent leurs votes. Il s’empara du siège papal par deux fois, duquel il abdiqua trois fois. La seconde abdication fut au profit d’un mariage qu’il ne parviendra pas à contracter. Il prenait aussi plaisir à organiser des orgies homosexuelles dans ses palais.

 

Le chroniqueur Raoul Glaber, dans son livre « l’Histoire », écrivait qu’en matière de dépravation et de décadence, pape Benoit IX tient la vedette sur ses prédécesseurs. De connivence avec ses frères ainés, l’enfant pape avait établi un règne d’une extrême terreur. À l’âge de 20 ans, il avait battu le record de tous les crimes et vices, à telle enseigne que la chrétienté en fut étonnée, pour se demanders’il s’agissait de cet ange qu’ils ont connu un peu plus tôt. L’on ne put trouver de parallèle à sa vie licencieuse, que celle de l’empereur romain Caligula, qui fut un homme foncièrement dissolu. Le témoignage sur la vie immorale et insolente du pape révèle son insouciance absolue pour les affaires religieuses et la chasteté. L’évêque Benno, historien catholique, accusait aussi le pape de plusieurs meurtres infâmes et d’adultère. L’un de ses successeurs écrivait à son sujet : « Il a commis des viols, des assassinats, et des actes indescriptibles […] il fut souvent contraint de quitter Rome en toute urgence […] sa vie pontificale était si vile, si sale, si exécrable […] si horrible que je tremble à l’idée de vous les relater » (pape Victor III [1086-1087], dans son livre “Dialogues” Book iii).

 

Le Saint-Siège dira de lui : « Il fut le pire des papes depuis Jean XII […] il était jeune, matérialiste, immoral, cruel, et indifférent aux choses spirituelles. Le témoignage de son immoralité dépasse tout entendement » (“The Popes, A Concise Biographical History”, Burns and Oates, Publishers to the Holy See, London, 1964, p. 175, passim). Officiellement, il a ouvert les portes du Vatican aux homosexuels, transformant le palais des papes en un bordel profitable pour gay (“Lives of the Popes”, Mann). Son caractère violent et immoral poussa la population de Rome à se révolter violement contre lui. Plus d’une fois, il fut expulsé de la ville. Mais il revenait toujours au pouvoir, grâce à ses puissants alliés. En Janvier 1044, choqués par sa vie de débauche, les romains élurent un certain Jean qui devrait régner sous le nom de pape Sylvestre III. Mais les frères ainés de Benoit l’expulsèrent de la ville, d’où il dut s’enfuir vers les montagnes pour avoir la vie sauve. Du fait qu’il était désavoué et rejeté par tous, pape Benoit céda son trône, au prix de 900 kg d’or, à son parrain. Celui-ci devint son successeur sous le nom de pape Grégoire VI (1045-1047), et s’en alla mener une vie de débauche jamais égalée (“Galian’s History of the Church”). La population eut de la répugnance à l’encontre de cette transaction considérée comme de la simonie. Alors, elle se souleva contre Grégoire VI. Pour mater ces soulèvements et consolider son règne, ce pape acheta des armes et loua les services de soldats mercenaires. Mais coup de théâtre ! En 1047, le débauché pape Benoit réapparut subitement, et se mit à réclamer son trône papal. Dans des châteaux, il avait déjà fini de dilapider son or, évidemment, à travers une vie impudique. Il s’installa confortablement dans l’église sainte Marie Majeur de Rome, et se proclama pape. Mais l’empereur Henri III (1017-56) avait promu Clément II (1046-1047) comme pape. Clément II mourut la même année, des suites d’empoissonnent. Benoit, à qui l’opinion attribuait la paternité de cet empoisonnement, reprit, avec une indiscrète arrogance, le siège papal. Huit mois plus tard, en 1048, on retrouva le débauché pape, mort et baignant dans son sang, la gorge tranchée, alors qu’il avait 28 ans. Les services funèbres refusèrent de lui donner un cercueil. Discrètement, au cours de la nuit, son corps fut emballé dans des draps et jeté dans la forêt (This is an extract from a pre-publication manuscript called, “The Criminal History of the Catholic Church” by Tony Bushby).

– Le Pape Innocent III (1198-1216) est issu d’une noble famille de Rome qui compte neuf papes dans sa lignée familiale. Il est l’auteur de la Sainte Inquisition en 1199, qui était destinée à contrer le vandalisme, le judaïsme, le catharisme, le protestantisme, de même que tout mouvement qui n’était pas catholique. Ce pape utilisa les milices de Simon de Monfort pour détruire des villes entières, comme Carcassonne, Toulouse, Béziers, parce que les habitants avaient refusé de consigner les adeptes de Valdo (Vaudois). À Béziers seulement, plus de sept mille (7.000) habitants furent massacrés. Les milices catholiques entrèrent dans ces villes, et sans se soucier de distinguer les hérétiques de ceux qui ne l’étaient pas, elles effectuèrent les massacres, criant : « Tuez-les tous, car Dieu saura distinguer les siens. » Il faut rappeler qu’Innocent III, lors de la dernière année de son pontificat, fit voter par le Concile du Latran IV une loi qui obligeait les juifs à s’habiller en jaune, afin qu’ils puissent être soumis au mépris du public. Ce pape n’était pas chrétien. Dans son œuvre intitulée « Registro », le pape Innocent III peignait des caricatures satiriques et démoniaques pour désigner les croyants de Jésus-Christ qu’il surnommait « des cochons avec des croix ». Il autorisa l’attaque, le vol et le meurtre des habitants de Constantinople, où plus de cent mille (100.000) innocentes femmes, hommes et enfants furent massacrés. Sous le Pape Innocent IV, successeur d’Innocent III, les lois inquisitoires furent confirmées et aggravées. Quiconque aurait été déclaré hérétique, était automatiquement emprisonné et condamné à mort, avec confiscation de biens.

 

– Le Pape Honoré III (1216-1227) est le promoteur de la magie noire et de la prophétie de Moloch (Malachie). Il fut le premier pape à pratiquer et à codifier la magie noire. Il déclara qu’il y a une prophétie de moloch dans les dernières phrases d’une personne agonisant dans le feu. Sous son règne, des centaines de milliers de Cathares furent brûlés vivants, tandis que les scribes du Vatican étaient occupés à transcrire les derniers mots des agonisants qui cuisaient dans les flammes.

– Le Pape Boniface VIII (1294-1303). Sanctifié, il ordonna aux troupes papales en 1297 de massacrer toute la population de la ville de Palestrina appartenant à une famille rivale. Six mille (6000) innocentes personnes périrent au cours de cette extermination.

 

Il était perçu comme un génie de la magie noire qui traitait avec le Malin. Il ne croyait pas en Jésus-Christ, et déclarait que le péché de la chair n’était pas du tout un péché. Il causa la mort du pape Célestin et de bien d’autres. Il possédait une idole dans laquelle un esprit diabolique était enfermé et qui lui répondait chaque fois qu’il consultait celui-ci. En 1303, il fut capturé dans la ville d’Agni et conduit à Paris devant un tribunal. En présence de cinq cardinaux et de 22 évêques, le pape Boniface VIII fit cette déclaration historique : « Il n’y a pas de Jésus-Christ et l’Eucharistie n’est que de l’eau et de la farine. Marie n’était pas une fille vierge tout comme ma mère et il n’y a aucun mal à commettre l’adultère tout comme vous croisez vos deux mains ». Il a commis l’inceste avec ses enfants mâles et femelles. De ses relations incestueuses avec ses filles naquirent plusieurs autres enfants illégitimes. Il est accusé de dépravations, associées au cannibalisme, au sexe et au meurtre. Les orgies sexuelles, les rites de meurtre d’enfants et de cannibalisme pratiqués lors des grands-messes sataniques, étaient courants dans la Basilique Saint-Pierre du Vatican. Il institua la sodomie et le sacrifice vivant d’enfants, sous prétexte qu’il s’agissait de la même tradition que celle pratiquée par les anciens Grecs. Ses propres enfants furent sodomisés et ensuite exécutés sur l’autel de Saint-Pierre au Vatican, en sacrifice à Satan.

 

– Le Pape Jean XXII (1316-1334) déclara hérétiques tous ceux qui donnaient de l’importance à la pauvreté du Christ. Il confisqua des biens aux Juifs et accumula ainsi une immense fortune, bannissant également le Talmud en 1322.

– Le Pape Benoît XII (1334-1342). C’est de son ivrognerie notoire que serait née l’expression « ivre comme un pape ». Il fut évêque et inquisiteur de Pamiers dans sa ville natale, où il se faisait remarquer par sa cruauté. Lors de son couronnement, après qu’on a posé la couronne papale sur sa tête, pape Benoît XII s’était écroulé sur le champ, complément ivre. L’évêque Molet (historien catholique sur la vie des papes) commentait à son sujet : « il n’y a aucune dispute sur son caractère. Sa gloutonnerie, sa vulgarité et son caractère violent étaient notoires. Il buvait continuellement du vin fort, tombait souvent dans l’inconscience et était incapable de regagner sa chambre papale. Menteur et soulard attitré, il était brutal avec le clergé. Toute l’Europe demanda sa destitution, mais l’avide et vindicatif pape français s’accrocha à ses loques papales, ce, durant huit ans. Il fut un meurtrier sans vertu, au point que le Vatican, par une fausse excuse, disait de lui qu’il était possédé par le diable » (Vati leaks/ “Drunk as a pope”. origin of the saying)

 

– Le Pape Urbain VI (1378-1389) fut élu en 1378 par un concile de Rome. Connu sous le nom de « pape paranoïaque », il était remarquablement intelligent. Mais pour des raisons inconnues, il emprisonna six de ses cardinaux qu’il prit le malsain plaisir de tuer par noyade. On dit de lui qu’il avait pris l’habitude de soumettre à une torture atroce toute personne susceptible de succéder à lui. Il faisait ensuite disparaître ses victimes. Comploteur obsédé, alcoolique, et personne perçue comme folle, il fut à l’origine du schisme qui déboucha sur l’établissement de la papauté d’Avignon. Il mourut isolé en 1389.

 

– Jean XXIII (1410-1415). Homonyme de celui qui fut canonisé en Avril 2014. Celui-ci fut un antipape. Trente-sept Évêques ont présenté une déclaration à un concile de l’Église que pape Jean XXIII était coupable de fornication, d'adultère, d'inceste, de sodomie, de vol, de simonie et d'avoir violé trois cents religieuses (91).

 

– Le Pape SIXTE IV (1471-1484) était membre de l’ordre Franciscain. Il fut le pape qui décréta en 1472 l’Inquisition espagnol au cours duquel un millier de Juifs, des musulmans et des protestants furent cruellement tués. Quatre-vingt-quatre (84) Portugais furent brûlés vifs la même année, lors de l’inquisition portugaise. Il fut un ancien élève d’une école satanique spécialisée dans l’adoration de la déesse Cybèle, Reine du Ciel. En 1476 le pape Sixte IV réinstaura une ancienne fête païenne des Saducéens en l’honneur de Cybèle. Ainsi, il désigna le 8 Décembre comme fête de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, Reine des Cieux. Il existe des preuves qui certifient que ce pape ait eu des enfants illégitimes avec plusieurs maîtresses. De ses relations incestueuses avec sa sœur Raffaele delle Rovere (1423-1477) naquit un fils illégitime (Giuliano delle Rovere) qu’il promut au rang d’évêque de Carpentras en France. Quelques mois après, il le nomma Cardinal de San Pietro (Vincula), alors que l’enfant était seulement âgé de dix-huit (18) ans. Cet enfant deviendra plus tard pape Jules II (1503-1513). Il désigna un autre de ses fils « neveu », Raffaele Sansoni Galeoti Riario, comme Cardinal de St George (Velabro), alors que l’enfant était âgé de 26 ans. Pour des raisons dynastiques, Sixte IV déclarera la guerre à la ville de Florence qu’il assiégera pendant deux ans, et où des milliers de personnes moururent. Il fut fidèle à la vieille tradition des papes qui consistait à faire des enfants illégitimes. Pire, il eut des relations incestueuses avec ses enfants mâles et femelles. De ces relations incestueuses avec ses filles naquirent d’autres enfants illégitimes. Il fit des sacrifices humains sur des autels sataniques. Délibérément, Sixte IV contamina sa propre sœur et ses enfants de la syphilis, à travers des actes incestueux répétés. La syphilis qui était une maladie mortelle à l’époque causa ainsi la mort de plusieurs membres de sa famille, incluant ses propres enfants. Les accusant d’être responsables de la mort d’un enfant chrétien nommé Simon, presque tous les Juifs de la ville de Trente furent torturés et brûlés vifs en 1475.

 

– Le Pape Alexandre VI (1492-1503). L’âge d’or de la débauche ! Son règne fut dominé par la luxure, l’avarice, le népotisme et les empoisonnements. Il fut le pape le plus embarrassant pour l’Église catholique. À la mort d’Innocent VIII, Rodrigo Borja fut élu Pape Alexandre VI, après 14 jours d’intrigue entre les cardinaux. Pendant le conclave, des factions armées connues sous le nom d’escadrons, tuèrent plus de deux cents (200) personnes dans les rues de Rome. Rodrigo Borja paya d’importantes sommes aux électeurs avant les votes, car il avait amassé d’immenses richesses. Même onze des cardinaux lui vendirent leurs voix, faits que l’Église a reconnus (Diarium of Burchard, appendix two vol. iii). Les cardinaux, évitant de voter un français, lui vendirent leurs voix, à cause de ses origines espagnoles. Le jour même où il fut consacré pape, il nomma son fils César, archevêque de Pampelune à l’âge de 15 ans, puis cardinal. Les détails sur la vie de ce pape nous sont connus grâce au témoignage du prélat strasbourgeois Jean Burchard, qui tint un rigoureux journal des événements autour du pape, heure après heure. Ce pape pratiquait des sacrifices d’enfants brûlés vifs dans des cérémonies sataniques y inclus ses propres enfants illégitimes. Don Cesar Borja fut le fils préféré du pape. Il le nomma évêque alors qu’il était âgé de sept (7) ans, puis Cardinal et chef des armées du Vatican à 18 ans. On le soupçonne aussi d’avoir fait assassiner et jeter dans le Tibre son frère aîné. Ce pape fut un pervers sexuel, qui pratiquait publiquement des orgies sexuelles dans les palais du Vatican. Ainsi, au soir du 30 Octobre 1501 Don Cesar Borja, fils préféré du pape, offrit à son père un souper sur la place apostolique, avec 50 prostituées. Après ce souper, elles exercèrent des danses acrobatiques, toutes nues, sous le regard admirateur du pape. Les convives devaient manifester leur virilité auprès des danseuses, les plus performants étaient récompensés par des cadeaux. La soirée s’acheva par un obscène concours de beauté, et le pape remit les différents prix. Ensuite le pape et Don Cesar prirent chacun une partenaire de leur choix, pour la nuit et pour de futures alliances.

 

Pour compter du 31 Octobre 1501, le pape, les cardinaux, le clergé, les religieuses et d’autres officiels de l’Église catholique organisèrent pendant plusieurs jours la plus grande perversion d’orgie sexuelle jamais enregistrée dans l’histoire. Ces orgies sexuelles avaient pour but de faire la promotion du satanisme. Ces orgies impliquèrent plusieurs centaines de personnes, avec des meurtres rituels de plusieurs innocentes personnes, et de fréquents actes de cannibalisme. Le pape soutint faussement que de telles perversions sexuelles relevaient de la tradition des nobles familles européennes et de la Grèce antique. Ce pape pratiquait ouvertement l’inceste et la sodomie. Il eut des enfants avec ses propres filles. Selon le livre « Histoire des papes » il ressort que pape Alexandre VI a eu des relations incestueuses avec sa fille Lucrèce Borgia, desquelles naquirent d’autres enfants. Lucrèce était alors connue sous le nom de « la fille du pape, sa femme et sa belle-sœur » (35). Magicien, athée et sataniste invétéré il se souciait peu du christianisme. Il disait souvent : « Dieu tout-puissant, jusqu’à quand va durer cette superstitieuse secte de christianisme ? » (36). C’est ce pape Alexandre VI qui ordonna l’assassinat de Girolamo Savonarola. Il mourut en buvant par inadvertance dans le verre empoisonné qu’il avait préparé pour son hôte. À sa dernière heure, l’évêque de Carinola lui donna l’extrême-onction. Mort, son cadavre enfla tellement qu’on ne put le mettre dans le cercueil qui lui était destiné. On le roula ainsi provisoirement dans un tapis, pendant que ses appartements furent livrés au pillage, etc. (17, 30).

 

– Le Pape Paul III (1534-1549) fut un pédophile notoire et père de quatre enfants. Il fut un autre pape athée qui a affirmé la non-existence du Christ. En 1540 il fit tuer tous les habitants de la ville de Mérindol (France), parce qu’ils avaient embrassé la foi des protestants évangéliques. Leurs biens furent confisqués et la ville resta déserte et inhabitable. Le 4 Avril 1535, tous les anabaptistes de la ville de Munster (Allemagne) furent massacrés. Jean de Leyde, leur chef fut tué après avoir été soumis « à un horrible supplice ». Fidèle à la tradition des papes en vogue, depuis plus de 700 ans, ce pape eut trois fils et une fille. Il commit l’inceste avec eux. Il pratiquait la sorcellerie et l’astrologie. Il tua sa propre mère et ses nièces pour de l’argent, et pour sécuriser son héritage. Il tua plusieurs prêtres et évêques qui étaient en désaccord avec sa papauté. Passionné d’astrologie, il ne prenait aucune décision sans interroger les astres.

 

– Le Pape Léon X (1513-1521) fut un pape athée qui déclara la non-existence du Christ. Le pontificat de Léon X était marqué par un luxe insolent dans la curie romaine. En effet, pendant des mois, le Saint-Père partait à la chasse, activité interdite aux précédents papes, accompagnés de 200 cavaliers et des cardinaux les plus robustes. Il vivait entouré de 683 serviteurs, allant de l’archevêque aumônier au gardien des éléphants, et coûtant au Saint-Siège 100 000 ducats par an. Il organisait également de nombreux concerts et représentations théâtrales. Pour faire face à ces immenses dépenses, il fallut recourir à l’augmentation des droits de chancellerie, à la vente d’office de cour, et à la vente de titres de cardinalices.

 

Les caisses du Vatican étant vides. Léon X se montra astucieux, en ayant la brillante idée de créer 30 nouveaux postes de cardinaux, et de les céder contre une certaine somme d’argent qui servirait à renflouer ses comptes… Il rédigea, par conséquent, la camera taxae dont voici quelques extraits :

 

– Article 1 : Un ecclésiastique qui commet un péché charnel avec ses propres sœurs, filles, cousines, nièces ou avec une autre femme, sera acquitté contre le paiement de 67 livres.

 

– Article 2 : Si un ecclésiastique demande l’absolution pour avoir commis des péchés contre nature avec un enfant ou avec une bête, il pourra l’obtenir en payant 131 livres.

– Article 5 : Aux prêtres, il est permis de vivre en concubinage avec leurs propres parents contre le paiement de 76 livres.

– Article 9 : Si un prêtre tue un laïque, il peut avoir l’absolution en versant la somme de 15 livres.

 

– Article 10 : Si l’assassin a tué deux personnes ou plus le même jour, il paiera

 

15 livres comme s’il en avait tué un seul.

 

– Article 14 : Pour l’homicide d’un frère, d’une sœur, du père ou de la mère, il faudra payer 17 livres.

 

– Article 18 : Celui qui veut se garantir l’absolution pour tous les homicides qu’il pourra commettre dans le futur paiera 168 livres.

 

– Art. 29 : le fils bâtard d’un prêtre qui veut succéder à son père dans ses fonctions religieuses paiera 27 livres. Ce pape mourut de la malaria.

 

– Le Pape Paul IV (1555-1559) s’afficha en Patron de l’abjuration. Il fut tristement célèbre pour sa corruption, sa débauche et son recours à la simonie. Dès 1542, Paul IV se fit passer pour président de la nouvelle commission de l’Inquisition. On lui prête cette citation : « Si mon propre père avait été quelque peu convaincu d’hérésie, j’aurais rassemblé mes mains et ramassé le bois de son bûcher ». La torture, alors appliquée aux suspects, fut étendue à l’ensemble des témoins. Il organisa une persécution inédite des juifs dans les États du Pape, en imposant leur détention dans les ghettos, et le port d’un bonnet jaune, particulièrement distinctif. À sa mort, la population romaine fit la fête, et jeta sa statue dans le Tibre.

 

– Le pape Pie IV (1559-1565) fut le pape sous lequel les moines de l’Abbaye de Perosa (Pinerolo) s’amusèrent à brûler vifs, à feu lent, un prêtre évangélique avec ses fidèles en Décembre 1559. Au même moment eut lieu le massacre de Vaudois en Calabre effectué par des bandes de délinquants que la Sainte Mère Église avait engagées. Des hommes, des femmes, des anciens comme des enfants furent atrocement torturés avant d’être tués sur ordre direct du Pape. Cette même année,

àSanto-Xisto, à la Guardia, à Montalto et à Sant’Agata, on fit des choses inouïes : des gens furent égorgés, écartelés, brûlés et horriblement mutilés. Des restes de cadavres humains furent pendus aux portes des habitations. Ce fut dans un but dissuasif, à l’adresse de la population. Ceux qui s’enfuirent dans les montagnes furent assiégés, jusqu’à ce qu’ils mourussent de faim. De nombreuses femmes et enfants furent réduits à l’esclavage (30). En 1560, quatre mille (4.000) Vaudois furent massacrés sur ordre de la Sainte Mère Église. En 1562, l’on brûla vives pour sorcellerie, trois cent (300) personnes à Oppenau, 63 femmes à Wiesensteig et 54 autres à Obermachtal en Allemagne.

 

– Le Pape Pie V (1566-72) fut sanctifié. Il fut élevé par l’Église aux honneurs des autels. Avec ce Pape, ce fut l’horreur. À titre d’exemple, le 30 Septembre 1567, Paolo et Matteo, Ottaviano Fioravanti, Giovannino Guastavillani, Geronimo del Puzo, furent tous emmurés vivants pour hérésie. Avec « bolla papale » on décida à Rome de la fermeture de toutes les synagogues.

 

– Le Pape Grégoire XIII (1572-1585). C’est sur ordre de ce pape qu’eut lieu en France, le 24 Août 1572, Nuit de la Saint Barthelemy, l’horrible massacre des Huguenots, dans lequel dix mille (10.000) hérétiques périrent. Une autre version révèle que ce 24 Août 1572, Nuit de la Saint-Barthélemy, l’on massacra vingt mille (20 000) protestants, hommes, femmes et enfants, en une seule nuit, et sur ordre direct de ce pape. Il organisa même des festivités pour célébrer ce massacre que les catholiques continuent d’honorer. Le Vatican lui édifia une tombe pharaonique dans l’église Saint-Pierre de Rome… En 1573 et en Croatie, cinq cents (500) hérétiques furent massacrés par l’évêque catholique Juraj Draskovic, sur ordre papal. En 1558, deux cent vingt-deux (222) juifs furent brûlés sur le bûcher, encore sur ordre de ce pape. Le 22 Mars 1585, les frères Missori furent décapités pour avoir exprimé le droit à la liberté de la presse. Leurs têtes furent exposées au public. Lorsque l’ignoble bourreau en la personne de Grégoire XIII mourut, son corps devint un objet de révérence pour les catholiques, à travers sa tombe monumentale qu’abrite Saint-Pierre de Rome.

 

– Le Pape Grégoire XVI (1831-1846) imposa une interdiction absolue de toute liberté d’expression verbale ou écrite, qui ne suivrait pas les dictamens de la Sainte Mère Église. Sous les menaces les plus graves, il obligea les juifs à n’exercer aucune activité au dehors du Ghetto. Avec ce pape, des milliers de personnes moururent pour des futilités. Ainsi, Giuseppe Balzani fut décapité pour des offenses au Pape le 14 Mai 1833, Luigi Scopigno pour le vol d’objets sacrés le 21 Juillet 1840, Pietro Rossi pour un vol anodin le 9 Janvier 1844, Luigi Muzi, fut décapité pour un vol minime le 19 janvier 1844, et Giovanni Battista Rossi pour un petit vol le 3 Août 1944.

 

En plus de ces exécutions, il y eut sous le pontificat de ce Saint-Père, cent dix

 

(110)              autres condamnations à mort pour des délits communs. La description des nombreux décapités, pendus et écartelés par l’Inquisition sous Grégoire XI, est reportée dans un livre écrit par Mastro Titta (catholic.info).

 

– Le Pape Sixte V (1585-1590), après avoir repoussé la demande de remplacer la fourche par la hache, assistait joyeusement aux exécutions, se faisant servir à manger, car « ces actes de justice lui donnaient de l’appétit ». Et après donc l’exécution d’une sentence il disait : « Dieu soit béni pour le grand appétit avec lequel j’ai mangé ».

 

– Le Pape Urbain VIII (1623-1644) condamna en 1633 le savant Galileo Galilei

 

à la prison à perpétuité, pour hérésie parce qu’il avait osé affirmer que la terre tournait autour du Soleil.

– Le Pape Innocent XI (1676-1689), sanctifié, il condamna en 1680 vingt (20) juifs au bûcher. Le 2 Août 1685 périssait par le feu, Vincenzo Scatolari, pour avoir exercé la profession de journaliste, sans l’autorisation préalable de la Sainte Mère Église. En mai 1686, deux mille (2.000) Vaudois furent massacrés par les catholiques dans les vallées alpines, sur ordre direct du Pape. 24 protestants furent tués par les catholiques à Pressov en Slovaquie en 1687.

 

– Le Pape Clément VII (1523-1534), en rétablissant la « mazzolatura » (rupture des os à coups de bâton), se montra un des plus cyniques souteneurs de l’art de la torture.

– Le Pape Pie IX (1846-1878), sanctifié, eut 31 ans de règne. Il s’agit du plus long pontificat jamais enregistré. Malheureusement, ses prisons contenaient huit mille (8000) prisonniers politiques. En 1870, lorsque les troupes françaises qui assuraient sa sécurité furent rappelées en France pour cause de guerre contre l’Allemagne, l’Italie saisit l’occasion pour proclamer son indépendance et sa réunification. Rome est déclarée capitale de l’Italie, et le Vatican fut réduit à ce qu’il est aujourd’hui. Mais pour comprendre la criminalité de ce Pape saint, il suffit de se rappeler que lorsque les patriotes de l’unification italienne entrèrent dans les prisons pontificales pour libérer les prisonniers qui y croupissaient, enchaînés depuis une si longue période, ils constatèrent que ceux-ci avaient perdu la vue et l’usage de leurs membres. De plus, ils trouvèrent dans ces souterrains des tas de squelettes et de cadavres en décomposition. Ce fut un mélange de soutanes de moines et de sœurs, de vêtements civils d’hommes et de femmes, d’uniformes et de chaussures militaires, exactement comme lorsque furent libérés les champs d’extermination nazis. On y trouva aussi des jouets d’enfants, morts avec leurs parents. En 1881, lors du transfert de sa dépouille, la population romaine tenta en vain de s’en emparer, afin de la jeter dans le Tibre. Bien qu’il ait commis des crimes contre l’humanité, il fut néanmoins béatifié par Jean-Paul II en l’an 2000. Il fut appelé « mètre cube de fumier » par Garibaldi.

 

– Le Pape Jules III (1550) avait une passion pour les singes, à tel enseigne qu’il avait promu le gardien de ses singes au rang de Cardinal.

– Le Pape Léon XII (1823-1829) condamna la vaccination antivariolique. Quiconque procédait à cette vaccination, cessait du coup d’être un fils de Dieu. Selon lui, la variole est un châtiment voulu par Dieu, et la vaccination un défi contre le ciel (74).

– Le Pape Pie XII (1939-1958), selon toute évidence, fut l’un des papes qui voyait des soucoupes volantes. En 1950, il vit le soleil « danser » plusieurs fois dans le ciel, depuis les jardins du Vatican. Lors de la grande vague d’ovnis de 1954, il observa deux apparitions divines, « similaires à celles de Fatima ». Selon le témoignage d’un agent des services secrets du Vatican, les Papes Pie XII et Jean XXIII auraient eu des rencontres, et même coopéré avec des extraterrestres, une race d’aliénigènes (50). Pape Pie XII mourut en 1958, des suites d’une crise de hoquet.

 

– Le pape Paul VI (1963-1978) serait responsable de l’assassinat du président américain John F. Kennedy et de Aldo Moro (premier ministre Italien).

 

– Le pape Jean-Paul II (1978-2005), béatifié en Mai 2011, il sera canonisé le 27 Avril 2014. Adepte de l’auto-masochisme, il se flagellait avec sa ceinture avant de trouver le sommeil. Il fut recalé au prix Nobel de la Paix en 2003. Bien qu’il soit écrit dans le Coran que Jésus-Christ n’est pas le fils de Dieu, qu’il ne fut pas crucifié, et qu’il n’est pas mort à la croix – un rejet flagrant de Jésus-Christ et du plan de Dieu pour le salut des âmes, le Pape Jean-Paul II a néanmoins embrassé publiquement le Coran. Ce geste du pape pose une problématique doublement préjudiciable : D’abord, « embrasser le Coran », c’est aimer le Coran. Aussi, c’est approuver son contenu qui dit que Jésus-Christ n’est pas le fils de Dieu et qu’il n’est pas Dieu. Ce geste est grave de la part d’un pape qui prétend représenter Dieu sur terre ! Ensuite, lorsque le Coran dit que Jésus-Christ n’est pas Dieu, il insinue aussi que le pape ne représente pas Dieu sur terre. N’est-ce pas ?

 

Pour s’initier au satanisme, les nouveaux adeptes doivent, entre autres, planter

 

à  l’inverse la croix du Christ, et dire qu’ils rejettent le Christ et son salut. Officiellement, le pape Jean-Paul II fut le premier à célébrer la messe sous une croix inversée.

 

Au vu de ces révélations, on constate que ce pape, à l’instar de bien d’autres, a simplement présenté au monde un visage chrétien, alors qu’au fond, il était lui aussi un sataniste. Dans Matthieu 7 : 20, Jésus-Christ disait en effet : « Vous les reconnaitrez par leurs actes. »



 

                                                                     

 

 

    Le célèbre exorciste du Vatican, le père Gabriele Don Amorth, témoigne que la« bénédiction » du pape Jean-Paul II aurait aggravé la possession d’une jeune fille qui, depuis cette rencontre, est devenue un cas insoluble. Lors d’une interview le 30 Juin 2011, à la question de savoir : « Quel est le cas le plus difficile que vous avez rencontré ? L’exorciste répondit : Je l’ai en « traitement » en ce moment, et cela depuis deux ans. C’est la jeune fille qui a été bénie (…) par le Pape, en octobre au Vatican, et dont le cas a fait grand bruit dans la presse. Elle est frappée vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et en proie à des tortures indicibles. Les médecins et les psychiatres n’y comprennent rien. Elle est tout à fait lucide et très intelligente. Un cas vraiment douloureux. »

 

Selon la prophétie de Malachie (évêque d’Irlande) sur le dernier pape, et selon l’article 64.6 du « Pactume De Singularis Caelum », toutes les activités du Saint Siège devraient cesser au jour de la rédemption (le vendredi 21 Décembre 2012). Cette date fatidique dont parle Nostra Damus, et qui marque aussi la fin du calendrier Maya était la présumée date de la fin du monde. De ce fait, le pape de cette époque verrait la fin du monde. Il y avait donc nécessité de choisir un vieux pape, et c’est ce qui expliquerait l’élection de Benedict XVI qui accepta la charge malgré son âge avancé. Il devrait être le dernier pape.

 

– Le pape Benedict XVI (2005-2013) est le pape qui protège les démons. Il fut accusé publiquement de complicité de pédophilie sur la scène mondiale. Il avait couvert les actes pédophiles des prêtres, alors qu’il était le premier responsable de l’Église catholique en Allemagne. En 1962 le cardinal Ratzinger, qui est devenu ensuite pape Benedict XVI rédigeât le « Crimen sollicitationis » (crime de sollicitations), une vaste conspiration du silence absolument confidentielle, instruisant comment dissimuler les crimes sexuels des prêtres, tout en muselant les victimes. Pourtant, Joseph Ratzinger était le président de la Congrégation pour la doctrine de la foi, un département du Vatican chargé de promouvoir et de protéger la doctrine et les mœurs. À ce titre, il fut également chargé de son application. Et pourtant voyez ce qu’il fit. Maintenant devenu pape, voyez ce qu’il a encore fait, du moins, un seul exemple parmi ce qui reste à être dévoilé : Les exorcistes catholiques sont en colère contre ce pape et son prédécesseur. Ils les accusent de protéger Satan et ses démons, en rendant impossible ou inefficace les exorcismes pratiqués au sein de l’Église. Pour se faire, ces papes auraient rédigé un nouveau rituel de délivrance qui devrait remplacer l’ancien rituel romain. Malheureusement, lorsqu’il est utilisé, ce nouveau rituel est inefficace car la personne possédée n’est pas délivrée. Selon l’exorciste officiel du diocèse de Rome, cette manigance « démontre la volonté du Vatican de protéger le démon par l’instauration d’un rite d’exorcisme délibérément conçu pour être inefficace ». Le père Gabriele (Don Amorth), exorciste en chef de la cité du Vatican, précise :

 

«  Ratzinger (Pape Benedict XVI) est complice de cette annulation du rite traditionnel de l’exorcisme. Le nouveau rite a été instauré pour protéger Satan ». Sur le site Internet http://www.virgo-maria.org/(voir église conciliaire) ; aussi, dans une interview accordée à la revue italienne « 30 giorni » (Trente jours), on retrouve un entretien du 30 Juin 2011 que Stéfano Maria Paci a accordé au père Gabriele Don Amorth. Vous y trouverez des témoignages bouleversants relatifs à ce sujet : Un complot du Vatican qui a fait de l’Église catholique un refuge pour les démons et qui tente de les protéger. Les extraits que je propose ci-dessous sont des élocutions exclusives du père exorciste.

 

En substance, voici ce que déclare Don Amorth : « le nouveau rituel empêche l’exorciste de chasser le démon, et tout particulièrement il interdit d’être pratiqué dans 90 % des cas… » Et nous, exorcistes (…) sur de nombreux points, nous n’étions pas d’accord avec le nouveau Rituel… Ce Rituel tant attendu s’est transformé en farce. Une incroyable entrave qui risque de nous empêcher d’agir contre le démon. « Au point 15 (…), le maléfice est le mal que l’on cause à une personne en recourant au diable (…) les mauvais sorts, les malédictions, le mauvais œil, le vaudou, le macumba (…). Le nouveau Rituel déclare (…) catégoriquement, qu’il est absolument interdit de faire des exorcismes dans ces cas-là. Absurde. Les maléfices sont (…) au moins 90 % des cas. C’est comme dire aux exorcistes de ne plus pratiquer l’exorcisme. » Nous émettons une autre hypothèse : ce rite est délibérément rendu inefficace afin de protéger l’action du diable dans le monde.

 

« J’ai réuni dix-huit exorcistes que j’avais choisis parmi les plus experts de la planète. Nous avons examiné le texte avec une grande attention. Nous l’avons utilisé. » Nous tous, exorcistes, nous avons essayé les nouvelles prières du nouveau Rituel ad interim et nous nous sommes rendu compte qu’elles sont absolument inefficaces… RATZINGER EST COMPLICE DE CETTE PROTECTION ACCORDÉE À SATAN. L’évêque apostat Wojtyla-Jean-Paul II et le « cardinal » abbé apostat Ratzinger (aujourd’hui Benoît XVI) ont été dûment informés de cette situation ahurissante de mépris envers les exorcistes catholiques lors de la rédaction du nouveau rite conciliaire, mais ils se sont bien gardés de ne rien faire pour intervenir ni modifier en quelque manière cette rédaction perverse.

 

Ils voulaient nous donner une arme émoussée. Les prières efficaces, des prières qui avaient douze siècles d’existence, ont été supprimées et ont été remplacées par de nouvelles prières, inefficaces.

 

Ne rencontrant plus les défenses que les exorcismes établissaient autour de l’Église, le démon a pu, plus facilement, faire rentrer des loups dans la bergerie et placer ses suppôts dans des postes déterminants de la hiérarchie de l’Église, préparant ainsi le terrain pour Vatican II.

 

l’église conciliaire collabore désormais directement à cette protection de Satan et de ses démons, elle n’est pas du camp de dieu.

 

«  Même détérioration du rite dans le nouveau bénédictionnaire. J’ai lu minutieusement ses 1200 pages. Eh bien ! Toute référence au fait que le Seigneur doit nous protéger contre Satan, que les anges nous protègent des attaques du démon, a été systématiquement supprimée. Toutes les prières pour la bénédiction des maisons et des écoles ont été supprimées. Tout devait être béni et protégé, mais aujourd’hui, il n’y a plus de protection contre le démon. Il n’existe plus de défenses ni de prières contre lui. »

 

«  Nous avons organisé un congrès international d’exorcistes, près de Rome. Nous avons demandé à être reçus par le Pape (…) Mais la veille de l’audience, Mgr de Nicolo nous a dit (…) de ne pas nous présenter à l’audience, que nous n’étions pas admis. Incroyable ! 150 exorcistes venant des 5 continents, des prêtres parfaitement nommés par leurs évêques conformément aux règles du droit canon qui exigent des prêtres de prière, de science et de bonne réputation – et donc un peu la crème du clergé – qui demandent à participer à une audience publique du Pape et qui sont mis à la porte ! »

 

– Stéfano Maria Paci : « Père Amorth, le satanisme se répand de plus en plus. Le nouveau Rituel empêche, en pratique, de faire des exorcismes. On empêche les exorcistes de participer à une audience du Pape place Saint-Pierre. Dites-moi franchement : que se passe-t-il ?

 

– Don Amorth : La fumée de Satan entre partout. Partout ! On nous a peut-être exclus de l’audience du Pape parce qu’on avait peur que tant d’exorcistes réussissent à chasser les légions de démons qui se sont installées au Vatican.

Stéfano Maria Paci : Vous plaisantez, n’est-ce pas ?

 

– Don Amorth : Cela peut sembler une plaisanterie, mais je ne crois pas que cela en soit une. »

 

– Stéfano Maria Paci : Comment êtes-vous vus, vous exorcistes, à l’intérieur de l’Eglise ?

– Don Amorth : Nous sommes très mal traités. Nos confrères prêtres qui sont chargés de cette tâche délicate passent pour des fous, des exaltés. Ils sont même en général à peine tolérés par les évêques qui les ont nommés… Je pourrais citer une quantité d’évêques et de cardinaux qui, à peine nommés dans un diocèse, ont retiré à tous les exorcistes la faculté d’exercer…

 

Les vacances de Benedict XVI à Lorenzago di Cadore, dans le massif des Dolomites du 9 au 27 Juillet 2007 auraient coûté à la collectivité un million d’euros. Un de ses prêtres indigné lui écrit : « Cher pape, ça ne va pas. Quand tu te regardes dans la glace, ton visage doit être celui du Christ sur terre (…) mais comment durant de telles vacances peux-tu ressembler à Jésus, mon maître comme le tien, qui n’avait même pas une pierre pour poser sa tête ? »… (39)

 

Voici les titres de ce pape : Primat d’Italie, évêque de Rome, Patriarche d’Occident, Vicaire de Jésus-Christ, Serviteur des serviteurs de Dieu, Successeur du prince des apôtres, Pontife Suprême de l’Église universelle, Souverain de l’état de la ville du Vatican, Archevêque métropolitain de la province romaine, etc.

 

                                                                                                              A coup sûr,  Le pape Benedict XVI est un sataniste


                                                                                                              
                                                                                         Image officielle de Satan sur terre               Le pape Benedict XVI et ses cardinaux satanistes en

                                                                                                                                                       pleine adoration satanique au Vatican. Photo authentique                                 

 

Au soir du 21 Décembre 2012, au dernier jour, contrairement aux attentes du Vatican, la vie a suivi son cours normal. La prophétie sur la fin du monde et du dernier pape était donc fausse. Le 10 Février 2013, pour des raisons sur lesquelles l’histoire nous éclairera, le Pape Benedict XVI a surpris le monde entier, y compris ses Cardinaux, en se déclarant inapte pour la fonction papale. Il rendit sa démission le même mois.

 

– Le Pape François (Mars 2013-). Ce pape, le dernier en date, est le premier pape jésuite et le premier pape latino-américain. Un pape d’apparence humble et sincère, voué à la cause des pauvres. Il était l’homme fort du Vatican, chargé de la formation des candidats à la papauté. Il est enfin sorti de l’ombre pour se faire élire pape, et régner sur l’Église catholique. De par son appartenance à l’ordre des jésuites, ce pape fait partie de la branche militaire du catholicisme, la milice de Dieu. Leur point fort est l’espionnage, la dissimilation et l’astuce. Selon Vati Leaks, les jésuites sont experts en la magie ésotérique, et ce nouveau pape pourrait être le chef du gouvernement secret des illuminatis, et à la fois du gouvernement visible de l’Église catholique. Lorsque ce pape mange de la viande, il la mange crue, oui, absolument crue. C’est ce que révèle une servante devant les caméras, témoignage diffusé dans l’émission radiophonique francophone intitulée « Bob nous dit toute la vérité » (89). À peine était-il élu pape que les accusations fusaient. Il est tenu pour responsable de l’enlèvement et de la mort des membres de sa paroisse, dont des prêtres. En effet, des années après la dictature brésilienne surnommée « La guerre sale », le journal El Mundo du 08 Novembre 2010, écrivait : « les survivants de la guerre sale ont accusé publiquement le cardinal Jorge Bergoglio (pape François) de complicité dans le rapt des prêtres Francisco Jalics et Orlando Yorio Several, ainsi que six autres membres de leur paroisse ». Le journal qui tient le pape pour responsable, révèle que ces deux prêtres ont été enlevés par les escadrons de la mort en mai 1976 et relâchés cinq mois plus tard après avoir été torturés. Six autres personnes liées à leur paroisse ont aussi été enlevées dans le cadre de la même opération, et sont portées « disparues ». Il s’agit de quatre professeures de la paroisse et deux de leurs maris.

Bien entendu, au lendemain de l’élection du pape François, et comme on devait s’y attendre, le Vatican a catégoriquement rejeté ces allégations. Pourtant, les archives de l’époque fournissent trois indices à charge contre le Saint-Siège :

– En 2005, l’avocate des droits de l’Homme, Myriam Bregman, a intenté des poursuites contre le cardinal Jorge Marion Bergoglio, l’accusant de conspiration avec la junte militaire dans l’enlèvement de deux prêtres jésuites en 1976.

– Lorsqu’il a été relâché de prison, le prêtre Orlando Yorio en personne, a aussi accusé Bergoglio de les avoir livrés aux escadrons de la mort. Un autre survivant de la guerre sale, le prêtre Jalics, quant à lui, a refusé de discuter de la plainte, après s’être retiré dans un monastère allemand (Associated Press, 13 Mars 2013).

 

– Toutes ces allégations présentées comme aléatoires ont finalement été consolidées par Julian Assange, lorsqu’il dévoila sur son site, les dépêches confidentielles des services secrets américains. Dans son site de publication de documents confidentiels, « Les câbles de WikiLeaks article 20259 », Julian Assange a publié une archive de 1,3 millions de communications diplomatiques et de rapports des services secrets américains. Elle couvre les années de 1973 à 1976, et est nommée

 

« The Kissinger Cables » (82). Cette base de données comprend des documents révélant certaines des opérations impitoyables que les États-Unis ont menées à travers le monde entier. Parmi ces câbles, une série de communications diplomatiques révèle la relation entre le Vatican et un certain nombre de régimes dictatoriaux (le Chili d’Augusto Pinochet, l’Argentine de Jorge Rafael Videla, et l’Espagne de Francisco Franco). Ces révélations confirment en effet les collusions entre le Vatican et les dictateurs argentins et jettent la lumière sur l’installation récente du nouveau Pape François, ex-archevêque de Buenos Aires. En peu de mots et sans détours, le nouveau pontife de Rome est profondément impliqué dans la « guerre sale » menée par la junte militaire argentine (81). Lire aussi « le Pape de la sale guerre » qui dit en substance : « Sur le trône papal a été placé un homme profondément et directement impliqué dans l’un des plus grands crimes de la période d’après-guerre… » (85).


 

La première sortie du Pape François fut au Brésil, lors du JMJ 2013 (Journée Mondiale de la Jeunesse). Ce voyage a coûté au Brésil la somptueuse somme de cinquante-trois millions de dollars. La jeunesse brésilienne, furieuse, proteste… Cependant, Le Pape François a, sur ses épaules la lourde responsabilité de reformer l’Église catholique. Parviendra-t-il à reconvertir les papes satanistes ou homosexuels à Jésus-Christ ou à défaut les exclure de l’Église ? Chose impossible ! Parviendra-t-il à mettre fin aux scandales de pédophilie, d’homosexualité entre prêtres, ainsi que les abus exercés par les prêtres catholiques sur les bonnes sœurs ? Chose impossible. Autoriser le mariage des prêtres résorberait la plupart des problèmes que rencontrent les sacrificateurs de l’Église catholique. Le Pape François, parviendra-t-il à concilier les 114 Cardinaux (composés pour la plupart de satanistes, de gays, de rosicruciens et de conservateurs irréductibles), et à les convaincre d’autoriser le mariage des prêtres catholiques ? Du fait du caractère tabou du mariage des prêtres catholiques, il y a tout à parier que cette cause ne soit pas entendue au Vatican. Pour s’en convaincre, le 4 Octobre 2013, dans la ville d’Assise, Le Pape François a réaffirmé son attachement au célibat et à la virginité des prêtres catholiques. Enfin, parviendra-t-il à stopper les fréquents abus et autres scandales financiers au sein du Vatican ? Si ces énormes défis ne sont pas relevés, alors, il sera impossible à l’Église de Rome d’être une Église chrétienne, sainte et apostolique.

 

Les faits ci-dessus énumérés constituent cependant une portion infime de ce qui peut être dévoilé. Nous évoquons des faits clairement enregistrés dans les documents de l’histoire, et que le Vatican ne peut et n’ose démentir. Tous ces papes, et bien d’autres dont il serait fastidieux de citer ici les noms, portent le titre honorifique de « Sa Sainteté le Pape X ». Sont-ce là des œuvres de sainteté ? À juste titre, Luigi Cascioli disait : « Si tous ces papes étaient des saints, qui alors étaient les démons ? »

 

Ne tombons pas dans l’étau de la négligence, en considérant ces faits historiques comme faisant partie d’un passé très lointain, relégué dans les oubliettes. En poussant vos recherches, vous verrez bien que nous vivons toujours ces mêmes guerres barbares que se livrent les papes. Notre génération est celle qui aura connu le triple meurtre successif de trois papes. En effet, en 1939, le Pape Pie XI s’apprêtait à prononcer un discours pour condamner le nazisme et le fascisme, mais il mourut subitement. Le cardinal français Eugène Tisserant, comme pour lui rendre justice répétait inlassablement « ils l’ont assassiné, ils l’ont assassiné, ils l’ont assassiné ! » Le corps du pape fut immédiatement embaumé, rendant toute autopsie impossible. Son successeur fut le Pape Paul XI, qui mourut subitement le 06 Août 1978. Son successeur fut Jean-Paul 1er. Quelques jours après son intronisation, pendant une rencontre avec le cardinal Nicodème de l’église orthodoxe de Russie, du café leur fut servi. Nicodème fut le premier à porter la tasse sur ses lèvres. Il tomba subitement à terre le visage vivement contorsionné, signe d’une mort douloureuse et violente. Le pape déposa sa tasse à café. Il venait juste d’échapper à une mort par empoisonnement, seulement dix jours après son élection. Le 28 Septembre 1978, quatre cardinaux et le pape tenaient une réunion. Les débats furent houleux, et un des proches du pape, le cardinal Villot perdit son poste. Le pape rédigea alors un discours qui devait être publié le lendemain. Mais tôt le matin, sans qu’on fit cas d’une quelconque maladie à son sujet, il fut retrouvé mort sur son lit, le visage vivement contorsionné, signe d’une mort atroce et douloureuse. Il venait d’achever son règne qui n’aura duré que 33 jours et six heures. Le discours qu’il s’apprêtait à rendre public, disparu ainsi que tout objet qui se trouvait à ses côtés. Au moment où l’on annonça sa mort, son corps avait déjà été embaumé, rendant ainsi toute autopsie impossible. Cent onze (111) cardinaux se rassemblèrent alors dans la Chapel Sixtine, le dimanche 15 Octobre 1978 pour élire un nouveau pape. Après huit vaines tentatives de vote, l’on parvint àl’élection du Pape Jean-Paul II, un pape anticommuniste. Trois ans plus tard, le 13 Mai 1981, l’on tira à trois reprises sur lui, en plein cœur du Vatican. Il échappa de justesse à la mort, grâce aux prouesses de la chirurgie et de la médecine moderne. Quelles en sont les causes ? Pendant que certains documents d’investigation parlent de scandale financier lié à la drogue, d’autres qui n’excluent pas cette possibilité y associent un complot du communisme soviétique, une conspiration commanditée depuis le Kremlin par les Illuminatis, dont le but serait de contrôler le Vatican, cet empire mondial (28).

 


 

Même de nos jours, la bataille et les querelles intestines font rage au sein du clergé catholique. Récemment, et le 1er Mai 2011, Elijah, patriarche catholique byzantin, se disait être désigné par Dieu pour protéger la doctrine orthodoxe de l’Église catholique. Fort de sa nouvelle mission divine, il accusa Jean-Paul II d’apostasie de pape, parce qu’il aurait ouvert l’Église aux esprits d’antéchrists. Il décréta l’invalidité de la béatification de ce défunt pape et déclara aussi que les messes célébrées par le Pape Benedict XVI ne sont pas valables. Pour finir, il excommunia publiquement les Papes Jean-Paul II et Benedict XVI…

 

Pensez-vous que ces papes ont fait la rencontre avec Jésus-Christ ?

 

À mon avis, ces papes sanguinaires n’ont pas rencontré Jésus-Christ. Paul aussi ravageait l’Église, torturait les chrétiens et les jetait en prison (Actes 8 : 1-3). Il était rempli de zèle pour le judaïsme. Mais lorsque sur la route de Damas, il rencontra Jésus-Christ, il déposa son sabre et retourna son manteau, pour mourir décapité au nom de son Dieu. L’apôtre Pierre a aussi brandi l’épée dans le jardin des oliviers lors de l’arrestation de son Maître, et le sang avait jailli. Mais le Seigneur Jésus lui fit déposer son arme (Jean 18 : 11). Pierre obéit, pour finir, lui aussi, par une mort douloureuse sur une croix. C’est une transformation miraculeuse qu’on observe sur ceux qui ont véritablement rencontré le Seigneur Jésus. La conversion profonde, une nouvelle naissance soutenue par l’amour du prochain. Les papes qui ont fait massacrer les musulmans, les juifs, les protestants, les Cathares, les gnostiques, au nom de Dieu, ne semblent pas, selon toute évidence, avoir fait cette rencontre. Ils ont agi sciemment ou peut-être par ignorance des Saintes Écritures. De ce fait, ils ont œuvré pour le compte du Malin, quand bien même, ils pensaient défendre le droit divin.

 

Les exemples ci-dessus cités, parmi tant d’autres, démontrent sans ambages que les papes du Moyen Âge et leur Église étaient très loin du christianisme biblique. Malgré ce passé historique lugubre, malgré les permanents scandales de pédophilie et d’homosexualité de ses prêtres qui témoignent de son attachement fidèle aux œuvres de Cybèle, l’Église catholique réclame toujours le titre « d’une Église sainte, catholique et apostolique ». Elle offre des apparences de sainteté, et invite même les Églises évangéliques à se joindre de nouveau à elle. Certes, elle offre des apparences chrétiennes du fait que c’est la même Bible qui y est prêchée (avec de graves compromis), et c’est aussi le même messager (Christ) qui y est présenté. Elle a même copié les méthodes pédagogiques des réformateurs et des évangélistes, et c’est ainsi qu’est né le renouveau charismatique catholique. Mais dans le fond, elle n’est pas chrétienne. Pour s’en convaincre, examinez davantage la question des démons religieux, des stigmatisés, des corps incorruptibles (aux chapitres suivants), mais aussi l’histoire guerrière du catholicisme, et les scandales sexuels de ses prêtres, qui démontrent judicieusement que l’Église catholique contemporaine ne remplit toujours pas les conditions spirituelles bibliques requises, pour se hisser au piédestal du christianisme.

 

L’imposture du christianisme militarisé

 

Une des raisons avancées par l’Église catholique, pour justifier les horreurs du christianisme militarisé que nous venons de voir, est liée au fait que beaucoup de ses prêtres auraient trouvé la mort dans l’exercice de leurs fonctions. L’exemple le mieux exhibé est celui de Saint Boniface, qui réussit sa mission sacerdotale en convertissant une multitude de païens au catholicisme, mais qui fut tué par un pirate. À partir de là, on trouva la nécessité d’introduire l’armée dans le travail des missionnaires. Finalement, ce christianisme militarisé a donné autre chose. Il a conduit aux « guerres saintes » avec leurs horreurs effroyables.

 

Il est évident pour moi que l’introduction des armes dans l’évangélisation, fut-il pour la protection des missionnaires, demeure une fausse excuse. Convenez avec moi que si vous ne forcez pas un individu à embrasser votre religion, vous n’avez rien à craindre de lui. Le christianisme se veut une religion de paix et d’amour, suivant les principes de base posés par Jésus-Christ. Et même s’il vous arrivait de mourir pour l’Évangile, rassurez-vous, vous avez encore répondu à un principe chrétien. En effet, le Seigneur Jésus disait : Rappelez-vous ce que je vous ai dit :

 

« Aucun serviteur n’est plus grand que son maître ». S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi… (Jean 15 :20). Plus loin, il dira : « Si quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à lui-même, qu’il porte sa croix et me suive. Car l’homme qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour la Bonne Nouvelle la sauvera » (Marc 8 : 34-35).

 

Le Maître, Jésus de Nazareth a connu une fin tragique. Il est mort d’une manière ignominieuse, afin de nous racheter. À l’exception de Jean qui mourut naturellement, tous les Apôtres du Christ, ainsi que les premiers martyrs chrétiens, sont morts d’une manière abjecte, à l’instar de leur Maître. De ce fait, on peut dire que Saint Boniface a connu une bonne mort, car ayant quitté ce monde, à la manière de son maître ; et sa mort ne saurait en aucun cas justifier un christianisme militarisé.

 

Si les papes défendaient le message biblique, cela serait compréhensible. Mais ils ont plutôt défendu un credo et une foi antinomiques, insidieusement pour l’unité de l’empire de Rome dont ils étaient les dirigeants. Au nom de l’unité de cet empire et du catholicisme, pour combattre le fractionnisme qui menaçait les fondements de leur Église, les papes ont brandi le sabre de guerre. Pourtant, il y a des territoires sur cette terre qui ont refusé de recevoir le Christ. Il fut même rejeté dans sa propre patrie (Luc 4 : 16-30), et plus tard, un village de Samarie refusa de le recevoir, de sorte que ses disciples proposèrent d’y faire tomber le feu du ciel. Sur ce fait, le Seigneur leur fit des reproches (Luc 9 : 51-54). Ont-ils fait violence ? Non. Voici l’enseignement du Prince de la Paix : « Partout où des gens refuseront de vous accueillir, quittez leur ville et secouez la poussière de vos pieds : ce sera un avertissement pour eux » (Luc 9 : 5). De même, lorsque le Christ chassa la légion de démons, les habitants de cette ville vinrent le supplier de quitter leurs territoires (Matthieu 8 : 34). Le Maître a-t-il refusé, et a-t-il brandi un sabre de guerre contre ces gens qui le rejetèrent ? Non. Il a enseigné la vérité et l’amour du prochain en tout temps, malgré les oppositions, jusqu’à en mourir, sans jamais tuer. Il n’y a donc aucune raison biblique pour les papes de tuer ceux qui refusaient d’embrasser le catholicisme. La guerre sainte n’a jamais été un instrument du christianisme authentique. Imaginez des enfants de Dieu qui tuent d’autres enfants de Dieu, au nom de Dieu. Je me pose la question suivante : « Au nom de quel Dieu ? Du doux Jésus ? » Non ! Les papes ont tué des millions de personnes au nom de leur dieu, et ce dieu est différent du Père de Jésus-Christ.

 

Il n’y a pas de guerre qui soit sainte. Elle est l’œuvre réussie du diable ; car La Bible déclare qu’il est un meurtrier dès le commencement (Jean 8 : 44). Subséquemment, tous ceux qui font usage de la guerre pour la promotion leur religion, qu’ils le veuillent ou non, sont de connivence avec le Malin.