LE CHRISTIANISME
SATANIQUE ET LA
CREATION DU
7eme JOUR

 

QUATRIÈME PARTIE


 RÉFLEXIONS SUR LES ORIGINES

LES SÉRIES DE QUESTIONS

 

 

     La première série de questions

    

     Pourquoi Satan porte-t-il le nom de « serpent ancien ? » (Apocalypse

12 : 9). Pourquoi ce mot ancien ? Ancien par rapport à qui ou par rapport à quoi ? Le mal a-t-il existé dans l’éternité passée comme une ancienne divinité ou comme une composante quelconque de la cour céleste et qui aurait pris par la suite une direction contraire ? Pourquoi Dieu a-t-il des chars de guerre et des légions d’anges ? Pourquoi porte-t-il des titres glorieux de guerre tels que : le Dieu fort de Jacob, le Dieu immortel et invincible, le Dieu des armées, le Dieu redoutable, etc. ? S’il porte ces titres, assurément, il les a mérités. Mais où les a-t-il obtenus ? Y a-t-il eu des guerres dans le passé lointain entre Dieu et le mal ou avec d’autres puissances spirituelles dont la Bible n’a pas jugé nécessaire de nous parler ? Si le diable a osé défier le Dieu El Gibbor, alors, il apparaît plus qu’un simple ange rebelle qui fut jadis créé par Dieu. Il aurait acquis son pouvoir du mal. En effet, tout laisse croire que le mal a existé depuis la nuit des temps avant d’apparaître subitement dans le cœur de Lucifer (voir Ézékiel 28 : 15). La guerre entre les divinités, celle dans laquelle l’homme est impliqué se déroule depuis la chute d’Adam et toute la race humaine en souffre. Satan, le mal et la mort seraient les belligérants à vaincre et nous assistons impuissants à ce combat spirituel.

     Pourquoi Satan (le mal par excellence) est-il appelé fils de l’aurore ? (Isaïe 14 : 12). On peut donc se demander : il serait fils de l’aurore et de qui ou fils de l’aurore et de quoi ? Est-il né à l’aurore ou est-il le résultat du mariage de deux formes de lumière ? Si Satan est appelé fils de l’aurore, alors, il aurait hérité toutes les caractéristiques de l’aurore : la nature sombre et pécheresse, l’obscurité, l’indécision, la stagnation, la promesse d’une lumière ou d’un soleil qui hésite à s’exprimer, l’imperfection, le mal…

 

     La deuxième série de questions

 

     Pourquoi l’arbre de la connaissance du bien et du mal fut-il placé au milieu du jardin d’Éden, dans cet endroit incontournable ? Pourquoi Dieu interdit-il aux premiers habitants de la terre d’en manger les fruits ? Ce mystérieux arbre semble être une personnification du mal et selon toute évidence, c’est Dieu qui l’a planté au milieu du jardin d’Éden. Le mal devrait alors exister depuis longtemps avant que le diable ne le prenne pour emblème et unique instrument de combat. Le mal devrait être nécessairement une des forces de cet Univers et par conséquent avait le droit officiel d’être représenté en Éden à la manière de tous les états de ce monde qui sont représentés à l’ONU.

 

  

Le fruit défendu

 

     Pourquoi y a-t-il le bien et le mal ? Pourquoi le mal est-il synonyme de douleur et souffrance tandis que le bien est synonyme de bonheur, paix et joie ? Pourquoi s’excluent-ils et pourquoi s’opposent-ils ? Pourquoi s’efforcent-ils de nous dominer et de nous conquérir ? Peut-être qu’ils sont une complémentarité nécessaire, un besoin de se faire connaître l’un, l’autre. Sans l’existence du mal, connaîtrions-nous le bonheur dans toute sa plénitude ? Comment saurions-nous que c’est cela le bonheur et comment pourrions-nous le savourer ? C’est l’intensité du mal qui nous a visités qui nous permet de découvrir et de mesurer les différents degrés du bonheur par une comparaison avec celui-ci. Ces deux forces seraient donc au service de l’un et de l’autre. Si tel est le cas, alors, le mal ne disparaîtra jamais. Même s’il disparaissait, nous aurions besoin de lui après une longue période de monotonie et d’ennui dans le bonheur afin de retrouver un juste jugement, une bonne appréciation des valeurs morales. Assurément, on peut s’ennuyer du bonheur. La preuve est que personne n’a jamais goûté le bonheur et la paix à perpétuité mais nous savons à travers l’exemple d’Adam et Ève qu’il est possible de s’en lasser. En effet, sans avoir expérimenté le moindre mal, sachant néanmoins qu’il existe, ils ont fini par le chercher, par le retrouver, par l’accepter et l’ont introduit dans leur vie et voici que le mal est désormais omniprésent. 

     Peut-être aussi que par le mal, l’homme a trouvé le chemin de sa divinisation et qu’il nous restera une derrière étape à franchir. Celle de la pérennisation de notre matière. Dieu n’a-t-il pas dit : «… voici que l’homme est devenu comme un Dieu, pour ce qui est de savoir ce qui est bon ou mauvais. Il faut l’empêcher maintenant d’atteindre aussi l’arbre de vie ; s’il en mangeait les fruits, il vivrait indéfiniment. » (Genèse 3 : 22). Si nous avions atteint cet arbre, alors nous serions devenus comme le Dieu immortel, mais d’une immortalité néfaste car étant habités par le mal, le mal alors pourrait se perpétuer à travers nous.

     Avons-nous précipité notre maturité en tant qu’enfants de Dieu ? Avons-nous brûlé des étapes ? Le passage par la vallée du mal a été certes précipité par l’homme ou par le malin sans l’approbation de Dieu ; mais il est assurément un chemin incontournable car de toute évidence, Dieu lui-même serait passé par là. Puisqu’il dit que l’homme est désormais comme lui connaissant le bien et le mal, comment a-t-il découvert le mal dans sa spécificité s’il ne l’a pas expérimenté ?

     Nous avons été créés, image visible du Dieu invisible. Sans doute, nous sommes des dieux et pendant que nous tâtonnons à la recherche de notre identité, la matière s’est mise à parler, à réfléchir, à marcher. Bref, l’homme est en train d’imiter parfaitement Dieu de par sa capacité à créer des ordinateurs sophistiqués qui réfléchissent et des appareils qui sondent sans merci les profondeurs du cosmos : l’homme serait-il à la recherche de son créateur ? Dieu se laissera-t-il trouver un jour quelque part là-bas, là-haut ! Oui, si telle est sa volonté. Il a déclaré une vérité qui est valable pour toutes les générations : «… si vous me cherchez de tout votre cœur, je me laisserai trouver par vous… » (Jérémie 29 : 13). Ainsi donc, s’il est possible de retrouver Dieu spirituellement, on peut aussi le retrouver à travers le matériel ou peut-être par la combinaison des deux : si la religion et la science se liaient d’amitié, si les prières et les recherches scientifiques conjuguaient leurs efforts, alors Dieu se laissera peut-être trouver. Peut-être aussi que nous l’avons déjà trouvé, étant une partie de sa nature habitée par le mal. Alors, une décantation du mal qui existe en nous, devra faire de nous ce qu’il est dans sa plénitude.

 

     La méthode de rédemption

 

     Pourquoi Dieu a-t-il sacrifié son fils unique pour sauver l’humanité ? Pourquoi le sang du doux Jésus fut-il versé pour le pardon de nos péchés ? Dieu ne pouvait-il pas simplement pardonner l’homme et retrancher le malin qui fut la cause première de la chute ?

     La bible enseigne que le Christ serait venu sauver l’humanité. Alors, les questions suivantes me paraissent bien logiques : sauver l’humanité de qui ou la sauver de quoi ? Du péché ? De la mort ? Du malin ou de la colère de Dieu ? Tous ceux qui se disent être sauvés n’échappent pourtant pas à ces fléaux car ils commettent toujours des péchés, sont attaqués par les démons, vivent dans la peur de l’enfer ou de l’incertitude du lendemain et meurent comme tout être. Dans la même logique, le rédempteur se veut de racheter les hommes. Mais racheter les hommes de qui ou les racheter de quoi ? Des divinités de la seconde création ? Le sens véritable de la rédemption et du salut des hommes tels que la Bible les définit, pourrait trouver son explication dans l’œuvre mystérieuse de la création du septième jour.

     Ce fut par la ruse et par une transaction que le malin arracha la création toute entière des mains de l’homme. De même, par une transaction, le Seigneur Jésus, reprendra du malin son butin pour le rétrocéder à l’homme : le jardin d’Éden était le centre de l’Univers spirituel où toutes les tendances spirituelles étaient représentées à la manière de l’ONU où chaque entité politique se fait valoir. Dans un jardin tel qu’Éden ces tendances ne peuvent exister que sous la forme temporelle d’un arbre et c’est ce que les premiers hommes choisirent de manger. L’arbre de la connaissance du bien et du mal pourrait être l’âme et l’esprit même de Lucifer. C’est donc par une nourriture corrompue que l’homme connut la chute, de même, c’est par une nourriture sainte que l’homme se relèvera de sa chute : le second arbre présent dans le jardin d’Éden avait pour propriété de donner la vie éternelle à quiconque en mangerait. Cet arbre pourrait être l’esprit et l’âme de Dieu ou celui de son fils. Si l’homme veut guérir de son mal et vaincre le péché et la mort, il devrait manger de cet antidote. Jésus-Christ n’a-t-il pas dit : « Je suis le pain vivant descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra pour toujours. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, je la donne afin que le monde vive. Oui, je vous le déclare, c’est la vérité : si vous ne mangez pas la chair du fils de l’homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang possède la vie éternelle et je le relèverai de la mort au dernier jour. Car ma chair est une vraie nourriture et mon sang, une vraie boisson. » (Jean 6 : 51 ; 6 : 53-55). Ici, il ne s’agit pas d’une forme de cannibalisme mais plutôt d’une nourriture et d’un breuvage spirituels dont Dieu assouvit ceux qui croient en lui. En absorbant le fruit de la connaissance du bien et du mal, le péché qui est la substance du malin a poussé des racines dans l’homme. De sorte que ce n’est plus l’homme qui vit mais plutôt le mal qui vit à travers l’homme. Mais par sa mort, Jésus-Christ nourrit l’âme et l’esprit du pécheur de sa substance. Par ce repas spirituel, l’âme et l’esprit morts se mettent à revivre la vie de Dieu. Tel est le plan de Dieu pour le rachat de l’homme et de tout ce qu’il a perdu dans sa chute. Sacrifier son propre fils pour que l’homme (les deux créations confondues) revive de la vie de Dieu. Écoutons ce que dit le psalmiste :

J’ai soif de Dieu, du dieu vivant… (Psaumes 42 : 3).

Oh Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche, j’ai soif de toi. Tout mon être soupire après toi, comme une terre aride, desséchée, sans eau (Psaumes 63 : 2). De quelle soif pensez-vous qu’il puisse s’agir ?

 

     Cette transaction se fait au prix du sang et de la mort. Oui, si Dieu veut sauver les hommes du pouvoir de Satan, s’il veut les racheter, il devrait mourir. La mort du fils de Dieu. En mourant à la croix, Jésus-Christ transmit sa vie à l’homme qui était spirituellement mort. Alors, l’homme reçut de nouveau la vie et la lumière de Dieu qui le recouvrait avant sa chute et qui fut ravi par le malin. Ainsi donc, l’esprit du malin qui habitait dans l’homme est substitué par l’esprit de Jésus Sauveur. En tant que chrétiens, nous devenons alors une nouvelle création. Des êtres d’une nouvelle naissance. Non pas d’une naissance de chair mais d’une naissance spirituelle. Les écrits mystérieux du prophète Ézékiel ont prédit cette transaction spirituelle avec une avance de sept cents ans. Voici ce qu’il annonce de la part du Maître de l’Univers : « Je verserai sur vous l’eau pure qui vous purifiera… Je vous donnerai un coeur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau. J’enlèverai votre cœur insensible comme une pierre et je le remplacerai par un coeur réceptif. Je mettrai en vous mon esprit… » (Ézékiel 36 : 25 -27).

     Il s’agit d’une transaction de volonté à volonté au cours de laquelle l’homme reconnaît sa déchéance et par conséquent, accepte l’œuvre de rédemption. Par l’acte du baptême, le rédempteur le rachète et le fait passer des ténèbres à la lumière. Enfant de Satan, vous devenez une nouvelle créature, un enfant de Dieu.

Le Seigneur Jésus disait :

Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné (Marc 16 : 16).

Je suis le chemin, je suis la vérité ; nul ne vient au père que par moi (nul n’est sauvé que par moi).

 

     L’exercice du pouvoir absolu

 

     En dehors du Seigneur Jésus-Christ et ses élites, il est difficile voire impossible pour un être humain de ressusciter une personne morte par la prière. Ainsi donc, le pouvoir de créer une personne ou de la ressusciter lorsqu’elle est morte est un pouvoir spécifiquement divin que j’appelle « le pouvoir absolu ». Le Dieu créateur a donné à ses enfants d’exercer en partie ce pouvoir au moyen de la foi. La foi nous permet donc d’exercer partiellement le pouvoir absolu et fait de nous des dieux. La Bible affirme que nous sommes des dieux et Jésus-Christ l’a confirmé (Jean 10 : 34-36). Nous sommes des dieux privés du pouvoir divin. Ce pouvoir divin a été usurpé par le malin après la chute de l’homme. Cependant, nous pouvons retrouver ce pouvoir, l’activer de nouveau et redevenir pleinement comme Dieu si nous le voulons. Mais il y a une condition sine qua none. On ne peut parler de divinisation sans reconnaître au préalable l’existence et l’autorité « du Dieu Suprême » et cette reconnaissance n’est rien d’autre que la foi. L’activation du pouvoir divin passe donc par un chemin divin qui n’est rien d’autre que la foi en Jésus-Christ. Par enchantement, la lettre aux sept églises du livre de la révélation nous montre le chemin de notre divinisation :

–… À ceux qui auront remporté la victoire, je donnerai à manger le fruit de l’arbre de vie qui se trouve dans le jardin de Dieu (Apocalypse 2 :7).

     N’est-ce pas de cet arbre que jadis, Dieu empêcha l’homme d’atteindre en le chassant hors du jardin ? Maintenant, voici qu’il donne son fruit à manger à quiconque aura remporté la victoire. Manger du fruit de cet arbre, c’est acquérir l’immortalité et c’est exactement ce qu’il nous faut pour achever notre divinisation.

          De celui qui aura remporté la victoire, je ferai une colonne dans le temple de mon Dieu et il n’en sortira plus jamais. J’inscrirai sur lui le nom de mon Dieu… (Apocalypse 3 : 12).

       Devenir une colonne dans le temple de Dieu et ne plus en sortir, cela signifie que vous devenez une composante de Dieu et que vous habitez dans le cœur même de Dieu. Et si le nom de Dieu est écrit sur vous, cela signifie que votre nom est Dieu et par conséquent vous êtes Dieu.

          À ceux qui auront remporté la victoire j’accorderai le droit de siéger avec moi sur mon trône, tout comme moi, après avoir remporté la victoire, je suis allé siéger avec mon Père sur son trône (Apocalypse 4 : 21).

     Si vous parvenez à siéger sur le trône de Dieu, alors, vous êtes Dieu. Ainsi donc, le chemin de la divinisation de l’homme passe par la foi et c’est pour cette raison que ceux qui ont la foi exercent déjà une partie du pouvoir absolu. C’est comme s’ils avaient déjà remporté la victoire et ils ont l’assurance de s’asseoir auprès du trône de Dieu. Il y a donc un lien fondamental entre la foi, la victoire, la consommation du Fruit de l’immortalité, la divinisation de l’homme, le pouvoir absolu, Dieu et la vie éternelle. De sorte qu’on peut dire sans risque de se tromper que celui qui a la foi détient le pouvoir de résurrection ; celui qui détient le pouvoir de résurrection possède la vie éternelle et celui qui possède la vie éternelle est Dieu. Le Seigneur Jésus le confirme : « La vie éternelle consiste à te connaître, toi le seul véritable Dieu, et à connaître Jésus-Christ que tu as envoyé. » (Jean 17 : 3).

 

     La croisée des chemins

   

     Les mathématiciens disent que toutes les parallèles se croisent à l’infini. Si vous permettez, l’infini c’est l’éternité. La marche de l’histoire de l’humanité est une marche qui converge positivement vers l’infini de sorte qu’il n’y a pas de marche arrière possible. Les astrophysiciens quant à eux, après avoir étudié le cosmos et déterminé l’origine du système solaire, la formation des astres et de la vie, ont conclu que l’Univers et la vie ont toujours existé depuis l’éternité (12). La religion chrétienne confesse la même vérité car, il y a environ trois mille ans de nos jours, le Dieu des Hébreux disait : « Je suis l’éternel (l’infini). Je suis au point de départ et je suis à l’arrivée. » (Isaïe 44 : 6). Le Seigneur Jésus, le fondateur du christianisme, lors de son passage sur terre a aussi déclaré : « Je suis la résurrection, je suis la vie. Je suis le commencement et la fin… ». C’est ici donc que le judaïsme et le christianisme se rencontrent. C’est ici aussi que la science et la religion parlent le même langage et se croisent. C’est ici que la connaissance et la sagesse se fusionnent. C’est ici aussi que se trouve le secret même de Dieu, le secret de sa naissance. C’est ici que la boucle du cercle se referme nous laissant ignorer où elle a commencé et où elle s’est refermée ? Pour connaître ce secret de Dieu, pour découvrir celui qui créa le créateur, il faudra d’abord accepter par la foi l’existence d’un Dieu créateur et cette foi nous donnera le pouvoir de la résurrection et la vie éternelle, et lorsque nous serons comme Dieu, alors nous saurons tout.

 

 

 

RÉFÉRENCES DES OUVRAGES ET DOCUMENTAIRES CITÉS OU PROPOSÉS POUR TOUTE ÉVENTUELLE RECHERCHE

 

1. Catholic Encyclopediae : mystical stigmata

2. History channel : stigmata, marked for life

3. Livingmiracles. net/incoruptibles

4. Secrets of ancien world. James, brother of Jesus?

5. Catholic encyclopedia : relics

6. A cta sanctorum

7. Les miracles

8. Fragments d’Épiménide, A 2, dans Suidas, cf Dodds (E.R.).

T he Grelks and the Unrationnal (Berkeley, 1959, ch. VI)

9. Litanies de la Sainte Vierge

10. Story of christianity. Two thousand years.

11. Story of christianity, the first thousand years.

12. Origine

13. La Vierge Marie en Yougoslavie

14. La Vierge Marie à Damas, Syrie

15. Loving Ganesha, preface : the milk miracle

16. History channel, saints preserved

17. LIFE, Pope John Paul II, A TRIBUT (Bulfinch) page 23 et 46

18. Notre Dame du pilier, Saragosse

19. Photo les chemins de Compostelle

20. History channel : Egypt, beyond the pyramids

21. History channel : Egypt, land of the Gods

22. Du couvent au salut (Sœur Lutala K. Françoise, page 42)

23. www.dailymotion.com; www.youtube.com (chercher: ovni/ufo/

alien/extraterrestre/EBE)

23a. alien life form and craft testimony/1954 aliens contactent us army/

57 variétés d’aliens répertoriés/aliens species the orange eben/

23b. A lien petit grey ebe ovni/ alien autopsy-roswell ufo / brazilian

incident captured aliens/ varginha/ il vero alieno/ebt/EBE

23c. Témoignage de contacté

23d. bébé créature bébé alien / bébé alien / allien baby / bebe  alien mort

23e. Rencontre du 4e type part 6 / rencontre extraterrestres

23f. ufo disclosure

23g. A lien abduction

24. www.ciel-et-enfer.skyrock.com

25. Le matériel de Couper / Le gouvernement secret / William cooper/

Entité biologique extraterrestre / Alien species / The reptilian race (sur youtube, Google etc.)

27. Giants of India (Youtube) Super science : le mythe des géants

(Dailymotion)

28. A nannuki (sur Youtube)

29. Les dieux de l’an 2000 (sur Google)

30. Gérard Bouffard (sur Dailymotion)

31. L’Inquisition (sur Internet)

 

 

                          Copyright, Library of Congress, USA, September 7 2007