Chapitre V
La succession
apostolique ! Le gros mensonge séculaire
La légitimité de l’apostolat pontificale
Les souverains pontifes de
Rome que sont les papes de l’Église catholique affirment
être les successeurs des apôtres du Christ, et aussi des
représentants de Dieu sur terre. J’émets des doutes sur la
validité de ces réclamations, car l’héritage qu’ils nous ont
légué (tradition, catholicisme, inquisitions et guerres
saintes) ne corrobore pas ces titres apostoliques qu’ils
requièrent. Que révèle La Bible ? Pour défendre son maître
qui était en danger de mort, Pierre trancha l’oreille de
Malchus. Mais Christ lui dit : « Remets ton épée à sa
place, car tous ceux qui prennent l’épée
périront par l’épée » (Matthieu 26 : 52). Jésus-Christ
n’a pas approuvé
la guerre. Il l’a rejetée. Contrairement aux papes,
Jésus-Christ et ses apôtres n’ont pas fait la guerre à
d’autres chrétiens. Ils n’ont pas tué les païens de leur
époque. Imaginez-vous un peu le Seigneur Jésus prendre un
sabre et égorger tous ceux qui refusent de croire ou de
prier selon son enseignement. À quoi ressemblerait ce Christ
? Pourtant, c’est ce que firent les papes du Moyen Âge. Par
conséquent, il y a une forte possibilité que les papes
soient plutôt les apôtres et les représentants d’un dieu
autre que celui de La Bible.
Les papes affirment être les vicaires de Jésus-Christ sur terre. Mais lorsque vous étudiez les caractéristiques qui identifient le Christ, vous constatez que nos papes sont bien loin de remplir les conditions d’âme du vrai Jésus. Le prophète Ésaïe nous décrit l’identité du Sauveur : « Voici mon serviteur que j’ai choisi, dit Dieu, celui que j’aime et en qui je mets toute ma joie. Je ferai reposer mon esprit sur lui et il annoncera mon jugement aux nations. Il ne disputera avec personne et ne criera pas, on ne l’entendra pas faire des discours dans les rues. Il ne cassera pas le roseau courbé et n’éteindra pas la lampe dont la lumière faiblit. Il agira ainsi jusqu’à ce qu’il ait fait triompher la justice ; et toutes les nations mettront leur espoir en lui » (Matthieu 12 : 18-21). Les prétendus vicaires du doux Jésus sur terre qui sont nos papes, remplissaient-ils ces critères lorsqu’ils tuèrent tous ceux qui étaient faibles dans la foi ? Tout le Moyen Âge est baptisé de « sombre période », surtout à cause des actes barbares posés par les papes. Cela révèle l’identité réelle de cette Église papale qui porte un déguisement chrétien. En effet, le Seigneur Jésus disait : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en donnant l’apparence de mouton, mais au-dedans ce sont des loups féroces. Vous les reconnaîtrez à leurs actions. On ne cueille pas des raisins sur des buissons d’épines, ni des figues sur des chardons. Un bon arbre produit de bons fruits, mais un arbre mauvais produit de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits et un mauvais arbre ne peut pas produire de bons fruits » (Matthieu 7 : 15-18).
La valeur chrétienne de la succession
apostolique
Les papes font de la succession apostolique
leur cheval de bataille pour légitimer la prépondérance du
catholicisme sur les autres Églises chrétiennes, et surtout
pour justifier son titre d’« Église Mère ». En effet, en
Juillet 2007, le Pape Benedict XVI déclara officiellement à
travers les médias que « Christ Jésus a établi ici sur terre
une seule Église », qui est l’Église catholique. Il
renchérit que les autres églises et dénominations ne peuvent
pas être considérées comme des Églises chrétiennes, parce
qu’elles n’ont pas la succession apostolique, c’est-à-dire,
l’habilité d’être les successeurs des premiers apôtres du
Christ.
En ce qui me concerne, je trouve qu’un tel
raisonnement est immature et n’a aucune valeur. Vous
conviendrez avec moi que le seul et ultime but du
christianisme est de sauver des âmes, par leur foi en
Jésus-Christ. Même les douze apôtres du Christ (exception
faite pour Judas Iscariote) ont été sauvés grâce à cette
foi. Mais s’il se trouve que vous êtes un pape athée ou
hérétique, ou peut être un pape sataniste qui massacre des
chrétiens, alors votre succession apostolique est nulle
d’effet. De ce fait, la succession apostolique ne peut en
aucun cas constituer le fondement de la foi chrétienne. Le
fondement du christianisme est basé uniquement sur La Parole
de Dieu. La succession apostolique n’a jamais été un thème
apostolique, et par conséquent, elle n’a aucune valeur
apostolique.
Que nous enseigne
l’histoire ?
De tout temps, les dirigeants de ce monde
ont changé les récits historiques à leur avantage. Les
chroniques de guerre, composées par les pharaons, n’étaient
pas exactes. Elles décrivent des pharaons héroïques,
célèbres dans les guerres. En
Les régimes révolutionnaires
marxistes-léninistes et d’Adolph Hitler ont toujours changé
les manuels pédagogiques à leur avantage, sans se soucier de
la vérité historique qui devrait être préservée. Par des
mensonges, ils ont réécrit l’histoire des peuples, dans
l’optique de justifier leur règne.
Les dirigeants de notre génération aussi
n’échappent pas à ces mensonges grossiers. Par exemple, le
premier voyage des Américains sur la lune « Apollo I »
n’était qu’une farce. Humiliés par le retard de leur
technologie sur les Russes, ne sachant comment aller sur la
lune à cette époque, ils ont alors tourné un film qu’ils ont
projeté sur toutes les chaînes de télévision à l’échelle
mondiale, sauvant ainsi leur visage de la honte. Ces
mensonges ont été démasqués grâce aux dossiers secrets
américains déclassifiés ; et Ronald Ramfel, ministre de la
Défense américaine en personne expliqua tout devant les
caméras (55). C’est également de cette manière que les
puissances alliées ont procédé avec la destruction du navire
Pearl Harbor, pour avoir une excuse et engager les USA dans
la Seconde Guerre Mondiale. De même, pour aller en guerre
contre les dictateurs arabes qui constituaient une menace
grave pour leurs intérêts égoïstes, l’horrible conspiration
du 11 septembre 2001 où les gratte-ciels de New York
s’effondraient en écrasant des milliers de personnes leur
fut nécessaire (56, 90). Et le récent mensonge, mal ficelé
au plan climatique, est que, puisqu’aujourd’hui nos
gouvernants veulent changer de forme d’énergie, ils
s’évertuent à accuser les hommes d’avoir pollué l’atmosphère
par les hydrocarbures, et d’avoir ainsi provoqué un
réchauffement plus accéléré de la planète. Alors qu’en
vérité, l’homme ne peut pas causer le réchauffement de cette
planète. Ce phénomène est naturel, et donc normal. Ce sont
les cycles chauds du soleil qui donnent des générations plus
ou moins chaudes (57). À juste titre, les scientifiques
honnêtes, désignent cette nouvelle approche sous le nom «
d’arnaque du réchauffement climatique ». En effet, ils
démontrent que l’époque de la renaissance (XVe et XVIe
siècle) était beaucoup plus chaude que la nôtre. Pourtant, à
cette période, il n’y avait ni usine, ni voiture ni
d’hydrocarbure, ni pollution.
Tout ceci pour vous rappeler que nous
sommes constamment bombardés de surprenantes contrevérités,
visant simplement à cacher le vrai visage des problèmes. Le
Vatican qui regorge d’intellectuels de haut rang s’est,
depuis, décidé d’emboucher la même trompette, pour la
défense de sa cause. Les cerveaux du Vatican ont alors
colmaté et rafistolé des liens pour justifier leurs
successions apostoliques. Parfois, c’est une simple lettre
écrite dans une période sombre et
En quoi l’Église catholique est-elle une
Église apostolique ?
Quel est le dernier apôtre du Christ qui
aurait imposé les mains au premier pape, lui passant ainsi
le flambeau pour diriger la chrétienté ? Officiellement,
l’Église catholique a été fondée en 742, par les frères
Pépin-le-Petit et Carlomanand Winfred (fils de Charles
Martel), au cours du premier Council Œcuménique de St Denis
à Paris. Lorsque cette Église catholique a commencé à
évoluer sous la tutelle des papes, tous les apôtres de
Jésus-Christ étaient déjà morts. De quelles successions
apostoliques parlent-ils donc ?
Que nous enseigne l’histoire ? En ce XXIe
siècle, lorsque les régimes d’exceptions et de droits se
combattent pour le contrôle du pouvoir, il y a toujours des
périodes de transition confuses et violentes, de sorte qu’il
est impossible de prévoir celui qui l’emportera sur l’autre.
Tel fut le cas des régimes marxistes-léninistes. Des fois,
ce sont des assassinats qui résolvent le dilemme. Il en
était de même au Moyen-âge, entre les empereurs romains et
les évêques. La confusion avait atteint un paroxysme, à tel
point qu’on ne savait plus qui détenait réellement le
pouvoir à Rome. Cette confusion monstrueuse prit fin grâce à
l’intervention musclée du Général Odoacre, secondé par les
Barbares de Rome. Considéré comme le dernier empereur, c’est
lui qui déposa le dernier empereur de Rome, mais refusa de
porter la couronne. Ce général permit que Léon fût le seul
pape et le seul empereur sur les deux empires romains. Ce
jour marqua alors la date secrète de la chute définitive de
l’empire de Rome, et aussi la naissance puis la montée en
puissance de la papauté. On peut donc noter qu’il n’y a pas
eu de succession apostolique, mais plutôt un coup d’état.
Succession apostolique discontinue
Pour justifier la succession apostolique
qu’il réclame à cor et à cri, le Vatican publia une
Encyclopédie des papes, le « Liber Pontificalis ». C’est une
liste de tous les papes, depuis l’apôtre Pierre jusqu’à nos
jours. Mais il a caché, et sciemment passé sous silence, la
poignante contradiction et toute la véracité sur le
caractère discontinu et anachronique de cette prétendue
succession apostolique. En vérité, il n’y a pas eu de
succession apostolique ininterrompue telle que le Vatican le
présente. Il y eut des siècles sans pape, étant donné que la
chaîne de succession papale s’était rompue à plusieurs
reprises au cours de l’histoire. Ces périodes n’eurent pas
de papes au sommet du clergé, et aucun culte n’était rendu à
Dieu ou à Cybèle au sein du Vatican. Par exemple, entre les
années 65 à 193 il y eut 127 ans de rupture dans la
succession
Vous
comprenez qu’avec ces ruptures, les papes n’ont pas le droit
légal de prétendre être les successeurs légitimes des
apôtres du Christ. Alors, le Vatican a inventé des papes
fictifs pour colmater cette brèche dans la succession des
papes. Comme on devait s’y attendre, les historiens et les
critiques soulignèrent que certains papes sont des
personnages fictifs, car aucun objet archéologique, aucune
tombe, encore moins un décret pontifical leur appartenant ne
peut être exhibé. C’est l’exemple des premiers papes, de
faux saints papes tels que : Urbain I (223-230), Pontien
(230-235), Anthère (235-236), Fabien (236-250), Corneille
(251-
253),
Lucius (253-254), Étienne (254-257), Sixte II (257-258),
Denys (259-268), Félix I (269-274), Eutychien (275-283),
Caïus (283-296), Marcellin (296-304). Tous ces noms seraient
donc des faux, introduits dans le « Liber Pontificalis »,
pour justifier 144 ans de rupture apostolique entre les
années 222 et 366. Le Vatican défendra la crédibilité de son
Liber Pontificalis par des preuves musclées. C’est l’exemple
du livre « Étude sur le liber Pontificalis », par M. l’abbé
L. Duchesne, avec Ernest Thorin, Paris 1877, comme éditeur.
Ce livre est disponible sur Internet (54). Mais les
historiens ont finalement eu raison, car le Vatican a fini
par effectuer plusieurs révisions sur la liste des papes, en
écartant des noms compromettants, des fois, un pape fictif.
La confusion dans la liste des papes
La duplicité de la succession apostolique se révèle aussi dans la liste non exhaustive des papes. De nos jours, en effet, le Vatican ne parvient pas à établir la liste et le nombre précis des papes qui ont régné depuis l’apôtre Pierre. C’est la confusion totale, car quatre livres officiels, pourtant tous du Vatican et frappés de l’enseigne Nihil obstat, donnent des chiffres discordants. Le pire est que, d’autres papes qui ont régné au Vatican, et qui y sont morts, ont néanmoins leurs noms supprimés de la liste officielle des papes. Le comble est que certains papes prestigieux, qui par leurs vertus ont été promus au rang de sainteté, vénérés au cours des siècles par des catholiques, ont subitement été déchus de leur titre de sainteté (31). Cela remet en cause la crédibilité de cette succession apostolique. En effet, le 18 janvier 1947, au plus grand étonnement des catholiques du monde entier, le pape Pie XII a annoncé la suppression des noms de six papes du Liber Pontificalis (New York Times, 19 Janvier 1947, et aussi dans, Philadelphia Inquirer de la même date). Ainsi, le nom du pape Donus (676-678) qui figurait sur la liste depuis 973 a été supprimé. Pourquoi ? La raison est que le Vatican s’est aperçu que ce pape n’a jamais existé. L’État du Vatican a aussi effectué par la suite, des révisions sur 74 autres papes. Je dis bien 74 papes qui sont des papes fictifs. Les critiques et historiens avaient donc raison et le Vatican n’a fait qu’amender son faux Liber Pontificalis. De nos jours, des papes fictifs figurent encore sur la liste fantaisiste des papes.
Aussi
contradictoire que cela puisse paraître, le Vatican a laissé
tomber six autres papes. Cinq autres papes qui furent
célèbres et qui furent canonisés et vénérés par des
catholiques depuis des siècles comme des saints ont perdu ce
titre de sainteté. Il s’agit de Félix II, de Liberius, de
Anastasius, de Étienne III, et de Étienne V. doit-on parler
de « décanonisation » ? Le pape Étienne (Mars 752) fut élu à
la mort du pape Zacharie, mais mourut trois jours avant son
intronisation. En 1961 il disparaissait aussi de la liste
officielle des papes. Célestin II, élu régulièrement en
1124, fut aussi écarté de la liste officielle des papes. Il
fut attaqué le lendemain de son élection par les hommes de
son rival. Blessé, il abdiqua et fut aussitôt remplacé par
Honorius II. Pape Constantin II (767-768) fut un antipape
élu par l’aristocratie à la mort de pape Paul 1er, mais fut
aussitôt renversé par les Lombards qui lui crevèrent les
yeux. Le pape Philippe (768) était un antipape imposé par
les Lombards et qui démissionna le lendemain de sa
nomination. Leurs noms disparurent de certaines listes de
papes.
Au vu
de ces noms qui disparurent de l’encyclopédie des papes, on
est en droit de se demander : à quand encore la prochaine
révision de la liste des papes ?
Fraude sur la liste des papes
L’invalidé
de cette succession apostolique réclamée par les papes se
confirme dans sa nature dévergondée, désordonnée et
grotesque. La papesse Valentine (Août à Septembre 827) fut
la cent unième papesse. Bien que certaines listes
indiquent
« Valentin
». Elle ne régna que 40 jours. Des documents historiques
citent aussi le cas de la papesse Jeanne, qui aurait régné
sous le nom de Jean l’Anglais, Jean l’Angélique ou pape Jean
VIII. Lors de la procession qui suivit l’élection de ce
pape, on s’aperçut qu’il s’agissait d’une femme et qu’elle
était enceinte : la papesse Jeanne. Elle fut alors traînée
hors de Rome et lapidée à mort en 855 (Encyclopedia
Universalis). Ce fait a été reconnu par le Concile de
Latran. Depuis ces évènements, après chaque élection de
pape, un diacre était chargé, à travers une chaise percée,
de vérifier la masculinité de l’élu, en s’assurant qu’il
portait des testicules bien pendants. Après quoi il devrait
prononcer cette célèbre phrase : « Habet duos testiculos et
bene pendentes ! » Le rite perdura jusqu’au 17e siècle.
Le
Vatican a réussi à présenter Saint Hormisdas comme étant le
52e pape de l’Église catholique. Mais l’un des critiques du
catholicisme (Vati-leaks), affirme
Si succession apostolique il y a, c’est
Pierre, le prince des apôtres, qui, en principe, aura occupé
ce poste en premier. Ses successeurs devraient être aussi
des apôtres du Christ, des évêques ou des cardinaux (en ce
qui concerne notre génération). Mais, au cours de son
histoire, l’Église catholique n’a pas respecté cette noble
règle. En effet, à l’occasion des funérailles du pape
Grégoire II en 731, la foule s’étant saisie d’un prêtre dans
la procession, elle le nomma pape. Drôle de succession
apostolique ! Néanmoins, devenu pape Grégoire III, il régna
dix ans. Le pape Grégoire X (1271-1276) n’était ni prêtre ni
cardinal à son élection. Aussi, des enfants ont été nommés
cardinaux, puis promus papes. L’on peut citer quelques
exemples. Le Pape Benoit IX (1032-1044, Avril-Mai 1045,
1047-1048) connu sous le nom de « l’enfant pape ou le jeune
Saint-Père ». Il fut élu pape à l’âge de douze ans. Rodrigo
Borgia, fils « neveu » de Calixte III, fut évêque à 24 ans
sans avoir jamais été prêtre, cardinal à 35 ans, et enfin
pape Alexandre VI (1492-1503). Cesare Borja (1475-1507),
fils du pape Alexandre VI fut nommé évêque à l’âge de 7 ans,
puis Cardinal à 18 ans. Jean de Médicis parvint au rang de
protonotaire apostolique à l’âge de 8 ans, cardinal à
quatorze ans, et devint pape Léon X (1513-1551) à
trente-huit ans.
Les antipapes
Lorsqu’un
pape est officiellement élu par le conclave des cardinaux,
il arrive que ses opposants choisissent un autre pape (un
antipape) pour le contrer. Ce drôle de succession pour des
apôtres du Christ a toujours conduit à des homicides. De
saint Hippolyte (212-236) premier antipape jusqu’à Amadeus
de Savoie « Félix V » (1439-1449), dernier antipape, on
dénombre un total de 48 antipapes (étude basée sur les
données de New advent « the list of popes »). Beaucoup
d’entre eux ont réussi à supplanter leur rival en devenant
papes. Mais d’autres furent sauvagement mutilés. Ces guerres
effroyables, pour pontifier sur Rome, sont d’autres preuves
éclatantes qui certifient que la succession apostolique que
l’Église Catholique revendique tant, n’est qu’une imposture.
Succession apostolique entachée
d’assassinats et d’empoisonnements
Jésus-Christ,
le doux agneau de Dieu était un homme de paix. Ses
successeurs que sont les papes devraient aussi être des
pacifistes. Mais le clergé catholique s’est illustré
contrairement aux idéaux du Christ. Il fut rare de voir un
empereur de Rome mourir tranquillement sur son lit de repos.
Presque tous ont connu une mort violente par assassinat.
Cette tradition de mort violente, les papes de l’Église
catholique en firent fidèlement leur autre héritage. De ce
fait, sont-ils les représentants authentiques du Christ ou
ceux des empereurs de Rome ? Voyons quelques cas bien
significatifs.
Le
Pape Étienne (Mars 752) fut élu à la mort du pape Zacharie.
Mais trois jours après il mourut avant son intronisation. Le
Pape Boniface VI (896) ne régna que 15 jours. Le Pape
Étienne VI (896-897), victime d’une insurrection populaire,
fut déshabillé de force, revêtu d’un froc de moine,
emprisonné puis étranglé. Le Pape Théodore II régna pendant
trois semaines (de Novembre à Décembre 897) et fut
assassiné. Le Pape León V (de Juillet à Décembre 903), élu
pour trois mois, il a été emprisonné puis étranglé par
l’antipape Christophore. Pape Christophore (903-
Nature de la succession apostolique
Elle
se révèle dans les cultes rendus par les papes depuis l’an
33 à nos jours. Si les papes de l’Église catholique étaient
les véritables successeurs des apôtres et Vicaires de
Jésus-Christ sur terre, alors, tous devaient être des
chrétiens. Mais de toute l’histoire du christianisme, seuls
huit papes ont rendu un véritable culte chrétien au Vatican.
Il s’agit des papes Damasus I (366-384), Siricus (384-399),
Anastasius (399-401), Innoncent I (402-417), Boniface I
(418-422), Leo I (440-452), Silverius (536-537) et Vigilius
(537-555). Hormis ces papes chrétiens, tous les cultes,
depuis la naissance du christianisme, étaient rendus à des
entités différentes du Dieu de La Bible. Le pape en exercice
imposait sa foi et ses croyances. Par exemple, si le pape
était sataniste, alors le culte était purement satanique. Au strict
minimum, 23 papes ont rendu un culte fidèle
Alors, vous qui parlez de successions apostoliques, ces papes satanistes qui se sont clairement distingués par leurs actes étaient-ils eux aussi des successeurs des apôtres de Jésus-Christ ? Cette discontinuité dans la liste des papes, ces suppressions des noms de papes et ces destitutions de papes, ne sont-elles pas des contradictions effarantes sur la véracité de la succession apostolique ? De quelle succession apostolique parlez-vous alors ? Il y eut, certes, des successions d’empereurs romains, mais pas d’apôtres du Christ.
Nous venons juste de voir les guerres
meurtrières que se sont livrées les papes du Moyen-âge, pour
siéger sur le trône de l’empire de Rome. Pourtant, lorsque
Ponce Pilate demanda à Jésus-Christ s’il était roi,
qu’a-t-il répondu ? «
Mon royaume n’appartient
pas à ce monde ; si mon royaume appartenait à ce monde,
mes serviteurs auraient combattu pour empêcher qu’on me
livre aux autorités juives. Mais mon royaume n’appartient
pas à ce monde » (Jean 18 :36). Lorsque Satan réclama
du Seigneur Jésus
qu’il se prosternât devant lui afin d’hériter tous les
royaumes de la terre, il a formellement repoussé l’offre
(Matthieu 4 :10). Jésus-Christ a catégoriquement rejeté la
royauté de ce monde. Pourquoi alors les papes qui disent
être ses représentants occupent-ils avec acharnement le
trône des empereurs de Rome, cet empire mondial ? Ont-ils
imité le Christ qu’ils prétendent suppléer ?
Jésus-Christ n’a jamais eu de trône sur
terre, et il n’avait même pas sa propre maison où dormir. Il
n’a jamais dit à Pierre qu’il le remplacera lorsqu’il sera
soustrait de ce monde. Il ne l’a jamais installé sur un
trône royal et ne lui a jamais posé un diadème sur la tête
pour régner sur son Église. Jamais ! Mais Jésus-Christ a
spécifié que son remplaçant sera le Saint-Esprit. En effet,
Christ enseignait qu’il était avantageux pour nous qu’il
s’en aille, afin que son remplaçant puisse venir nous
conduire dans toute la vérité (Jean 16 :7-15). Ce remplaçant
qui est venu à la Pentecôte fut bien le Saint-Esprit, mais
non un pape. C’est le Saint-Esprit qui dirige l’Église de
Jésus-Christ sur terre. En effet, en union avec l’Église
primitive, tous les apôtres étaient sous la direction du
Saint-Esprit, et le livre des Actes des Apôtres l’atteste.
Mais l’Église catholique d’aujourd’hui n’est pas dirigée par
le Saint-Esprit, mais plutôt par des papes qui légifèrent
depuis Rome.
Un peu de modestie
Supposons que la succession apostolique
dont se réclament les papes soit justifiée. Dans ce cas,
montrez-moi, dans La Bible ou dans l’histoire de Rome, un
seul passage dans lequel un des douze apôtres a déclaré être
le représentant de Jésus-Christ sur terre. Vous n’en
trouverez pas. Par conséquent, le fait que les papes
réclament à grand bruit le titre de Vicaire de Jésus-Christ
sur terre n’est pas apostolique.
La Bible nous révèle que Dieu peut utiliser des pierres et les transformer en êtres humains (Matthieu 3:9). Sur le plan de la création, et en dehors de la grâce et de l’amour qu’il nous manifeste, l’homme n’est pas plus qu’un morceau de pierre devant Dieu. Alors, comment un morceau de pierre, un être humain tiré de la poussière, peut-il être le représentant de Dieu sur terre ? Soyons humbles.
Il y a pire ! Être le représentant de
Jésus-Christ sur terre signifie être son égal. Du même coup,
cela fait de vous l’égal du Dieu Tout Puissant. Cette
attitude est luciférienne, car dans toute l’histoire de la
création, seul Satan a proclamé son égalité au Dieu
Très-Haut. Nos papes, sans le dire ouvertement, ont emboîté
le pas en se conférant ce titre divin. En effet, les
empereurs de Rome étaient considérés comme des dieux, et
exigeaient d’être adorés par le peuple. Ils persécutaient
sauvagement les chrétiens qui adoraient un dieu différent.
Lorsque les papes à leur tour devinrent empereurs de Rome,
ce culte de la personnalité était toujours d’actualité. Ils
exigeaient ce respect sacré. Lorsqu’un serviteur de Dieu
réclame le titre divin de « Saint-Père », de « vicaire de
Dieu sur terre », il n’est rien d’autre qu’un antéchrist.
Lorsqu’on se dit divin, à l’instar des empereurs romains,
alors, on s’offre tous les droits. C’est la raison pour
laquelle, sans se gêner, les papes ont massacré plus de
cinquante millions d’innocentes personnes au moyen
âge. Il n’y a qu’un seul Christ et tous les apôtres étaient
d’humbles serviteurs, mais jamais des représentants.
Une contradiction révoltante
Après ces analyses, vous conviendrez avec
moi que cette Église papale ne relève pas de la succession
des apôtres de Jésus-Christ, et ne répond à aucun critère de
sainteté. Néanmoins, l’Église catholique tente de s’ajuster,
à coup d’arguments. Et dans son Credo, elle clame haut et
fort être est une église « sainte, catholique et apostolique
». Voyons !
D’une
part, l’on se demande en quoi l’Église catholique est sainte
? Est-ce par ses guerres sanglantes et par son Inquisition
meurtrière, au travers desquelles des millions d’âmes
innocentes périrent ? Par l’idolâtrie qu’elle pratique ou
par sa tradition qui a colporté des symboles et des rites
sataniques dans l’Église ? Est-ce aussi par la vie
licencieuse de ses prêtres ou de ses papes ? D’autre part,
en quoi est-elle vraiment apostolique ? Nous avons vu les
fraudes qui ont rembruni les élections des papes, et ne
perdons pas de vue les horreurs, les crimes, les assassinats
et la bestialité dont ils usèrent pour régner. Le constat
amer est qu’il n’y a rien d’apostolique. L’on s’interroge
enfin sur les facteurs qui justifient son identité
catholique. La définition du mot catholique, selon Le
Larousse, est quelque chose qui est « conforme à la règle, à
la morale courante. » Après les révélations accablantes,
faites par les historiens, et que je me suis permis
d’incorporer dans ce livre, trouvez-vous encore que cette
Église papale est catholique ? Alors, force est de
reconnaître que cette Église ne peut être, à la fois,
guerrière, sanglante, brutale, sainte, catholique,
apostolique, satanique, gnostique, Cybèle et chrétienne ! Il
y a plus qu’une contradiction, et la vérité inonde nos sens.
La valeur de la sainteté dans le
catholicisme
L’Acta Sanctorum (Acte de Saints) est un
document officiel du Vatican, une collection massive de 68
volumes consacrés aux saints de l’Église catholique. Rédigé
et imprimé sur une période de trois cents ans (1629-1940),
il s’agit du récit de l’histoire de la vie des saints du
catholicisme. L’Acta Sanctorum constitue la base de la
catéchèse de l’Église catholique. Les historiens
contemporains et les critiques révèlent que le livre est
truffé de « fausses saintes légendes et de fables », et fut
rédigé pour exalter la vie d’un soi-disant saint. Cela
consistait à lui fabriquer de faux exploits, en vue de créer
une fausse légende à sa vie. Ces histoires furent écrites
par les Bollandistes, des centaines d’années après ces
prétendus saints, et longtemps après la mort des témoins de
leur vie. C’est alors que les jésuites trouveront le moyen
d’écrire l’histoire de leur vie, en gonflant les événements
par des faits extravagants. Prenons l’exemple de Giovanni
Bernadone Morosini (Saint François d’Assise), voyons d’abord
un résumé succinct de ce que disent les historiens à son
sujet, puis rapportons cela à l’Acta Sactorum. Les
historiens retiendront de lui qu’il fut radié de sa famille
par son richissime père, des suites d’un écart de conduite
et de déshonneur. Il ne put prendre possession de l’immense
fortune dont il devrait hériter. En 1205, il s’engagea dans
l’armée, aux cotés du Vatican, dans la guerre contre les
cathares. Il connut une brillante carrière militaire,
politique et religieuse, et fut un grand homme de son
époque. Il ramena les valeurs et la discipline de Jésus en
Europe, et dans le quartier général des franciscains à
Vénice. Il rétablit l’ordre, la discipline, la sainteté dans
l’Église, et surtout, prenait continuellement soin des
pauvres. Il parvint à opérer la réunification des deux
empires de Rome, et réussit à convertir beaucoup de citoyens
de l’empire Pisan au catholicisme. Mais triste ironie du
sort, le célèbre François sombra dans la démence et fut
exclu de l’armée. Il devint, par la suite, un danger pour la
sécurité publique (De Antiqua Ecclesiae Disciplina’, Bishop
Lewis Du Pin, Catholic historian). Il s’habillait comme un
mendiant, son regard était hagard, ses yeux vitreux, fixes
et effrayants (Life of St. Francis’, Demonologia). Le pape
Innocent III le décrivait comme « le visiteur le plus
étrange ». Il ne retrouvait son calme que lorsque François
avait quitté son bureau (The True Story of the Popes’,
Robert H. Benson, London, 1922). Le Professeur P. J. Lennox
de l’Université catholique américaine relatait que « pendant
que ses yeux brûlaient
L’Acta Sanctorum dit que Giovanni Bernadone
Morosini (Saint François d’Assise) fut enfanté dans une
mangeoire d’animal à l’instar du Christ Jésus et qu’il eut
une vie pieuse et légendaire. Lorsqu’il prêchait l’évangile,
les oiseaux du ciel se rassemblaient des quatre points
cardinaux pour l’écouter, chantaient avec lui,
applaudissaient chaque serment qu’il prononçait et
s’envolaient ensuite pour rapporter la bonne nouvelle dans
tout l’univers. Des sauterelles aussi lui tenaient compagnie
et demeuraient constamment accrochées à ses cheveux. Un
jour, lorsqu’un loup féroce vint l’attaquer, ne disposant
d’aucune arme, François l’apprivoisa en faisant simplement
le signe de croix. Ce méchant loup devint doux comme un
agneau, pleura et confessa ses péchés. Il tendit ensuite sa
patte au saint et l’accompagna à travers la ville pour
prêcher l’évangile. Ce loup devint un demi chrétien (Acta
Sanctorum, “Life of St. Francis” et aussi dans Demonologia).
Nul n’a besoin de vous dire que l’Acta
Sanctorum ne reflète pas la réalité historique. Pourtant il
constitue la base de la catéchèse dans l’Église de Rome.
Major Joseph Wheless (Associate Editor of the American Bar
Association Journal 1930), dira que l’Acta Sanctorum est «
une collection de mensonges sinistres de prêtres et une
insupportable évidence de la prétention frauduleuse de
l’Église du Christ. »
Le Vatican qui reconnait les faits dira : «
Point besoin de dire qu’ils (les récits de l’Acta sanctorum)
n’incarnent pas les faits historiques réels et leur
principales fonctions est de fournir un exemple de la
croyance populaire de l’époque (“Catholic Encyclopedia”,
Farley Ed., Vol., i, p. 131). L’Acta Sanctorum aussi bien
que le Liber Pontificalis, documents de base du
catholicisme, ne seraient donc que des faux.
Face à ces évidences éblouissantes, le
Vatican finira par reconnaitre que le titre de sainteté (accordé
aux papes et aux saints, dans l’Église catholique) n’a aucun fondement (“The
Popes, A Concise Biographical History”, Burns and Oates, Publishers to
the Holy See, Lo ndon, 1964, p. 32) (88).
Le diable et son chiffre
Cet abus de pouvoir et de langage, en
inadéquation avec notre époque, a eu pour conséquence,
l’assimilation de la papauté à la bête et au chiffre 666,
décrits dans Apocalypse 13 :18. En effet, l’apôtre Jean
disait de calculer le chiffre de la bête qui est un chiffre
d’homme. Sachant que le pape se nomme « VICAIRE DU FILS DE
DIEU »
« VICARIUS
FILII DEI » en latin, et sachant qu’à chaque mot latin est
affecté un chiffre (M=1000, D=500, C=100, L=50, V et U=5,
I=1), le calcul arithmétique donne le résultat suivant :
VICARIUS FILII DEI fait
[(5+1+100+1+5) + (1+50+1+1) + (500+1)] = 666.
Un
autre titre qui exprime le rang et la dignité du pape est
LATINUS REX SACERDOS qui veut dire PRINCE-ROI LATIN.
L’opération donne également 50+1+5+10+100+500= 666.
Sagesse insondable d’un
Dieu Omniscient !
D’autres
noms et titres du pape en hébreu et en grec (langues
originales de La Bible), donnent aussi ce même résultat
(75). Cette conjecture qui parait fantaisiste et grotesque
pour les défenseurs intrépides du Vatican, constitue tout de
même une preuve à charge contre la papauté.
Le
Saint-Siège sait que 666 symbolise le mal absolu. Il cherche
dorénavant à se débarrasser du diable et de son chiffre qui
lui colle à la peau.
Par ailleurs, les défenseurs intrépides du
Vatican déclarent que ces calculs sont
fantaisistes. Ils soulignent des analogies dans ces
opérations et démontrent que le calcul du nom de Martin
Luther King (le plus grand opposant de la papauté) donne
aussi le chiffre 666. Cependant, ils devraient savoir qu’il
s’agit-là d’un nom propre et de surcroit, il n’est nullement
blasphématoire. Le chiffre 666 s’identifie uniquement à un
nom de blasphème car La Bible stipule que quiconque se dit
Dieu, blasphème (Jean 10 :33). Le Vicarius Filii Dei est une
parfaite illustration de blasphème.
Nationalité des papes
Le nombre total des papes se chiffre à plus
ou moins 265. De ces 265 papes, 247 sont Européens, dont 208
Italiens, desquels on dénombre 112 Romains. Mais pourquoi
tant d’Européens et surtout d’Italiens sur le trône de Saint
Pierre ? Les documents historiques attestent que la papauté était
purement une affaire de dynastie, diligentée
par les nobles et richissimes familles européennes. Chaque famille
présentait un délégué qui portait le titre de cardinal, et
les différents cardinaux se réunissaient pour élire leur
roi. Cela n’avait rien à voir avec le christianisme. C’est
pour cela qu’il y eut des papes intronisés alors qu’ils
devaient vivre leur adolescence, d’autres étaient des
athéistes, des pédophiles, des satanistes, des sorciers, des
usurpateurs, et d’autres encore des cannibales. Ils ont
croisé le christianisme au cours de leur histoire et l’ont
pris en otage. Ils s’en sont servis
pour monter en puissance, pour couvrir et excuser leurs
actes licencieux, des crimes crapuleux perpétrés au nom du
Bon Dieu. Oui, il s’agissait bien d’une affaire de royauté
entre familles de nobles, et on peut s’en rendre compte. Des
fois, c’est le fils bâtard, illégitime ou incestueux d’un
pape qui remplace son père sur le trône papal. Comme je l’ai
éludé plus haut (page 32 et 87), la plupart des papes en
effet ont légué le trône papal à leurs fils, neveux ou
beaux-parents. Le bel exemple que l’histoire retiendra est
celui du pape Innocent III qui comptait neuf papes dans sa
lignée familiale. Oui, ces papes ont aussi tiré profit du
christianisme qu’ils ont ensuite bafoué. Ainsi, le pape Léon
X (1513-1521) fut un athée et un blasphémateur. Il fit en
1520 cette déclaration palpitante : « Quantum nobis
nostrisque ea de Christo fabula profuerit, satis est omnibus
seculis notum » (On sait de temps immémorial combien cette
fable de Jésus-Christ a été profitable à nous et à nos
proches). Le pape Paul III (1534-1549) fut un autre pape
athée qui a aussi affirmé la non-existence du Christ en ces
termes : « Les autres papes le savent comme moi, mais ne le
disent pas. » En 1548, il a réitéré en privé au duc Mendoza,
ambassadeur d’Espagne, la non-existence du Christ en ces
termes on ne peut plus moqueurs :
De nos jours, ces puissantes et nobles
familles existent toujours en Europe, tandis que d’autres
ont migré aux USA. Comme toujours, elles sont les maîtres de
ce monde, car ce sont elles qui contrôlent la
politique et l’économie du monde entier. En effet, les hauts
dirigeants de la planète, les banques, les sociétés secrètes
(Illuminati, concil on Foreign Relation (CFR), Skull &
Bones, Bohemians club, Bilderberg group, Franc-maçonnerie,
Rose-croix, Nouvel Ordre Mondial, etc.), et même les
organisations charitables se comptent parmi leur palmarès.
Contre toute attente, Cybèle, la déesse mère y joue un rôle
prédominant. L’illustration ci-dessous en est une
preuve.
« Le génie de la fraternité qui fait
tourner la planète ».
19 e siècle, Bibliothèque nationale de
France.
W. Kirk MacNulty, Freemasonry: Symbols,
Secrets, Significance,
Thames & Hudson Ltd., London, 2006, p.32
Lecture du tableau ci-dessus : Tout
commence par l’œil d’Horus, suivi de la déesse Cybèle (au
centre) qui est assise sur un chariot tiré par deux lions ;
viennent ensuite toutes les organisations secrètes et
religieuses de la planète.
À travers les guerres religieuses, des millions de personnes furent massacrées au nom de la foi catholique, par les vicaires de Jésus-Christ. Alors, trois grandes questions émergent : Sont-ils de vrais représentants du Doux Jésus, ou se sont-ils imposés ce titre parce qu’ils en avaient le pouvoir ? Ont-ils représenté avec honneur le christianisme d’amour pour lequel Christ est mort, ou l’ont-ils discrédité aux yeux du monde ? Ont-ils agi sous l’inspiration du Saint-Esprit ou est-ce là l’œuvre parfaite des démons religieux ? À vous d’en juger. Pour ma part, je trouve que c’est toujours les mêmes démons religieux, aux commandes de leurs propres institutions religieuses, et qui arborent sans cesse des manteaux et des visages différents, au gré des âges et des civilisations du moment.
Lorsque Rome gouvernait le monde, il y eut
des moments où le christianisme était interdit. Les
empereurs de Rome qui se prenaient pour des divinités ne
supportaient pas les intentions compétitives d’un autre
dieu. Par conséquent, tous ceux qui pratiquaient le
christianisme étaient considérés comme des ennemis de
l’empire et devaient payer de leur vie. La sentence était
une mort affreuse s’illustrant particulièrement par la mort
sur le bûcher, la mort par crucifixion, la mort en
combattant contre les gladiateurs ou les animaux sauvages
dans les amphithéâtres de la cité éternelle, etc.
Curieusement, plus les fidèles étaient persécutés, plus le
christianisme s’enracinait efficacement, même dans la
clandestinité. La persécution était donc un échec et le sang
des chrétiens semblait constituer une nouvelle semence pour
la floraison de cette religion censurée. Échec pour les
empereurs sanguinaires, et surtout échec pour le Malin qui
utilise les empereurs et leurs armées barbares, dans ses
vaines tentatives de gommer le christianisme. Les
persécutions prirent fin lorsque « Constantin 1er Le Grand »
devint empereur de Rome. C’est lui qui rendit le
christianisme officiel. Étant une religion persécutée, le
christianisme devint alors une religion prédominante sous
son instigation. Cet empereur réorganisa le christianisme,
et grâce à ses efforts, le credo chrétien et la première
Bible apparurent. Il fut un politicien rusé qui réussit à
concilier politique et christianisme pour consolider son
règne impérial. Il avait prôné l’établissement d’un seul
royaume, sous la mouvance d’une seule religion : une
religion d’État. Il est considéré comme un grand saint et
une des grandes figures du christianisme. Mais c’est là que
se cache toute la ruse du diable. Je vais vous démontrer que
ce présumé sauveur du christianisme est plutôt un instrument
à la solde du Malin, qui décapita le christianisme. Il n’a
point ôté la vie à un chrétien, mais il a fait pire que les
autres empereurs sanguinaires. Par une intelligente
manœuvre, il a tué l’âme du christianisme en échange de la
liberté :
Le repos sabbatique et le repos au jour
de la résurrection
Tenez,
lorsque Constantin prit le risque de se faire empereur par
un coup d’État militaire, il obtint miraculeusement les
faveurs du ciel. Oui, avant l’attaque, il eut une vision du
Seigneur Jésus qui lui serait apparu dans le soleil et lui
aurait recommandé de combattre sous le signe de la croix :
In hoc signo vinces (Par ce signe, tu vaincras). Il obéit
aux instructions de cette apparition et, soutenu par les
légions de Bretagne de Rome, il réussit son coup d’État et
devint en 306, le 34e empereur romain.
Vu que
l’empire romain commençait à s’effriter, l’empereur
Constantin eut pour stratégie de préserver son unité par la
création d’un nouvel ordre mondial. Voyant que le
christianisme était l’entité dominante de l’époque, il l’a
pris comme pilier de son ambition politique. Pour
concrétiser son rêve, il convoqua le concile de Nicée en 325
avant JC. Pour ne pas heurter les diverses sensibilités, il prit soin
d’intégrer dans la nouvelle structure les anciennes
religions païennes. Ainsi, le gnosticisme, le zoroastrisme,
le mithraïsme ainsi que des pratiques de religions
babyloniennes et égyptiennes furent préservées et fusionnées
à la nouvelle structure religieuse. Ce syncrétisme religieux
pris le nom grec « katholikos » ou
« catholicisme » en français (qui signifie
universel).
L’an
325 peut être considéré comme la date de la fondation du
christianisme en tant qu’institution officielle et
obligatoire. Déjà, en 312, À cette date l’empereur
Constantin confia à son secrétaire Eusèbe de Césarée, le
soin de codifier les structures de l’Église, et de figer le
dogme. Il semble qu’ayant obtenu la victoire sous le signe
de la croix, Constantin le Grand avait rendu le
christianisme officiel par le biais de l’édit de Milan ; et
à partir de ce moment, la persécution des chrétiens prit fin
pour de bon. Mais c’est ici que se joue le grand jeu des
démons religieux, ces experts des religions, ces experts en
sabotage et patrons de la déception. Ma tentative est
d’attirer votre attention sur un fait, d’apparence
bienheureuse, mais qui, en réalité, est une abomination
emballée dans un joli papier de sainteté.
Un empereur romain a-t-il jamais plié les genoux devant le Dieu des chrétiens ? Eux-mêmes prétendaient être des dieux et exigeaient d’être adorés par le peuple. Voici un acte apparemment insignifiant, perpétré par cet empereur, et qui trahit néanmoins son secret : le sabbat est un jour exclusif du Dieu Jéhovah, un jour qui lui est strictement réservé. Il est célébré précisément dans la période située entre le vendredi soir au coucher du soleil, et le samedi soir au coucher du soleil. Il est un jour sacré et très spécial, qui possède sa spécificité et ses lois intransigeantes. Mais que fit l’empereur Constantin ? En 321 il changea le jour du repos sabbatique, et décréta que le dimanche deviendrait le jour de repos officiel du monde romain. Au lieu d’adorer Dieu et se reposer le samedi, avec la complicité de cet empereur, les chrétiens le font désormais le dimanche. Ceci est une haute trahison pour le christianisme, car le dimanche est le jour spécial du dieu soleil, le dieu païen de l’empereur Constantin. Les Anglais on baptisé ce jour sous le nom de « Sun-Day » (jour du soleil ou jour du Roi-Soleil). Pour preuve, durant son règne, les pièces de monnaie ne portaient pas toutes l’effigie de Jésus-Christ. Elles étaient aussi frappées de l’effigie du dieu de l’empereur, le dieu soleil personnifié par Apollon. Comprenez-vous maintenant la raison pour laquelle les prêtres catholiques du monde entier portent toujours des habits jaunes pour célébrer la messe du dimanche ? La couleur jaune est celle du soleil et du dieu soleil. Ainsi donc, par une récupération, par cette manœuvre adroite, il a fait du christianisme une religion païenne.
Après Constantin, son fils et ensuite son
neveu Julien, lui succédèrent sur le trône. Mais aucun d’eux
ne fut chrétien. Ils adoraient les divinités païennes, y
compris le dieu Mithras. Comme toujours, les hommes
trouveront des excuses pour se justifier lorsqu’ils sabotent
les préceptes de Dieu. Et voici un autre gros mensonge : les
chrétiens prétendent adorer le dimanche parce que c’est le
jour de la résurrection du Christ. Mais vous devez accepter
l’amère vérité que ce choix ne fut pas ordonné par le Dieu
de La Bible. Ce sont les hommes forts du catholicisme qui
l’ont finalement imposé à partir de la Phrygie en 364 lors
du concile de Laodicée (Canon XXIX). Le Dieu des Hébreux,
depuis toujours, veut être honoré au sabbat ; et c’est ce
que font les juifs depuis des siècles. Même si le Dieu de La
Bible est maître du temps, le dimanche depuis la nuit des
temps est néanmoins réservé pour l’adoration du dieu soleil.
Ceux qui adorent ou se reposent le dimanche, qu’ils
veuillent ou non, ne se conforment pas à la volonté du Dieu
des Hébreux.
Quand bien même il réorganisa le
christianisme, l’empereur Constantin n’accepta le baptême
chrétien que sur son lit de mort. Il expira un dimanche 22
Mai 337, jour de la Pentecôte chrétienne. Avant de rendre le
dernier soupir, Constantin eut le temps de recevoir le
baptême des mains de l’évêque Eusèbe de Nicomédie. Il est
vénéré comme un saint par les chrétiens orthodoxes. Je ne
considère pas ce baptême comme le signe d’une véritable
conversion, car les actes qui précèdent la mort semblent
souvent minés par la peur bleue de l’inconnu qui se cache
après la mort. À mon avis, cet homme fut utilisé par le
Malin pour réorganiser le christianisme en lui donnant une
base fausse pour sa destruction spirituelle.
Voudriez-vous plus d’éclairage ?
De tout temps, Jésus-Christ a rejeté la guerre et la royauté de ce monde. Invitant les chrétiens à s’identifier à lui, il dit : « Prenez sur vous mon joug et laissez-moi vous instruire, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. » (Matthieu 11 : 29). Le Prince de La Paix, le doux agneau de Dieu ne peut donc pas se contredire. Il ne se dissimulera point derrière le soleil, et n’invitera jamais les Romains à se massacrer, dans le but d’assouvir des passions politiques. À y voir de près, tout s’explique par l’infiltration des démons religieux. À juste titre, la nouvelle structure papale qui émergea plus tard, sous l’instigation de Constantin, régna aussi par la terreur, la barbarie, et des guerres effroyables au Moyen-Âge. Les empereurs romains ont massacré les chrétiens en nombre infini. Les papes du Moyen-Âge ont fait pire, car, par la Sainte Inquisition, tout le peuple de Dieu a failli être gommé. Voici comment un homme rusé, l’empereur Constantin, par une manœuvre satanique, a ôté au christianisme son âme, et fait du catholicisme, a contrario, un instrument efficace pour la perte des âmes.
Ai-je
encore besoin de le dire ? Puisque les persécutions ne
parvenaient pas à juguler l’évolution du christianisme, il
fallait lui trouver un substitut. Comme vous pouvez le voir,
ce n’est pas le Christ Jésus qui est apparu à l’empereur
Constantin dans le soleil avant la bataille de son coup
d’État militaire. Il s’agit plutôt du Malin, le dieu soleil
en personne, revêtu de l’apparence du Christ, et utilisant
le symbole chrétien de la croix. Remarquez bien ceci : C’est
à partir de cette date buttoir, à partir de cette apparition
dans le soleil, que les divinités païennes de Rome ont fait
leur entrée dans le christianisme, se substituant au Dieu
chrétien. Avec grand succès, ils prirent en otage le
christianisme biblique, et établirent en trois phases un
plan luciférien pour sa désintégration.
Le plan luciférien
Quand
bien même il était censuré, le christianisme avait atteint
des proportions inquiétantes. En effet, on retrouvait des
chrétiens dans l’armée romaine et même au sein des gardes du
corps des empereurs. La mère de l’empereur Constantin
également était chrétienne. Dans une première phase, le plan
luciférien consistait d’abord à officialiser le
christianisme, pour amener les chrétiens et leurs
sympathisants à sortir de la clandestinité. Avec Constantin,
ce plan fut une réussite totale. En seconde phase, il
fallait créer une autre Église chrétienne qui serait
l’Église de Rome, avec, à sa tête, des papes (les empereurs
romains). Finalement, on s’est retrouvé avec deux Églises
chrétiennes antagonistes, se regardant en chiens de faïence.
Il s’agissait de l’Église de Jésus-Christ, qui lisait La
Bible et appliquait La Parole de Dieu (taxée de
protestante), face à l’Église des empereurs de Rome qui
interdisait catégoriquement la lecture de La Bible. Une
rivalité impitoyable existait déjà entre les empereurs et
les chrétiens, et maintenant que les empereurs ont créé leur
christianisme, cette rivalité allait atteindre son
paroxysme. Ainsi donc, un conflit inéluctable naquit entre
ces deux Églises antagonistes, et une excuse fut trouvée
pour mettre à exécution la troisième phase du plan
luciférien : en un temps record, à travers La Sainte
Inquisition, plus de quarante millions de chrétiens furent
accusés d’hérésie. Ils furent ainsi sauvagement massacrés
par l’Église des empereurs de Rome. De nos jours, ces deux
Églises existent encore, et aucune ne s’avoue vaincue. Elles
se font face et s’affrontent à coup d’arguments. Laquelle
des deux fréquentez-vous ? Vous êtes-vous jamais interrogés
sur les vrais mobiles de votre choix ?
Rome était la capitale
de l’empire depuis sa naissance. Mais l’empereur Constantin
décida de transférer la capitale jusqu’en Turquie, et cette
nouvelle capitale romaine porta désormais son nom :
Constantinople. Quelles que soient les raisons évoquées, cet
acte allait causer plus tard une scission irréparable dans
le catholicisme : la naissance du catholicisme orthodoxe
avec son culte idolâtrique. De mon point de vue, Constantin
le Grand, était lui aussi sous l’onction des démons
religieux.
En constituant La Bible chrétienne,
Constantin et ses évêques rejetèrent deux importants livres.
Il s’agit bien du Livre du Juste et du Livre d’Enoch qui
furent retrouvés avec les autres documents de la Mer Morte.
Ces documents doivent retrouver leur place dans La Bible,
car ils constituent aujourd’hui des livres clefs de
l’histoire du christianisme faisant autorité. Ils nous
permettent, en effet, de mieux comprendre les tragédies de
la chute de l’humanité et de ses conséquences.
Empereur
Constantin Le Grand
Observations
L’histoire nous apprend que le
christianisme véritable a été étouffé dès sa naissance par
les empereurs romains. Le feu, les animaux sauvages
dévorèrent les chrétiens, sur ordre impérial. Mais la
nouvelle structure papale qui avait remplacé les empereurs
romains n’agissait pas mieux, car elle s’était efforcée de
cacher La Bible. Elle avait imposé par la violence un
christianisme militarisé et non biblique. Mais lorsque,
grâce à la percée de l’ère de l’imprimerie, La Bible
réapparut, un nouveau christianisme biblique avait resurgi.
Alors, les papes, à la manière des empereurs romains,
s’opposèrent de nouveau à cette émergence. Ces hommes
d’Église excommunièrent et brûlèrent ceux qui tentèrent de
traduire La Bible. Ces persécutions eurent ainsi, comme
conséquence fondamentale, la division de l’Église, marquée
par la naissance du protestantisme. L’on peut alors dire
sans risque de se tromper que les deux mille ans de
l’histoire chrétienne déjà écoulés ne sont rien d’autre que
« deux mille ans de l’histoire du catholicisme et des
empereurs de Rome ». Visiblement, la vraie histoire du
christianisme doit être réécrite.
De nos jours, seules les
Églises issues de la réforme sont restées fidèles à la
doctrine chrétienne contenue dans La Sainte Bible. Au vu de
l’histoire du christianisme, et particulièrement de celle de
l’Église catholique que nous venons de voir, j’en viens à la
conclusion suivante : Notre très chère et bien-aimée Église
catholique n’est pas une Église biblique. Par conséquent,
elle n’est pas une Église chrétienne, même si de nos jours
elle utilise La Bible et le nom de Jésus-Christ.
Je n’accuse personne dans ce procès. Du
Saint-Père aux fidèles catholiques dont je faisais partie,
en passant par les cardinaux, évêques et prêtres, personne
ne porte pleinement la responsabilité. Ce sont nos ancêtres
dans la foi catholique qui se sont laissé tromper par les
dieux de la Rome antique, et par conséquent, nous ont
transmis ces erreurs. Nous avons donc hérité inconsciemment
d’un christianisme satanique que nous avons entretenu. Nous
sommes tous nés dans l’erreur religieuse, et nous sommes
tous nés trompés. Notre grand péché est que nous avons fermé
les yeux sur ces vérités bibliques, préférant investir notre
entière confiance à des papes qui n’étaient pas des
chrétiens et qui, à travers une parodie de réforme, ont su
verrouiller les fidèles catholiques dans l’erreur
religieuse, sans égard pour le salut de leur âme. Nous nous
sommes laissé embobiner dans un engrenage spirituel
d’apparitions et de miracles. Et maintenant, nous nous
érigeons en avocats de la mauvaise cause, lorsque nous
défendons ces hérésies, et lorsque nous formons des
intellectuels, porte-drapeaux et sentinelles de cette
religion, dans un mépris absolu des vérités prescrites par
La Bible.
L’exemple de la Rose-Croix
Je
dois avouer que l’histoire se répète. La Rose-Croix fut
créée par Christian Rosenkreuz. Son slogan préféré était «
Jesus mihi omnia » (Jésus est tout pour moi). Ceci témoigne
du caractère chrétien de cet homme et de son organisation
qui guérissait gratuitement les malades et annonçait
l’Évangile du Christ. Les grands hommes de ce monde tels que
Isaac Newton, Benjamin Franklin, René Descartes, Michael
Faraday, Francis Bacon, etc. y adhérèrent (29). Mais au
cours de son histoire, la Rose-Croix rencontra la
franc-maçonnerie. Elle fut infiltrée par des satanistes, et
de nos jours, elle est devenue une organisation pernicieuse,
une secte dangereuse qui tente désespérément d’ignorer voire
détruire les vraies Églises et les vrais serviteurs de Dieu.
Il en est de même pour le catholicisme. Dès sa naissance, la
mère de toutes les Églises chrétiennes qu’elle est fut
infiltrée par Satan lui-même, faisant du catholicisme un de
ses instruments efficaces pour la ruine des âmes.
Gardons à l’esprit que lorsque Moise jeta son bâton qui se transforma en serpent, devant le pharaon d’Égypte, les magiciens, sous la conduite de Balam, l’avaient imité, et en avaient fait autant. Lorsque Dieu transforma les eaux en sang, et fit sortir les grenouilles et les moustiques, les magiciens s’empressèrent d’imiter parfaitement ces prodiges (Genèse chapitre 7 à 8). Ceci est une preuve que Satan contrefait avec forte similitude les œuvres de Dieu. Au vu donc du caractère non biblique du catholicisme et de ses croisades meurtrières, je m’en vais conclure que cette religion de Rome est une imitation satanique du christianisme apostolique. Croyez-moi, il n’y a pas de véritable salut dans le catholicisme.