Chapitre
I
La tradition de l’église catholique et les divinités solaires
Les preuves sur les origines païennes du
catholicisme sont innombrables. À vouloir toutes les
énumérer, on tomberait dans le camp de la critique
démesurée. Sans doute, la plupart des catholiques ignorent
l’histoire véritable de leur Église. Ils ont hérité cette
religion de leurs parents, ou y ont été attirés par le
modernisme et les fresques de cette richissime Église. De ce
fait, des informations foisonnantes ne feront du tort à
personne. Elles sont plutôt nécessaires, pour mieux cerner
la position que nous défendons.
Les exemples qui suivront pourraient
offusquer les personnes sensibles, qui ne disposent pas
d’informations suffisantes sur les origines spirituelles du
catholicisme. La nature des faits ici dévoilés fait perdre
toute légitimité chrétienne
La croix inversée est un symbole de
blasphème et de rejet de Jésus-Christ. Elle symbolise la
moquerie et le rejet du sacrifice de Jésus pour les péchés
de l’humanité. Portée principalement par les satanistes,
elle symbolise maintenant plus que jamais un rejet de
l’Église elle-même. Ce fait est bien connu de toutes les
Églises chrétiennes. Mais de nos jours, à la plus grande
surprise de tous, l’Église catholique s’est appropriée cette
croix, et l’utilise officiellement dans ses cultes et ses
cérémonies.
Pour s’excuser d’une telle parodie
blasphématoire, l’Église catholique dira qu’il s’agit de la
croix de Pierre. En effet, Pierre, l’humble apôtre du
Christ, s’était jugé indigne de mourir comme son maître. Par
respect pour son sauveur, Pierre aurait demandé à être
crucifié la tête en bas. Le but du crucifiement consistait à
donner à la victime une mort lente, par asphyxie. Pour une
personne qui veut mourir la tête orientée vers le bas,
assurément sa croix sera différente de celle du Christ.
Habituellement, une telle croix ressemble à une association
des lettres Y et T, de sorte que les pieds du supplicié sont
cloués aux deux branches du Y laissant ainsi la tête pendre
vers le bas, comme l’indique le schéma ci-dessous. Ce modèle
de crucifiement à l’inverse, était toujours d’usage pendant
la Sainte Inquisition. Par conséquent, cette croix inversée
qui est l’ultime expression du satanisme et d’un cynisme
grave ne peut être, en aucun cas, celle de l’apôtre Pierre.
Est-ce Pierre qui a sauvé l’humanité en
versant son sang à la croix pour la rémission des péchés ?
Pierre est-il ressuscité d’entre les morts ?
Exemple : La croix de Pierre, crucifié la tête vers le
bas.
Cette croix ressemble à un T ou un Y, mais jamais une
croix inversée.
L’usage de cette croix inversée dans le
catholicisme augure une forte présence de satanistes au sein
de la classe dirigeante catholique. En effet, à l’occasion
de la publication en italien de ses mémoires (80), et sur la
chaine de télévision internationale CNN, le 17 mars 2010,
mais aussi, dans un document signé par une agence de presse
catholique, le père Gabriele Don Amorth (président d’honneur
de l’association des exorcistes catholiques), dénonçait
l’incroyable et impensable réseau de satanistes au sein même
du Vatican. Un réseau digne de l’ancienne loge P2. Il a
souligné que tout le collège des cardinaux fréquente cette
loge satanique. À la question de savoir : qui sont ceux qui
fréquentent cette loge satanique ? Il répondit : des
prêtres, des « monseigneurs » et également des cardinaux. À
la question de savoir : comment le savez-vous ? Il répondit
: « Je connais des gens qui ont pu m’en rendre compte, parce
qu’ils ont eu l’occasion de s’en rendre compte directement.
Et c’est quelque chose qui a été “confessée” à plusieurs
reprises par le diable lui-même, sous obéissance lors des
exorcismes » (Don Amorth).
Des
écrivains français tels que Roger Pierre f, le père Malachie
Martin (l’assistant du pape Jean XXIII et du Cardinal
Ottaviani), ont également dénoncé dans leurs livres « la
présence de cardinaux satanistes au sein du Vatican ». Une
bien triste réalité ! Ces cardinaux satanistes auraient même
tenté vainement de consacrer l’Église Saint-Pierre de Rome à
Satan (72). Cette présence de satanistes parmi les princes
de l’Église catholique pourrait justifier l’usage de cette
croix inversée.
La croix
pattée et l’adoration du Dieu soleil
Dans
l’antiquité, longtemps avant la naissance du christianisme,
la croix pattée était portée par les rois païens, pour
l’adoration du dieu soleil Shamsara. Aujourd’hui, contre
toute attente, elle apparaît dans le culte catholique.
Notons-le, en 2800 avant Jésus-Christ, le roi Ashurm Asirpal
portait cette croix pattée sur sa poitrine, avec le symbole
du dieu soleil sur le revers de sa main. De nos jours, nos
papes ont suivi la pratique : ils portent tous la même croix
pattée ainsi que les symboles du dieu soleil sur leurs
mains. Est-ce une coïncidence ?
Observez le symbole du dieu
soleil sur le revers de la main du pape Jean XXIII
et sur celui du roi Ashurmasirpal (883-859
av. J.-C.).
Remarquez aussi la
croix pattée au niveau de leur poitrine.
La similitude s’observe également pour
les lacets du chapeau.
La mitre du Pape : symbole du dieu poisson, Baal dagon
Les chapeaux portés par nos papes,
cardinaux et évêques, ressemblent à une tête de poisson à
gueule ouverte. Ce chapeau appelé mitre n’est pas un
héritage du Christ ou de ses apôtres. La mitre était plutôt
une propriété exclusive de Cybèle, la déesse mystérieuse de
l’Asie Mineure et de la Syrie, longtemps avant la naissance
du christianisme. Depuis l’antiquité, elle était aussi
portée par le dieu Nimrod ou dagon, le dieu poisson de
Babylone. Aujourd’hui, cette mitre coiffe la tête du clergé
catholique. Est-ce une coïncidence ?
Les prêtres de Cybèle étaient hiérarchisés,
avec les Archgallas (évêques et cardinaux) à leur tête,
suivis des princesses, des prostituées sacrées (épouses
de la déesse) et des Galla (des hommes castrés) qui
étaient des prêtres de rang inférieur. Tous portaient de
longues robes de couleurs multicolores (jaune pour la
plupart), avec de longues manches. Les têtes des prêtres
de Cybèle étaient coiffées de la mitre. Aujourd’hui, les
accoutrements des prêtres de l’Église catholique, que
l’on nomme la paramentique, sont des répliques de ceux
de Cybèle.
C’est
aux environs de 1497 que le pape Alexandre VI (un pape
sataniste) introduisit officiellement au Vatican le port
de ces robes ouvertes, reconnues aux prêtres
catholiques. Cette attitude du pape avait pour but de
faire la promotion du satanisme. Cependant, elle était
contraire à la tradition ancienne de Cybèle qui exigeait
que ces robes sacrées fussent cachées au public. Cette
forme d’hérésie ouverte du pape Alexandre VI provoqua à
l’époque un conflit entre la population de Rome et les
papes. Le fait est que cet accoutrement contredisait non
seulement les enseignements de l’Église, mais aussi
constituait un mépris et une dérision pour le
christianisme. Malheureusement, cette paramentique
d’origine méphistophélique s’est implantée de nos jours
dans le catholicisme, et en constitue désormais un
héritage et une tradition.
L’eau bénite, utilisée par l’Église catholique (héritage du pape Léon II 681-683), tire ses sources du paganisme. Elle était d’usage pour purifier les villes. L’image ci-dessus illustre cette pratique où dagon, le dieu poisson de Babylone, portant la mitre, asperge de l’eau bén
L’adoration du saint sacrement, un culte au dieu
soleil
Sans ambages, l’on peut dire que le saint sacrement est une image calquée sur le soleil et ses rayons. L’adoration du saint sacrement est une pratique permanente dans le catholicisme. Tous les jours, à travers les différentes messes, à chaque minute, et de manière coordonnée, les prêtres du monde entier lèvent l’hostie et disent : « ceci est le corps et le sang du Christ ». Les fidèles catholiques se prosternent ainsi et adorent, au son de clochettes, les prétendus pain et vin, transformés respectivement en corps et en sang du Christ.
Pour commémorer la mort du Christ, les
autres Églises achètent du pain sur la place du marché.
L’Église catholique quant à elle utilise une hostie blanche
et ronde (dieu soleil Baal Hadad), devant laquelle les
fidèles se prosternent pendant la consécration. Ensuite
l’hostie est cassée en deux morceaux, semblables à de
demi-lunes. Les deux morceaux sont par la suite collés l’un
à l’autre (dieu lunaire Nanna), et présentés à nouveau aux
fidèles qui se prosternent ou baissent la tête en signe
d’adoration, tout cela, sous un son assourdissant de
clochettes.
Quoi de plus étrange que de constater que
de telles pratiques étaient courantes dans le culte du dieu
soleil et du dieu lunaire, longtemps avant l’ère chrétienne
! Loin d’être une simple similitude, nous sommes plutôt en
présence du même culte païen, revêtu d’un vernis chrétien.
Nous pouvons le voir, les images parlent d’elles-mêmes :
Monstrances
Monstrance. Musée
du Vatican
Adoration, dans le paganisme, du dieu soleil, Baal et du dieu lunaire, Nanna
Shamash – Le dieu soleil assis sur
son trône – tablette de Sippar – XIe siècle av. J.-C.
Le
symbole de Shamash (le dieu soleil) se trouve imprimé
sur le front du Pape et sur les autels catholiques
Lorsque
des reproches sont formulés au clergé catholique pour cette
flagrante tromperie, par laquelle leurs fidèles adorent le
dieu soleil, certaines personnes répondent que Christ est le
nouveau roi soleil en référence au cantique prophétique de
Zacharie (Luc 1 :76-79). Le tour est donc bien joué, mais la
prophétie ne dit pas cela, et le Dieu de La Bible défend
formellement l’adoration de tout objet. Le vrai chrétien se
prosterne devant Dieu, seul objet de son adoration. Ce sont
là des symboles et des pratiques païens, romains pour la
plus part, qui furent introduits dans le catholicisme, sous
un masque chrétien.
Le pourpre, d’origine
phénicienne (dès 1500 ans avant
Jésus-Christ), était la couleur exclusive et officielle
des souverains de Rome,
et cela depuis l’empereur Néron. Remarquez-le, elle
constitue de nos jours la
couleur officielle du Vatican et des princes de l’Église
catholique. Il n’est
donc pas exagéré de dire que tout est paganisé dans le
catholicisme. Même le
chant grégorien, dans toute sa beauté, est d’origine
païenne.
Les couleurs du
Vatican
Les images de Marie et de l’enfant
Jésus furent calquées de l’idolâtrie païenne
L’iconographie catholique est souvent une
reproduction des sculptures du paganisme en vogue dans
l’empire gréco-romain. Importée dans le catholicisme, elle
fut revêtue du masque chrétien. C’est l’exemple de Marie et
le petit Jésus, de Jésus le bon berger, des cœurs de Jésus
et de Marie, etc., qui furent jadis des iconographies
païennes, avant de faire leur entrée dans le catholicisme
par la volonté des papes. Les images parlent
d’elles-mêmes.
Égypte
pharaonique :
Hindouisme :
Divaki et Krishna
Catholicisme :
Marie et
Jésus
Set Horus (British museum)
Sculpture de la
Rome antique
Catholicisme :
Jésus le bon berger
Les cœurs de Jésus et de Marie
dans le catholicisme
Quetzalcóatl, le dieu serpent des Aztèques
(1000 av. J.-C.), dieu de la vie et de la mort, était
représenté par une statue dont le thorax était ouvert,
exposant un cœur. Ce cœur représentait une offrande de
nourriture au dieu soleil. Nous retrouvons le même symbole
sur les nombreuses images du cœur sacré de Jésus et du cœur
douloureux et immaculé de Marie. Ces cœurs sont toujours
entourés du symbole du dieu soleil Mithra, dont les rayons
irradient. Encore une coïncidence ?
Civilisation
Aztèque : Quetzalcóatl
Catholicisme : cœur sacré de Jésus,
cœur douloureux et
immaculé de Marie
Les images de Jésus et des saints du catholicisme
portent un halo de lumière autour de leur tête. Selon
l’Église catholique, ceci serait le symbole de leur
sainteté.
Mais
on retrouve le même symbole sur les dieux païens qui
vécurent longtemps avant le christianisme. Étaient-ils aussi
des saints ? Dans le paganisme, ce cercle de lumière indique
plutôt l’appartenance à une entité solaire.
Dieu solaire Apollo /
Jésus dans
le catholicisme /
Sekhmet d’Égypte/
Malakbêlle- dieu-soleil
palmyrénien
Pour s’excuser ou se défendre d’avoir
introduit le paganisme dans l’Église, le clergé catholique
répondra que tout cela relève de la tradition de l’Église.
Mais il est clair qu’il s’agit d’une tradition qui n’est ni
biblique ni judaïque. Il s’agit plutôt d’un culte déguisé et
voué à Satan, mais revêtu du manteau chrétien. Cela ne
fait-il pas du catholicisme un christianisme satanique ?
Noël
– Une fête païenne
Les Évangiles relatent qu’à la naissance de
Jésus-Christ, les bergers paissaient leurs animaux dans les
champs (Luc 2 :8). Ce verset biblique est d’une importance
capitale. Cette description caractéristique du climat
confirme sans l’ombre d’un doute que Christ Jésus est né
pendant une période chaude de l’année et non le 25 Décembre,
moment au cours duquel la température est glaciale à
Bethléem. En effet, les traditions les plus anciennes
transmises par Clément d’Alexandrie et Hippolyte de Rome
situaient la Nativité à la fin du printemps, quand les
moutons, déjà gênés par la chaleur du jour, paissaient de
nuit sous la surveillance des bergers.
Il est important de noter que, à l’instar
du moine Denys le Petit qui introduisit une erreur de
datation dans notre calendrier, les évangélistes eux aussi
se sont trompés, en introduisant une erreur de datation sur
la naissance du Christ. Ils en ont ainsi donné, au cours des
deux derniers millénaires, une indication chronologique
imprécise et contradictoire. Exemple : Luc 2 : 1-2 dit qu’il
est né sous le règne d’August César (entre -27 et 14) alors
que Mathieu 2 :1 situe sa naissance sous le règne d’Hérode
(entre -37 et -4). De nos jours, ces dates sont objets de
vives controverses entre historiens. Mais grâce à la
chronologie synchronisée, fondée sur des synchronismes
historiques datés par l'astronomie, nous avons la
confirmation qu’il est né pendant une période chaude de
l’année (chronologie
de la vie de Jésus. Approche scientifique
d’une chronologie absolue page 2 à 22) (86).
Par
contre, partout dans l’empire romain et dans toute l’Europe,
longtemps avant la naissance du christianisme, on célébrait
à la date du 25 Décembre la fête de Noël. Une commémoration
de la naissance du dieu soleil invaincu (Dies Natalis Solis
Invicti), avec des rites identiques à ceux d’aujourd’hui. Il
s’agit de l’arbre de Noël, des feux ou luminaires qui
décorent nos maisons, des cadeaux, des réjouissances, etc.
De
toute évidence, il s’agissait d’une fête païenne qui
commémorait la mystérieuse naissance d’au moins, seize
divinités solaires, des imitateurs du Christ qui seraient
nés, chacun, un 25 Décembre. Ces divinités de Noël ont tenté
de s’accaparer le plan du salut de Dieu, en s’identifiant à
Jésus-Christ, et ceci, de manière précoce. Elles seraient
nées, chacune, d’une fille vierge, et auraient prêché un
message similaire à l’Évangile du Christ. L’accomplissement
de multiples miracles, la mort par crucifixion, la
purification du péché à travers leur sang versé, leur
résurrection un 25 Mars (jour de Pâques)… sont d’autres
similitudes avec le Christ que l’on prétend de ces
divinités. Leurs corps étaient représentés par du pain
eucharistique que mangeaient leurs fidèles. Elles étaient
les dieux sauveurs de leur peuple, exactement à la manière
du Christ. On les appelait alors « les seize sauveurs
crucifiés du monde » (64).
Elles ont ainsi créé un christianisme avant
le Christ. Des antéchrists qui se sont manifestés environ
deux mille ans avant même la naissance de Jésus de Nazareth.
Il s’agit d’anges déchus, connaissant dans les moindres
détails le plan futur de Dieu pour le salut de l’humanité.
Ils ont tenté de s’en approprier en accomplissant d’avance,
et pour leur compte, ce qui devrait être prophétisé.
Cette affaire des seize sauveurs crucifiés
qui ressuscitèrent tous un jour de Pâques eut des effets
préjudiciables sur le christianisme biblique. En effet,
beaucoup pensent que Moïse n’a pas existé, et dans son livre
(The World’s sixteen crucified saviors), Kersey Graves dira
que la mort ou la résurrection de Jésus-Christ n’est qu’un
canular, une légende empruntée sur la vie des seize sauveurs
crucifiés (64). Voici les noms de ces divinités solaires,
leur pays d’origine ainsi que la date de leur crucifixion,
de leur mort et de leur résurrection : Quirinus de Rome (506
av. J.-C.), æschylus Prometheus du Caucase (547 av. J.-C.),
Wittoba de Telingonese, Travancore d’Indonésie (552 av.
J.-C.), Quexalcote du Mexique (587 av. J.-C.), Sakia de
l’Inde (600 av. J-C.), Mithra de Perse (600 av. J.-C.),
Alcestos « d’Euripides » (600 av. J.-C.), Iao du Népal (622
av. J.-C.), Bali d’Orissa en Asie (725 av. J.-C.), Indra du
Tibet (725 av. J.-C.), Hesus des Druides celtiques (834 av.
J.-C.), Thammuz de la Syrie (1160, av. J.-C.), Atys de la
Phrygie (1170 av. J.-C.), Crite de Chaldée (1200 av. J.-C.),
Krishna de l’Inde (1200 av. J.-C.), Thulis d’Égypte (1700
av. J.-C.), Orpheus-Dionysus de la Grèce…
Avant l’ère
chrétienne : illustrations antiques de trois sauveurs
crucifiés
Krishna pendu sur sa
croix ; Quetzalcóatl le dieu
solaire / Dionysus
crucifié (3e siècle av. J.C). / des Aztec
portant sa croix /
Musée de Berlin Avant
Krishna
pendu dans l’espace
1848, Moor’s the
Hindu Pantheon
2nd
Guerre
Mondiale
La Noël commémorait donc la naissance de
ces divinités. Mais à partir de 354, l’Église catholique
forcera le cours de l’histoire en associant le Christ à
cette fête de divinités solaires. Elle imposa alors le 25
décembre comme date de naissance du Christ, sous prétexte de
combattre cette fête qu’elle jugeait polythéiste. Ainsi,
elle a réussi à orienter les chrétiens vers une fête
idolâtre, jamais mentionnée par Le Sauveur. Comme vous
pouvez le constater, à Noël, les cœurs sont plutôt tournés
vers les réjouissances sarcastiques, les gens se souciant
peu de La Parole de Dieu. C’est encore une manœuvre bien
réussie des démons religieux qui agissent au compte du dieu
soleil. Christ, n’étant pas né un 25 décembre, mais pendant
une période chaude de l’année, on ne devrait pas célébrer sa
naissance pendant cette Noël païenne.
Jésus-Christ, de son vivant, n’a jamais
célébré l’anniversaire de sa naissance. Mais il a
continuellement fait mention de sa mort, et a vivement
recommandé aux chrétiens de toujours s’en souvenir. La
Pâques devait alors constituer la plus grande fête
chrétienne selon l’enseignement du Seigneur.
L’évidence
biblique sur les origines des seize sauveurs crucifiés
Contrairement à l’Évangile de Jésus-Christ
qui a un écho retentissant à l’échelle mondiale, l’histoire
de ces sauveurs crucifiés n’était connue que dans des
localités restreintes. De nos jours, cette histoire,
analogue à un conte de fées, demeure inconnue du grand
public. Néanmoins, l’histoire retiendra que ces divinités
ont existé, et qu’elles ont impacté d’une manière quelconque
la vie des habitants de leurs contrées.
Depuis
l’avènement de Jésus-Christ, il y a deux mille ans, plus
jamais on n’a entendu parler d’un autre sauveur qui fut
crucifié et ressuscité. Christ était donc l’accomplissement
de la promesse, le seul ayant accompli toutes les
prophéties. Ces seize sauveurs, crucifiés çà et là sur notre
planète, n’étaient que des contrefacteurs, des antéchrists
apparus avant l’heure. Le terme « démons religieux » employé
tout au long de cet ouvrage se réfère à certains d’entre
eux.
Dans
l’Évangile, Jésus-Christ disait : « tous ceux qui sont
venus avant moi sont des voleurs et des
brigands ; mais les brebis ne les
ont pas écoutés »
(Jean 10 :8). Qui
étaient ces obscurs précurseurs du Sauveur ? Ne seraient-ils
pas ces divinités solaires qui, en tout, ont imité son
Évangile, son crucifiement, sa mort et sa résurrection ?