Chapitre VI

 

                                                                                                    Les apparitions mariales : une conspiration de Cybèle

 

                                                                                                              Introduction sur l’étude du culte marial

 

Marie, cette grande servante de l’Éternel, eut un fils. C’est Jésus-Christ fait homme qui a offert sa vie en sacrifice pour la rédemption de l’humanité. Finalement, comme tout être humain, Marie a rejoint ses ancêtres dans le séjour des morts, après avoir mené une vie simple, auprès de son divin fils et des Saints Apôtres. Plus de mille ans après sa mort, l’Église catholique déclara en 1950 qu’elle est ressuscitée et montée au ciel, corps et âme. C’est ce qu’on appelle l’Assomption de la Vierge Marie. Contre toute attente, et sans être annoncée au préalable par La Bible, à la manière dont Jean le Baptiste fut annoncé, la Vierge Marie commença à apparaître partout dans le monde, et à opérer des miracles qui émerveillent la science. De plus, ceux qui ont eu le privilège de l’observer pendant ses apparitions, sont devenus des célébrités. Même morts, leurs dépouilles attirent des millions de pèlerins. Compte tenu du caractère non biblique du phénomène, il serait juste de se poser la question suivante : cette dame des apparitions, est-elle vraiment la mère de notre Seigneur Jésus-Christ, ou est-ce encore une ruse du diable destinée à la perdition des âmes ? Après la chute de l’homme dans le jardin d’Éden, Dieu dans sa grâce incommensurable a pourvu un rédempteur qui nous a réconciliés avec lui. Alors, ces fameuses apparitions mariales sont-elles une seconde tromperie du Malin dont le but serait de nous éloigner de nouveau du véritable Dieu ?

Ici, l’enjeu est de taille car vous ne trouverez aucune Église portant le nom de Satan. Sa vieille stratégie consiste toujours à s’infiltrer subtilement dans les Églises chrétiennes. Ainsi donc, si le diable veut réussir à tromper les chrétiens, il est de son intérêt de se présenter à nous sous le pseudonyme de Jésus-Christ, de la Vierge Marie ou d’un saint quelconque du passé. S’il a eu l’audace d’attaquer Christ Jésus, le Verbe de Dieu, en utilisant des passages de La Bible, alors, sans l’ombre d’un doute, il est capable de nous tromper et de nous conduire dans une véritable hérésie, même au moyen de tout ce qui constitue les fondements de notre foi catholique. Néanmoins, le Dieu créateur, dans sa sagesse infinie, a déjà produit des failles dans le système élaboré par Satan. Ce sont ces failles que tout un chacun doit déceler, par la lecture de La Bible, et parvenir aisément au discernement des manigances du Malin. Puisqu’il s’agit de notre âme immortelle que le diable cherche à ravir depuis toujours, alors, ne ménageons aucun effort dans la quête de la vérité sur les apparitions mariales. Nous devons examiner sans complaisance ces phénomènes à la lumière de La Bible, afin de démasquer les ruses du Malin.

Dans cette enquête mariale, l’erreur n’est pas permise et nous devons impérativement découvrir l’entière vérité, car chacun de nous passera toute l’éternité soit au paradis auprès de Dieu soit en enfer en compagnie des démons. S’il y a erreur, si nous nous laissons donc tromper par les combines des démons, les conséquences seront éternelles et irréversibles.

Il n’y a aucun problème à enquêter sur les apparitions mariales, car le Dieu de vérité ne jettera jamais en enfer ses enfants qui le cherchent par tous les moyens appropriés. Mais, ce n’est absolument ni une Église, ni une religion, ni même la Vierge Marie qui sauvera l’âme pécheresse. La Sainte Bible enseigne que le salut s’obtient uniquement par la foi en Jésus-Christ. Il y a problème lorsque l’on constate surtout que les apparitions mariales sont de type satanique et que l’homme, par manque de connaissance, s’y complait, et se laisse piéger par les conspirations du dieu de ce monde. N’ayons pas peur d’examiner le phénomène marial avec suspicion. Avant tout, il s’agit de la menace de voir notre âme en péril.

                                                                                                                                 Les apparitions       
    
     Depuis la résurrection du Seigneur Jésus jusqu’à nos jours, les apparitions mariales sont les plus spectaculaires dans le monde chrétien. Il est difficile de déterminer la date marquant le point de départ des premières apparitions. Certains documents témoignent, en effet, qu’elles auraient commencé du vivant même de la Vierge Marie, aux environs des années quarante (18). Toutefois, c’est le 27 Novembre 1830 que débuta à Paris, 148 rue du Bac, la première série des apparitions mariales. Elles se répandirent dans toute l’Europe, pour ensuite se propager dans le monde entier. Le XXe siècle est considéré comme le siècle de Marie, à cause de la multitude de ses apparitions dans le monde. De nos jours, le phénomène s’intensifie et les miracles qui en émanent sont de nature à sidérer l’homme le plus sage de la planète. Ces apparitions sont sans doute approuvées par le Saint-Siège de Rome ou par le clergé catholique des localités concernées. Lorsque la Reine des Cieux apparaît, elle guérit des milliers de malades, donne des conseils et des avertissements sur l’avenir, sollicite la construction de chapelles en son honneur, encourage la prière du chapelet, etc. Tous les illuminés qui ont eu le privilège d’être visités par la mère du divin sauveur, opèrent eux-mêmes des miracles et possèdent des dons surnaturels. Parmi eux se comptent les stigmatisés et les incorruptibles. La Madone occupe une place de choix dans l’Église catholique où elle est vénérée sous les titres honorifiques suivants : Reine des cieux, reine des anges, reine des archanges, reine des patriarches, reine des prophètes, reine des apôtres, reine du monde à venir, Ève nouvelle, cité de Dieu, demeure de la sagesse, porte du ciel, refuge des pécheurs, mère de l’Église, mère du perpétuel secours, et cetera (9). L’objectif de ce chapitre qui sera long et peut-être fastidieux serait de prouver les origines lucifériennes du phénomène qui n’est qu’une savante manœuvre des démons religieux, agissant pour le compte de Cybèle, la Reine du Ciel. Entre autres, il s’agira aussi de démasquer les ruses du diable qui a fait du catholicisme un instrument efficace pour la ruine des âmes.

                                                                                        Critique du phénomène et identification de la dame des apparitions


Durant mon vagabondage religieux qui m’a conduit à séjourner dans les différentes dénominations, je peux retenir que mes amis Témoins de Jéhovah et protestants n’ont pas réussi à me convertir à leur religion. Cependant, souffrez que je le dise, ce sont les démons religieux qui ont réussi à changer ma manière de percevoir le monde. Ce sont leurs attaques et leurs fourberies, que j’ai du reste réussi à démasquer, par la grâce de Dieu, qui m’ont contraint désormais à observer une discipline infaillible qui me préserve désormais de l’erreur. Il s’agit de comparer toute expérience spirituelle à la lumière de la Sainte Bible. Le filtre le plus rassurant, le microscope le plus puissant permettant de déceler les ruses et les embûches du Malin, c’est La Parole de Dieu « Il est écrit ». Les mêmes méthodes utilisées par le Seigneur Jésus face au diable lors de sa tentation dans le désert sont encore valables pour tout chrétien cherchant à démasquer les subterfuges du Malin. De ce fait, il me plaît d’utiliser cette méthode du Christ, dans notre étude critique sur le phénomène marial.

                                                                                                                L’omniprésence de Marie dans le catholicisme

Les messes catholiques débutent par un chant d’introduction dédié à Marie. C’est elle qui est chargée de conduire les catholiques, et de présenter leurs prières à son fils Jésus. Les Messes se terminent toujours par un chant de clôture tout aussi dédié à elle. Son nom est mentionné tout au long de la messe (pendant la liturgie et pendant la consécration). En principe, toutes les prières dans le catholicisme se clôturent par une prière célèbre, en l’honneur de Marie et intitulée « Souvenez-vous, oh Vierge Marie ! » Tant que faire se peut, ses statues sont dans toutes les Églises, les rues, les réfectoires, les salons, etc. Elle est « Notre Dame » de tout pays, de la victoire, de la grâce, de l’accueil, bref, de tout ce qu’on estime important. En un mot, et sans exagération, elle figure partout.

                                                                                                                                    Marie, la Reine du Ciel

En réalité, le culte marial dans l’Église catholique est un culte déguisé, dédié à la déesse Cybèle, sous le couvert d’un maquillage chrétien. De son vivant, la Vierge Marie n’a jamais dit qu’elle était la Reine du Ciel. De même, Jésus-Christ n’a jamais conféré ce titre à sa mère. L’appellation « Reine du Ciel » est une désignation exclusive de Cybèle, plusieurs milliers d’années avant la naissance du christianisme. Ce culte hérétique et démoniaque est un héritage du pape Grégoire VII Le Grand (un sataniste). C’est lui qui introduisit de force le latin dans la liturgie chrétienne, ainsi que le culte de Cybèle en déclarant que « Cybèle est devenue Marie, mère de Dieu et que techniquement, elle est supérieure à Jésus-Christ » (65). C’était une prise en otage du christianisme, car cet enseignement hérétique était contraire à la doctrine catholique et chrétienne de l’époque. Mais à travers les « Dictatus papae », Grégoire a fait de cet enseignement une doctrine officielle de l’Église catholique. Elle est en vigueur, même de nos jours. Quand bien même le roi Henry IV aurait, en 1084, capturé le pape Grégoire, et l’aurait exécuté, avec toute sa famille, les innovations et les restructurations qu’il avait ébauchées ont tout de même réussi à introduire des croyances sataniques dans le catholicisme, et des sacrifices humains dans le culte romain.

En effet, nous savons que Marie n’était pas du tout vénérée au premier siècle. Bien entendu, pour avoir été la mère de Jésus, elle était une figure emblématique du christianisme primitif, cependant, elle n’y jouait pas un rôle monumental, et le récit de La Bible l’atteste. Les prémices du culte marial débutèrent précisément au Vème siècle, lorsque le concile d’Éphèse promulgua Marie au rang de mère de Dieu (theotokos). Ce décret du concile marqua donc la montée en puissance du culte marial. Les « grandes Dames » de la famille impériale de l’époque, afin de démontrer l’importance du rôle de la femme dans le salut de l’humanité, saisirent l’opportunité et firent une promotion hors mesure du culte marial. Ainsi, par la volonté des femmes, Marie fut hissée au rang d’un puissant modèle de femme dans l’Église, et un membre de la cour de Dieu. De nos jours elle est un des piliers centraux du catholicisme, et aussi un sujet de grande controverse dans le christianisme.


                                                                                               

                            Père, Fils, Saint Esprit et Marie

                                                                                                                                            

Pour sortir de l’engrenage dans lequel le concile d’Éphèse, les femmes du Vème siècle et le pape Grégoire VII se sont laissé prendre, causant ainsi la chute de la multitude, gardons les yeux sur La Parole de Dieu et analysons les faits.

                                                                                                                                        Le droit divin

Voici ce que déclare la loi de Dieu : « Tu ne te fabriqueras aucune idole, aucun objet qui représente ce qui est dans le ciel, sur la terre ou dans l’eau sous la terre ; tu ne t’inclineras pas devant des statues de ce genre, tu ne les adoreras pas… » (Exode 20 : 4-5). Cette loi a été réitérée dans Deutéronome 4 : 16 comme suit : « Ne tombez donc pas dans le péché en vous fabriquant des idoles, des images représentant des divinités, des hommes ou des femmes… ». Partant de là, on peut dire sans se tromper que toutes ces images et statues de la Vierge Marie, de Jésus-Christ, des apôtres, des anges gardiens, etc., sont une violation de la loi de Dieu. Apparemment, il n’y a aucun problème à décorer sa maison avec des images de son Dieu ou des portraits de certaines personnes qui ont notre affection. Mais, avant tout, il convient de s’assurer de l’authenticité des photos des personnes concernées.

Supposons que par erreur ou par ignorance, vous affichiez dans votre chambre la photo d’une personne inconnue, pensant que c’est celle de votre défunt père. Vous imaginez-vous tout le ridicule qui pourrait s’en suivre ? C’est exactement ce qui se passe avec les icônes, car l’étude du Saint Suaire démontre que les iconographes se trompent souvent. Cette vérité se confirme dans le fait que les images des saints varient d’un pays à l’autre et suivant les cultures. Par exemple, la Vierge Marie des siècles précédents était grosse et bien potelée. Pour être en phase avec la diététique de la médecine moderne, la tendance actuelle est de la représenter mince et élancée. Il y a aussi le cas des icônes de Notre Dame d’Afrique où Marie est africanisée. Quant aux différentes images que le monde s’est fait de Jésus-Christ, elles sont loin de se ressembler. Et vous serez peut-être plein d’amertume de vous rendre compte, à l’heure de toutes les vérités, que vous avez passé votre vie entière à adorer l’image d’un Juif quelconque. Néanmoins, cela pourrait se tolérer à un certain degré. Il est essentiel de comprendre que lorsque vous vous agenouillez devant ces statues, ces figurines et toutes les autres représentations pour dire une prière, c’est de l’idolâtrie pure et simple, quelles que soient les excuses avancées. C’est exactement ce que nous faisons dans l’Église catholique : une contradiction des préceptes de La Bible.

Si vous voulez être un vrai chrétien, vous devez être biblique. Autrement, vous risquez de pratiquer un christianisme adapté à vos caprices. Le dieu qui vous répondra sera différent du Dieu d’Abraham. Le culte idolâtrique marial n’est rien d’autre que de l’hérésie. L’iconographie est une ruse savamment planifiée par le diable dans l’optique de détourner les âmes du salut de Jésus-Christ.

Du Christ Jésus, trois choses sont essentielles : la foi que nous avons en lui, sa Sainte Parole (La Bible) et le symbole de sa mort qui est la croix. Nous n’avons aucune photo authentique du Christ, et personne ne peut dire, avec exactitude, à qui il ressemblait. Lors de son arrestation, Judas Iscariote, pour permettre aux soldats de l’identifier, l’avait embrassé. C’est une preuve que Jésus-Christ ressemblait physiquement à ses disciples, et rien de particulier ne le distinguait. Ainsi donc, les images du Christ, de la Madone, des anges gardiens qui nous parviennent sont des inventions pures et simples. C’est le fruit de l’imagination de l’esprit humain, et ces images ou illustrations n’incarnent aucunement l’identité réelle du Christ. Elles ne doivent pas avoir de la place dans nos maisons, encore moins dans nos Églises. Vous aurez peut-être du mal à me croire, mais sachez-le, tout endroit où ces images sont exposées revient de droit à la légion des démons.


                                                                                                                    Des preuves flagrantes et effarantes

    Cesare Borgia fut le fils du pape Alexandre VI. Il était le Duke de Valence. A sa mort, son portrait fut imposé dans le catholicisme comme étant l’image réelle de Jésus-Christ. Aujourd’hui l’image de Cesare Borgia se retrouve dans presque toutes les églises chrétiennes du monde et dans beaucoup de familles. Elle est adorée à tort comme celle du Christ.

    De même, Robert Powel, acteur de cinéma britannique, qui ressemble à Cesare Borgia et qui a tourné un film sur Jésus Christ, retrouve sa photo exposée et adorée dans des églises et familles chrétiennes.

                                        

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DE CESARE BORGIA A JESUS-CHRIST

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                  Robert Powel, acteur de cinéma britannique

Il se trouve au Vatican, une célèbre fresque de la Vierge Marie, un tableau peint sous les ordres du pape Alexandre VI (un sataniste). Cette image de la Vierge Marie constitue cependant une moquerie cruelle pour le christianisme biblique, car elle n’est rien d’autre que le portrait de l’amante préférée du pape : la très belle Guilia Farnese, une jeune fille de 15 ans, sœur du Cardinal Alessandro Farnese de Petticoat. Une fille de noble famille dont le frère deviendra plus tard pape Paul III (Diarium of Burchard). Avec elle, le pape Alexandre eut une fille nommée Laura. Cette fresque de la maîtresse du pape est malheureusement vénérée comme une image de la Vierge Marie, mère de Jésus-Christ.

                                                                                                                    La justification d’un culte idolâtrique

En 787, le septième concile œcuménique de l’Église catholique a autorisé la fabrication des icônes et le culte idolâtrique des images pour le simple fait que les personnes qui y sont représentées furent des êtres humains ayant possédé un corps physique et une âme. Le concile a ainsi annulé l’ordonnance de Dieu. Pourtant, le Dieu d’Abraham exige le respect scrupuleux de ses ordonnances par quiconque se reconnaissant de lui : « Par contre, je leur ai ordonné ceci : écoutez ce que je vous dis, pour que je sois votre Dieu et que vous soyez mon peuple. Suivez exactement le chemin que je vous ai indiqué et vous vous en trouverez bien » (Jérémie 7 : 23-24).

Contrairement à cette instruction divine, le concile œcuménique de l’Église catholique a manifestement encouragé les chrétiens à violer la loi de Dieu. Même si le septième concile œcuménique a autorisé les représentations graphiques, les véritables enfants de Dieu doivent reconnaître que le concile n’a aucun pouvoir, aucun droit, aucune compétence légale pour abroger la volonté et les lois du Créateur. Même le fils de Dieu en la personne du Seigneur Jésus-Christ, s’est jugé incompétent devant de telles abrogations lorsqu’il déclara : « Ne pensez pas que je sois venu pour supprimer la loi de Moïse et l’enseignement des prophètes. Je ne suis pas venu pour les supprimer, mais pour leur donner tout leur sens. Je vous le déclare, c’est la vérité : aussi longtemps que le ciel et la terre dureront, ni la plus petite lettre ni le plus petit détail de la loi ne seront supprimés, et cela, jusqu’à la fin de toute chose » (Matthieu 5 : 17-18). Comme vous le constatez, les mêmes lois rudimentaires du temps de Moïse sont toujours en vigueur et attestent que l’iconographie est une déviation, une forme d’idolâtrie moderne.

Peut-être que c’est le concile œcuménique qui a fondé le christianisme, et peut, par essence, s’arroger le droit de tronquer les lois de Dieu. Dans le cas contraire, il se devait de garder les choses telles quelles, aucune compétence constitutionnelle divine ne lui étant pas donnée de les remanier. Ces restructurations sont aux antipodes des « dix commandements », préceptes sacrés et non négociables de Dieu, clairement gravés dans La Bible. Ma démonstration n’est ni un excès de zèle ni un fanatisme aveugle, encore moins de l’extrémisme religieux. C’est plutôt, un constat amer et douloureux de la violation du droit divin.

                                                                                        Le Pape protestant ou le réveil de la conscience catholique


Aux environs des années 610, une voix criait dans le désert : « Il n’y a pas de Dieu sauf Allah. » C’était la voix triomphante du prophète Mahomet qui annonçait la naissance de l’Islam. Cette nouvelle religion monothéiste qui considérait les représentations graphiques des êtres célestes comme une forme d’idolâtrie connut dès sa naissance un succès fulgurant et menaçait de phagocyter le christianisme. Le Pape Léon V se posa alors une question : « Pourquoi le christianisme connaît-il un échec cuisant devant cette religion ? » Il consulta Les Saintes Écritures et s’aperçut que les images et les statuettes sont une déviation spirituelle, une forme d’idolâtrie moderne et un culte blasphématoire au Dieu Très Haut. Il fut convaincu que la naissance de l’Islam était une punition de Dieu sur les chrétiens, parce qu’ils remplissaient leurs maisons et leurs Églises d’idoles, et qu’ils se prosternaient devant ces abominations pour prier. Une prostitution spirituelle proscrite par le Dieu de La Bible. Par conséquent, en 815, il envoya des troupes militaires dans tout le royaume pour détruire les icônes. Ce fut fait, mais non sans résistance, car beaucoup choisirent de mourir pour défendre leurs icônes. L’iconographie est donc possessive. Malheureusement, trente ans plus tard, l’iconographie fit un retour en force grâce à Théodore (la veuve de l’empereur) qui la restaura officiellement en 843.  Pour elle, les icônes sont un acte de foi et non de l’idolâtrie (11). De nos jours, l’Église catholique enseigne que les icônes sont des supports visuels qui aident à prier. L’on a ainsi trouvé une porte de sortie et une bonne excuse pour contester et tronquer les lois du Créateur.

Les mosquées, les synagogues et les autres Églises chrétiennes ont débarrassé leurs lieux de prière de toutes images qui pourraient être considérées comme des idoles. C’est ainsi que Dieu l’a voulu. Mais dans certaines Églises catholiques richissimes, des fois, il y a plus de statues que de fidèles. Dans les synagogues, les mosquées et les Églises chrétiennes, seuls les noms de leur Dieu et de leur prophète sont mentionnés, lors des prières. Quant à nous catholiques, nous invoquons le nom de notre Dieu Jéhovah Sabaho et de son prophète Jésus. Ce qui est juste. Mais nous invoquons aussi la mère de Jésus-Christ, le père adoptif de Jésus-Christ, les anges de Dieu ainsi que des milliers de saints, et toujours nous trouvons des excuses pour ce culte non biblique.

                                                                                                           Les lois de Marie contre celles de Dieu

                                                                                                                       La médaille miraculeuse


Lors de son apparition le 27 Novembre 1830, la Vierge Marie a ordonné à la voyante de faire frapper sur des médailles les images de cette apparition, de sorte que toute personne qui les porterait reçoive d’abondantes grâces. Ce fut une des façades du culte idolâtrique marial. Une violation manifeste de la loi de Dieu clairement écrite dans La Sainte Bible. Le projet vit alors le jour et la médaille fut baptisée « la médaille miraculeuse. » De 1832 à 1837, plus de dix millions d’exemplaires furent vendus, rapportant d’énormes sommes d’argent à l’Église. Jusqu’en 1876, plus d’un milliard de médailles furent vendues ou distribuées dans le monde entier. De nos jours, la planète terre est envahie par les statues de la Vierge Marie.

En visitant la chapelle des apparitions mariales au 148 rue du Bac à Paris, il est aisé de tomber sur une majestueuse et impressionnante statue de la Vierge Marie, devant laquelle s’inclinent des milliers de personnes, en quête de grâce. Autour de cette statue se trouve une inscription invitant le monde entier à venir adorer cette idole et recevoir d’abondantes grâces. J’y suis allé six fois me prosterner. Ceux qui ne peuvent se rendre à Paris prennent le soin de placer un mini duplicata de cette statue devant eux pendant la prière. Cette pratique est observée dans le monde entier où les catholiques se retrouvent pour prier. Cela est une invitation à l’idolâtrie pure et simple ; et personne ne semble s’en apercevoir. La mère du Christ, peut-elle violer les lois de son Dieu ? Non. La vraie mère du Jésus-Christ, la fille de Sion, la fille aînée de la Jérusalem céleste, Marie, une juive d’origine, soumise en tout à la volonté de Dieu, ne fera pas cela. Elle n’est en rien liée à ces célébrations d’idoles.

La médaille miraculeuse fut précédée, cinq cent soixante-dix-neuf ans, par le scapulaire brun du mont Carmel. Tous deux, comme des talismans ou des fétiches, doivent être portés par les fidèles catholiques, en quête de grâces. Notre bien-aimée mère, la très Sainte Vierge Marie est une femme juive. Elle sait et comprend que tailler des sculptures ou des images qui lui ressemblent est proscrit par la loi juive, et constitue une violation grave de la loi de Dieu. Elle, la mère du Seigneur n’a point adoré d’images ou d’idoles de son vivant. Il n’y a aucune raison qu’elle le fasse après sa mort ou qu’elle encourage une multitude à enfreindre cette loi de Dieu. Par conséquent, l’identité réelle de cette femme que l’on présente sous le nom de la Vierge Marie est à revoir.

Ces manifestations ne sont pas logiques, elles s’opposent à la raison et aux prescriptions du Dieu de La Bible. Il y a de fortes chances que cette femme qui nous apparaît sous le nom de la Vierge Marie soit plutôt une simulation du diable se faisant passer pour notre mère bien-aimée. Faux et usage de faux, vol d’identité, il peut s’agir d’un démon, se présentant en ange de lumière, dans le but de nous tromper dans notre espérance.

Le Dieu vivant s’est absolument démarqué des idoles en prenant une position intransigeante que je vous exhorte vivement à graver dans votre mémoire. Voici la position du Créateur : « Je suis le Seigneur, tel est mon nom. Je ne laisse pas à d’autres la gloire qui me revient, ni aux idoles l’honneur qui m’est dû » (Ésaïe 42 : 8). Selon ma compréhension, ce passage ne parle pas des idoles païennes des dieux Dagon, de Brahma, etc., qui représentent officiellement les divinités de ces peuples. Il parle plutôt d’idoles existant au milieu de son peuple, idoles créées en son nom et à sa ressemblance, et qui reçoivent à tort l’honneur qui lui est dû. Par conséquent, le respect sacré que nous avons pour ces idoles ou icônes, les prières et louanges que nous leur adressons ne montent pas vers le Dieu Très Haut.

Moïse fut une grande figure du judaïsme. Ses yeux ont observé d’une manière quelconque le Maître de l’Univers. Il a reçu de Dieu les dix commandements (six cent treize commandements en réalité) pour sa nation et pour nous. Moïse a-t-il fait tailler l’image du Dieu vivant sur de la pierre ? Les Juifs ont-ils taillé des statues de Moïse ? Selon La Bible, Dieu en personne, sous une apparence humaine, est descendu sur le mont Sinaï, afin de prendre un repas avec les soixante-dix anciens des tribus d’Israël (Exode 23 : 9-11). Ont-ils représenté ce Dieu vivant par des images, par la sculpture ou de la peinture ? Les hommes célèbres de l’époque de Jésus-Christ se faisaient tailler leurs bustes afin de pérenniser leur mémoire. Mais le Seigneur Jésus, s’est-il fait représenter par une figurine quelconque ? Aucun des serviteurs de Dieu, fût-il roi ou prophète, n’a violé ce précepte de Dieu. Seule la Vierge Marie des apparitions et l’Église catholique transgressent cette loi divine. Cela remet en cause les origines chrétiennes du catholicisme et l’identité de la dame des apparitions.

Le Dieu d’Abraham n’a pas voulu être représenté par un objet quelconque. Par contre, les divinités païennes, les dieux égyptiens, les dieux de l’Inde, etc., ont été représentés par des idoles devant lesquelles se prosternent leurs fidèles. En matière de représentation graphique des êtres célestes, les icônes et les statuettes de maman Marie sont en tête de liste de par leur nombre et leur diversité. Elles sont suivies de près par l’hindouisme et le bouddhisme. Sans conteste, cela fait des catholiques, les premiers idolâtres de la planète.

Dans le monde entier où les catholiques se rassemblent, surtout à Lourdes en France, les statuettes de Marie sont revêtues de somptueux vêtements et portées en procession. Les fidèles catholiques accompagnent ces statuettes avec des chansons, des sons de clochettes, et leur jettent des fleurs, exactement comme font les Hindous avec leurs dieux. Pour cela, il n’y a pas de mots plus justes pour qualifier les processions mariales ou celui du saint sacrement que l’adoration d’un objet qui n’est rien d’autre qu’une forme raffinée d’idolâtrie.

                                                                                        Les processions mariales s’identifient à celles du paganisme

       

                                                                                                                                                                    Yaoundé Août 1954/  église Saint-Nicolas, 1875/  Ganesa, dieu éléphant de l’Inde/Procession satanique 

 

Si vous le permettez, je dirai que la seule idole que Dieu a permis de forger fut le coffre sacré (l’arche de l’alliance en or) qui contenait la manne, les tableaux des dix commandements, les écrits de Moïse, le bâton d’Aaron qui avait fleuri, etc. (Exode 25 : 10-22 ; Hébreux 9 : 4-5). Deux anges s’y reposaient, de sorte que leurs ailes se touchaient. Même là, aucune instruction ne fut donnée de se prosterner devant ce coffre, quand bien même il était souvent rempli de fumée, de la gloire de Dieu. Ce détail nous aide à comprendre que le fait d’adorer le saint sacrement n’est pas biblique.

 

Depuis la mort de Jésus-Christ, La Bible nous autorise à entrer librement et directement dans la présence Dieu : « Ainsi, frères, nous avons la liberté d’entrer dans le lieu très saint grâce au sang du sacrifice de Jésus » (Hébreux 10 : 19). Mais la pédagogie catholique stipule que Dieu est sacro-saint et qu’il est mieux de passer par Marie. La Bible enseigne aussi qu’il y a un seul Dieu. Le seul médiateur entre ce Dieu et les hommes est la personne du Seigneur Jésus-Christ (1 Timothée 2 : 5). Mais la doctrine catholique confesse que la Vierge Marie est aussi médiatrice et même corédemptrice, ayant participé à l’œuvre du salut des hommes. Ainsi, sans le dire, à travers une vaine sagesse et de la philosophie, le catholicisme a divinisé cette dame par amour.

                                                                                                            L’humilité de notre mère


Lorsque l’archange Gabriel, le divin ambassadeur annonça à Marie qu’elle sera la mère du sauveur, elle répondit : « Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait comme tu l’as dit » (Luc 1 : 38). Comme vous le constatez, dès les premiers instants où le ciel entra en contact avec notre bien-aimée mère, elle précisa son credo et son plan d’action qui sont la soumission à la volonté de

Dieu et son engagement à servir dans l’humilité. En effet, durant sa vie sur terre, selon ce que rapportent les quatre Évangiles, elle accompagna son fils et prit soin de lui, à la manière d’une servante, sans jamais s’imposer. Telle est l’image que nous a laissée notre tendre mère. Mais la femme puissante qui apparaît sous le nom de la Vierge Marie réclame toujours que l’on bâtisse en son honneur des Églises. Elle s’offre donc les basiliques les plus somptueuses de la planète, et les chansons composées en son honneur sont les plus mélodieuses. À la manière des divinités égyptiennes et hindoues, elle réclame à être représentée par des statues, des images, des médailles, devant lesquelles elle invite les fidèles à se prosterner. Il y a des moments de fête en son honneur, célébrés notamment le 15 août. De plus, le mois d’octobre est entièrement consacré à Marie, et les fidèles catholiques du monde entier, à cette période, récitent le chapelet dans les Églises, dans les groupes de prières, en prenant soin de placer devant eux une représentation de la Vierge Marie…

Où se trouve alors l’humilité de notre mère lorsqu’elle se fait ériger des basiliques somptueuses ? Pourquoi des basiliques en son honneur et pas uniquement en l’honneur de son divin fils Jésus ? Pourquoi est-elle au centre de toutes ces manifestations religieuses, alors que nos regards devraient plutôt être orientés vers son fils ? Où se trouve l’humilité de la Mère du perpétuel secours, lorsqu’elle viole les préceptes de Dieu en se faisant adorer à travers des icônes ?

De son vivant, et même après sa mort, le Seigneur Jésus n’a jamais demandé la construction d’une Église en son honneur. Mais pourquoi la Vierge des apparitions fait-elle le contraire ? À qui revient la gloire ? À Dieu ou à Marie ? Pourquoi rivalise-t-elle d’ardeur avec Dieu en se faisant vénérer et adorer ?

Parlant de sa naissance, en tant que fils de Dieu, le Seigneur Jésus avait la possibilité de naître dans l’un des endroits les plus célèbres de la Rome antique. Mais il choisit de naître dans une étable, dans la mangeoire d’un animal. Dans sa naissance comme dans sa mort, il s’est fait très petit, il est descendu très bas. À la naissance du petit Jésus, la Sainte Famille de Nazareth n’a pas réussi à immoler un mouton pour la consécration de leur premier né à Dieu. Le couple était très pauvre et a simplement offert deux tourterelles. C’est ainsi que Dieu l’a voulu. La pauvreté, la simplicité, l’humilité. Depuis l’Ancien Testament jusqu’à l’Apocalypse, lorsque Dieu le Père apparaît ou lorsque son fils Jésus se manifeste, ou lorsqu’il envoie ses anges, nous remarquons qu’ils sont toujours vêtus de simples robes blanches. Toujours dans la simplicité ! Mais cette dame qui apparaît sous le nom de la Vierge Marie est toujours revêtue de précieux manteaux de Reine. Elle porte des couronnes en or et selon Myrna Nazzour, « elle brille de mille feux comme du diamant ». Dieu accorde-t-il autant d’importance aux vêtements et aux parures ? Les corps glorieux qui ont fait l’expérience de la résurrection ont-ils encore besoin de se parer de précieux habits multicolores et de bijoux comme ceux de la Dame des apparitions ? Le Seigneur Jésus de son vivant, ou son précurseur Jean le Baptiste, ont-ils accordé la moindre importance à l’habillement ?

L’avez-vous remarqué ?

Aucune des pages de nos Bibles ne fait état de la grande beauté de la Vierge Marie ni de celle de son fils Jésus-Christ. Pourtant, que ce soit à travers les images et les statues, dans les cantiques ou les apparitions, l’on ne tarit pas d’éloges sur la beauté légendaire et incomparable de Marie, de ses somptueux vêtements de reine et surtout des couronnes en or ouvragé qu’elle porte et qui font qu’elle brille comme du diamant. Comme par symétrie, c’est exactement les mêmes qualificatifs que La Bible utilise pour identifier et décrire Lucifer, le démon de l’enfer. Nous lisons : « … Tu as été un modèle de perfection avec ta grande sagesse et ton incomparable beauté. Tu vivais en Éden, le jardin de Dieu, et tu étais couvert de toutes sortes de pierres précieuses : rubis, topaze et diamant, chrysolithe, cornaline et jaspe, saphir, grenat et émeraude. Tu portais des bijoux et des joyaux en or ouvragé, préparés le jour même où tu fus créé (Ezékiel 28 : 11-13). De toute évidence, nous voyons dans cette description des ornements et des caractéristiques de femme de sorte qu’on est tenté d’assimiler Lucifer à une femme. Il y a aussi une étrange corrélation entre cette description de Lucifer et celle de la Vierge Marie telle que Myrna Nazzour nous la présente. Est-ce la même créature qui nous apparaît dans le catholicisme sous le nom déguisé de la Vierge Marie ? »

Lorsque nous reprochons au clergé catholique la grande attention accordée à Marie, il nous répond que Marie est simplement vénérée dans l’Église catholique, alors que l’adoration véritable y est réservée au Dieu Très-Haut. Pourtant, lorsque vous visitez les sites des apparitions mariales, vous constatez que c’est plutôt Marie qui est adorée et que le Bon Dieu reçoit très peu d’attentions. En effet, pour l’Europe de l’Ouest, plus de soixante-cinq pour cent des Églises catholiques sont concentrées sur le culte marial, et plus de cent millions de pèlerins chaque année visitent ces sites mariaux. Le Memorare que voici, en est une preuve tangible. Composée au XIIème siècle par saint Bernard, il s’agit d’une célèbre oraison dédiée à Marie et c’est par elle que toutes les prières dans le catholicisme se clôturent. Vous y verrez que Marie est appelée à exaucer les prières. Au même titre que Dieu :

Memorare, o piissima Virgo Maria

Souvenez-vous, ô Très miséricordieuse Vierge Marie, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance ou réclamé vos suffrages, ait été abandonné. Animé de cette confiance, ô Vierge des vierges, ô ma Mère, je viens vers Vous, et gémissant sous le poids de mes péchés, je me prosterne à vos pieds. O Mère du Verbe Incarné, ne méprisez pas mes prières, mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen.

                                                                                                                            QL’Immaculée Conception


Cette doctrine de l’Immaculée Conception est devenue un enseignement officiel de l’Église catholique en 1854. Elle professe que la mère du Seigneur Jésus est née pure et exempte de tout péché. Ceci serait une grâce spéciale de son divin fils qui l’aurait préservée de toute souillure depuis le sein maternel. La Bible dit pourtant le contraire. La Parole de Dieu nous explique que le sauveur est venu pour les pécheurs ; et Marie notre mère a reconnu que Dieu était son sauveur. Comme tout être humain, elle reconnaît donc sa nature pécheresse : « Mon âme loue la grandeur du Seigneur, et mon cœur est plein de joie à cause de Dieu mon sauveur » (Luc 1 : 46). Si elle était immaculée (sainte), elle n’aurait besoin d’aucun sauveur. Par conséquent, comme vous le constatez, cette doctrine de l’Immaculée Conception n’est pas biblique encore moins chrétienne.

                                                                                    Une preuve additionnelle sur les origines sulfureuses du culte marial

One-Evil.org nous apprend qu’en 1476, le pape Sixte IV a ressuscité un ancien culte païen des saducéens dédié à la déesse Cybèle. Ainsi, ce pape désigna le 8 Décembre comme jour de fête de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, Reine du Ciel. Ce pape fut un ancien élève d’une école satanique spécialisée dans le culte de la déesse Cybèle, la déesse mère.

Depuis ce temps, nous constatons que, subitement, la mère de Jésus est devenue la Reine du Ciel, sans qu’aucune prophétie ancienne ni un passage biblique ne lui attribue ce titre. Il s’agit là d’une substitution bien réussie car à cette époque, la déesse Cybèle, la divinité suprême qu’adorait le catholicisme se nommait la Reine du Ciel. C’est ainsi que cette entité luciférienne adorée par les empereurs romains depuis 205 avant Jésus-Christ, par la tricherie des papes satanistes, a usurpé l’identité de Marie, se faisant adorer sous le couvert de son nom.

À l’époque du prophète Jérémie, des siècles avant la naissance de la Vierge Marie, il y avait une divinité païenne qui se nommait « la Reine du Ciel » à qui les Israélites offrirent des sacrifices et offensèrent gravement leur Dieu (Jérémie 7 : 16-19). Cette divinité païenne a enfin trouvé le moyen de perpétuer son culte idolâtrique à travers le catholicisme !

Nota bene : Il est possible de passer toute sa vie dans le catholicisme sans entendre parler de Cybèle. Pourtant, Cybèle est la genèse du catholicisme et de la mariolatrie. Ce blackout est une conspiration du Vatican, une tentative réussie, qui a consisté à dissimuler les preuves sur les véritables origines du catholicisme. Mais gloire soit rendue à Dieu, car les archives qui constituent la mémoire de l’histoire nous ont permis de faire resurgir ces évidences camouflées.

                                                                                                                         La prière du Seigneur


Un jour, un des disciples du Seigneur Jésus lui demanda : Seigneur, enseigne-nous à prier comme Jean l’a appris à ses disciples. Jésus leur déclara : quand vous priez, dites : « Père que la sainteté de ton nom soit reconnue ; que ton règne vienne » (Luc 11 : 1). À cette époque, l’ange Gabriel avait visité Marie, il y avait environ trente ans. Il était donc possible de composer la prière mariale intitulée « Ave Maria ». Si cette prière ou le « Salve Regina » était nécessaire ou pouvait même servir à quelque chose, le Seigneur l’aurait enseignée à ses disciples. Mais nous constatons qu’aucune prière impliquant Marie ou un saint du passé ne fut enseignée ni par le Seigneur ni par ses apôtres. Paradoxalement, le Seigneur Jésus a interdit toute prière répétitive et formelle. C’est exactement ce que nous faisons dans la prière du rosaire, où le « Je vous salue Marie » est répété cent cinquante fois dans une brève période de trente minutes. Si vous dites trente rosaires par jour, comme nous avions l’habitude de le faire dans le groupe charismatique catholique, cela donne un total de quatre mille cinq cents « Ave Maria », en un jour de prière. C’est précisément de telles répétitions que le Seigneur Jésus a proscrites.

Depuis la création de l’homme jusqu’à la venue du sauveur, deux types de prières furent enseignées : la prière par les psaumes que le Seigneur Jésus lui-même a récitée, et le « Pater Noster ». Toutes les autres formes de prière doivent faire l’objet d’une grande méfiance, si nous voulons marcher dans la volonté de Dieu. Lorsque vous voulez prier, ouvrez votre cœur et parlez à Dieu tout comme on parle à son père. La récitation d’une formule composée n’est pas l’expression du cœur. Par expérience, je sais que la répétition rabâchée des « Ave Maria » ouvre les portes de votre corps aux démons qui, par ce biais, viendront ainsi prendre le contrôle de vos pensées. Une fois qu’ils sont installés dans votre corps, ce sera le point de départ des visions, des apparitions, de la prophétie, etc. Ces Ave Maria répétés ressemblent beaucoup aux mantras hindouistes et bouddhistes.

                                                                                                    Jésus s’oppose aux honneurs destinés à sa mère


Un jour, quelqu’un annonça au Seigneur Jésus : « Écoute, ta mère, tes frères et tes sœurs sont dehors et ils te demandent. » Jésus lui répondit : « Qui est ma mère et qui sont mes frères ? » Puis il regarda les gens assis en cercle autour de lui et dit :


«  Voyez, ma mère et mes frères sont ici. Car celui qui fait ce que Dieu veut est mon frère, ma sœur ou ma mère » (Marc 3 : 32-35). Cette attitude est fracassante et bouleversante de la part d’un Dieu. Mais elle est la clef d’une doctrine fondamentale dans le christianisme que les catholiques foulent aux pieds :

« L’écoute et la mise en application de La Parole de Dieu passent avant toute chose ». Un autre jour, une femme lui dit : « Heureuse est la femme qui t’a porté en elle et qui t’a allaité ! » Mais Jésus lui répondit : « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et lui obéissent ! » (Luc 11 : 27-28). Il n’y a rien d’injurieux dans ces passages, et la deuxième phrase est plutôt un éloge à l’égard de Marie et de son divin fils. Mais contre toute attente, une fois de plus, le Christ inverse l’ordre des responsabilités, des priorités et des intérêts. Il porte l’intérêt principal sur La Parole de Dieu et son application, et place sa mère et sa famille au second rang.

Dans ces passages, il est évident que le Christ n’a pas répondu favorablement à la requête de sa mère qui attendait de le voir. Alors, le fait d’enseigner que Marie est la mère du perpétuel secours et avocate plénipotentiaire des causes impossibles et désespérées est sérieusement remis en cause.

Au vu de ce qui se passe dans ce siècle, ces passages bibliques laissent croire que le Christ prévoyait qu’après lui, une tierce personne utiliserait frauduleusement le nom et l’identité de sa bien-aimée mère pour faire des miracles et égarer des âmes. Ayant la prévoyance sur les erreurs et intrigues à venir, le Christ aurait tenté de nous en préserver, en nous recommandant vivement de nous référer toujours aux enseignements bibliques plutôt que de faire des éloges à sa mère.

De son vivant, alors que son fils Jésus-Christ poursuivait encore son œuvre sur la terre, notre adorable mère, la très Sainte Vierge Marie n’a opéré aucun miracle. Comme toutes les femmes juives de l’époque, elle n’avait aucune autorité et devait garder le silence en public. Seuls le Seigneur Jésus et ses apôtres opéraient des miracles. Après la mort du Christ, qu’il soit ressuscité ou pas, ce serait loyal s’il réapparaissait pour accomplir des miracles. En effet, tout cela devait être une continuation logique de son œuvre. Par contre, ce qui me semble inapproprié et assez contradictoire, c’est le constat que c’est plutôt sa mère qui apparaît pour opérer des miracles extraordinaires après sa mort. Examinons-en quelques preuves.

                                                                                      Les instructions prémonitoires du Christ : la danse du soleil


De toutes les Églises chrétiennes ou soi-disant chrétiennes, seule l’Église catholique est inondée par une vague d’apparitions mariales, auréolées de miracles époustouflants. Prenons l’exemple du miracle sur la danse du soleil le 29 Octobre 1917 à Fatima (Portugal). Il y avait en ce jour près de soixante-dix mille personnes de toutes les classes sociales y compris des médecins et des journalistes portugais qui étaient venus critiquer les apparitions. Tous ont été témoins de ce que les paysans ont appelé « la danse du soleil ». En effet, les témoins et la presse certifient que le soleil s’est décroché du ciel et est descendu sur terre en faisant des zigzags et en tournoyant vivement sur lui-même. Alors, la nature et tous les témoins de ce miracle étaient couleur arc-en-ciel. Puis, feignant d’écraser les pèlerins, le soleil avait regagné sa position habituelle au ciel, sans nuire à personne. Par la suite, des miracles de guérisons spectaculaires étaient enregistrés.


                                                                                                                         Analyse du phénomène


Nous savons, grâce aux recherches scientifiques, que le soleil est né de l’explosion d’une supernova. Cette explosion a projeté les débris de terre dans un double mouvement circulaire et rotatoire. Par la suite, ces débris de terre, par la force des mouvements de rotation et par la fusion, ont donné naissance à toutes les planètes du système solaire. Le soleil qui se trouve au centre de toutes ces planètes les maintient sur orbite, grâce à l’énergie qu’il dégage. C’est cela la loi de l’attraction universelle ; et selon le docteur Richard Feynman (le cerveau de la bombe atomique), cette énergie qui maintient les planètes sur orbite est un mélange d’électromagnétisme et de quantum mécanique (quantum électrodynamique). Il y a aussi une énergie noire ainsi qu’une masse noire, toutes invisibles et qui rendent possibles la formation et les mouvements de ces planètes (34). Fort de toutes ces démonstrations de nos hommes de sciences, nous savons qu’il est impossible au soleil de quitter son orbite pour danser sur terre et remonter au ciel. Si cela advenait, les autres planètes quitteraient aussi leur orbite, et pourraient s’entrechoquer, pour produire ce résultat qu’est la fin du monde. Il n’existe au monde qu’un seul soleil. Alors, eût-il dansé, la moitié de la planète s’en serait rendu compte. Mais rien de tel ne fut reporté à l’échelle mondiale, puisque cette manifestation s’était localisée à Fatima.

Connaissez-vous la dimension du soleil ?

C’est une immense boule de feu qui mesure 1 392 000 km de diamètre, soit plus de cent fois la dimension de la terre. Et si cette boule s’approchait un tout petit peu de la terre, croyez-moi, toute vie serait réduite en cendre. On peut donc dire que, de toute évidence, la danse du soleil à Fatima était une simulation, une œuvre de puissance du Malin. Cela concorde parfaitement avec les avertissements du Seigneur Jésus sur le diable, en ce que celui-ci fera tomber le feu du ciel, à la vue des hommes (Apocalypse 13 : 13).

Le site Internet YouTube propose des enregistrements vidéo sur une autre danse du soleil (Medjugorje). Mais lorsque vous visionnez attentivement ces vidéos avec l’œil du 21e siècle, vous vous rendez compte que ce miracle était tout simplement un phénomène d’ufologie. Ce phénomène revêt les caractéristiques d’une savante orchestration des ovnis, consacrée à la ruine des âmes. Les personnes obnubilées par la recherche non biblique du Salut divin se trouvent être les plus exposées à cette séduction.

Nota bene : La science démontre que ce que nous voyons peut être une illusion. Lorsque nous observons un objet, son image est projetée à l’inverse dans notre cerveau, grâce à la rétine, et alors nous pouvons voir. Ce phénomène n’est qu’une interprétation du cerveau. Et lorsque des entités supérieures (divinités, anges, démons, extraterrestres, etc.,) projettent des images ou des scènes dans nos cerveaux, grâce à leurs technologies avancées, alors, nous verrons ce qu’ils veulent que nous voyions. Les apparitions, les visions et même certains rêves (collectifs ou individuels) peuvent être une savante manipulation des démons.

                                                                                                                    Pourquoi Marie ?


Pourquoi la Vierge Marie fait-elle danser le soleil ? Pourquoi une telle démonstration de force de sa part ? Le Seigneur Jésus a-t-il fait danser le soleil afin de démontrer qu’il était le fils de Dieu tant attendu ? A-t-il perturbé le mécanisme des astres afin de s’attirer l’attention des hommes, et, en conséquence, sauver leurs âmes ? Pourquoi n’a-t-il pas secoué les planètes pour démontrer que c’est lui le créateur de cet Univers impressionnant ? Vu l’importance de la mission du Seigneur pour l’humanité, c’aurait été un devoir impératif pour lui de convaincre les hommes de son époque qu’il est le sauveur, le Roi des Juifs, en accomplissant, bien sûr, de tels miracles. Et assurément, de telles méthodes seraient fort efficaces pour la conversion de millions de pécheurs. Mais Jésus-Christ ne le fit pas. Pourquoi ? Eh bien, c’est parce qu’en créant ces planètes, il avait établi leur rôle, qui ne saurait être celui de se livrer à la danse. Celui qui fait donc danser ces planètes opère un faux miracle, une puissante illusion qui échappe au contrôle de nos cinq sens.

Oui, quelque chose a certes dansé à Fatima, mais ce n’était pas le soleil. Sur le site lespapes.net (Fatima, le mensonge grotesque), il y a des témoignages gênants qui démontrent que la danse du soleil à Fatima était plutôt un ovni (un engin spatial d’origine extraterrestre). Un des témoins de l’époque fut M. José Proënça de Almeida Garrett, professeur de médecine à l’Université de Coimbra. Il décrit cet engin de la manière suivante : « Il apparaissait comme un disque plat et poli, taillé de nacre d’une coquille. Il ne ressemblait pas non plus à un soleil contemplé à travers le brouillard, il n’y en avait pas à ce moment-là, car il n’était ni obscurci, ni diffus, ni voilé, il se dessinait nettement avec un bord taillé en arête comme une planche à jeux… »

Lorsque Satan dit au Seigneur Jésus : « Si tu es le Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de se changer en pain (Luc 4 : 3). A-t-il opéré ce miracle ? Non ! Pendant son agonie sur la croix, Satan réitéra ses attaques en utilisant une tierce personne avec les mêmes propos : « Si tu es le Fils de Dieu / si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même / Que le Messie, le roi d’Israël descende maintenant de la croix ! Si nous voyons cela, alors nous croirons en lui. » (Matthieu 27 : 40 ; Luc 23 : 37 ; Marc 15 : 32). Le Seigneur Jésus est-il descendu de la croix afin de confirmer son identité ? Bien sûr que non. La mission et l’humilité du Fils de Dieu ne lui permirent pas de condescendre aux requêtes du Malin. Mais cette Dame qui se présente sous le nom de la Vierge Marie secoue les astres sans qu’il ne lui soit demandé un miracle quelconque.


                                                                                                                       Le miracle des flammes


Dans l’Église catholique, on enseigne que, plusieurs fois, des incendies ont entièrement consumé des maisons. Curieusement, les images de la Vierge Marie qui s’y trouvaient n’ont même pas été effleurées par les flammes (26). Lorsque nous demandons le sens de tels miracles du feu, le clergé nous répond que c’est Marie qui a écrasé la tête du serpent, et c’est pour cette raison que les démons ont un respect sacré pour elle. Bien que La Bible ne l’ait dit, nous pouvons noter néanmoins que, dans l’Église catholique, Marie porte bien le titre de « terreur des démons ». De même, lorsque vous entrez en contact avec les esprits méchants, parlez-leur du Seigneur Jésus, et j’en sais quelque chose, vous verrez qu’ils n’hésiteront pas à l’injurier et à le mépriser. Parlez-leur de Dieu le Père, et vous verrez qu’ils le railleront. Parlez-leur des archanges Michel, Gabriel ou Raphaël, et vous remarquerez qu’ils n’hésiteront pas à les traiter de lâches, etc. Mais lorsque vous leur parlez de la Vierge Marie, vous serez étonnés de leur réaction : un silence total. L’Abbé Meirad P. Hebga rapporte une telle expérience dans son livre « Sorcellerie et prière de délivrance » page 116 Inades édition. Le père Tardif du Canada, pendant ses conférences, rapportait aussi que lorsque la prière s’avérait inefficace pour délivrer une personne sous l’emprise des démons, il avait souvent recours à la récitation du chapelet (Ave Maria), et le résultat était efficace. Aujourd’hui, jedéclare que cette interprétation n’est pas conforme à la doctrine biblique. Pour s’en convaincre, vous admettez avec moi que les démons sont tous des hors-la-loi. S’ils peuvent mépriser Dieu le Père et son Fils unique Jésus-Christ, alors ils ne se feront pas de souci pour la mère de Jésus-Christ. Les démons n’obéissent qu’à leur maître et n’ont de respect que pour Lucifer. S’ils respectent Marie, il y a de fortes chances que cette femme qui se présente sous le nom de Marie soit le diable en personne, sous une fausse identité, le démon de l’enfer déguisé en ange de lumière. C’est la raison pour laquelle elle viole les lois de Dieu en invitant les hommes à se prosterner devant ses idoles.

                                                                                                                         Notre dame de Yagma


J’ai toujours fait des reproches aux protestants et aux témoins de Jéhovah pour leur passivité au sujet des apparitions mariales malgré tous ces puissants miracles qui les accompagnent. Il y a vingt ans de nos jours, j’ai vivement polémiqué avec un pasteur protestant, âgé d’une cinquantaine d’années. La polémique que j’ai engagée concernait les événements mariaux. Ce pasteur avait conclu les débats par cette observation : « Peut-être que vous, catholiques, avez raison ; peut-être que cette dame des apparitions est la mère du Seigneur Jésus. Mais, en tant que protestants, nous nous éloignons de ces choses, car nous savons que le diable peut se présenter en ange de lumière et perdre des âmes par des miracles pseudo-chrétiens. Mais lorsque nous serons au ciel, nous interrogerons le Seigneur sur ces événements, et alors nous saurons toute la vérité. Pour l’instant, nous ne prenons pas le risque de vendre notre âme au diable ». Sur ce fait, j’ai trouvé sa réponse très sage.

Le deuxième choc m’est venu de ma propre Église. En 1986, la Vierge Marie est apparue plusieurs fois à une jeune fille nommée Marie-Rose, sur une colline dans le village de Yagma, à quelques kilomètres de la capitale de mon pays. Depuis lors, ces événements attirent beaucoup de personnes. Le Pape Jean-Paul II a célébré une messe sur cette colline qui est devenue officiellement un lieu de pèlerinage international. Pour moi, cette visite papale est un acte du plus haut degré de reconnaissance des apparitions mariales au Burkina Faso. Le chef spirituel mondial de l’Église catholique ne serait jamais monté sur cette colline pour célébrer une messe, s’il avait à cœur le moindre doute sur l’authenticité des apparitions. Mais de graves irrégularités ont fait irruption, enlaidissant la beauté de ce culte marial burkinabé : la voyante a fait circuler dans la foule une poudre noire sous la forme d’un encens. Cette poudre lui aurait été donnée par la Vierge Marie.

J’ai moi-même obtenu cette poudre par l’entremise du responsable du groupe charismatique de ma paroisse. Je me suis interrogé sur l’authenticité de cette poudre sans qu’on ne prenne la peine de m’écouter. Alors, je suis parti nuitamment sur la colline des apparitions pour prier. J’ai pris l’habitude d’y faire des veillées de prière, une fois par mois, lorsque je suis en visite dans la capitale de mon pays. Quoique cela puisse paraître bizarre, au lieu de dormir à la maison, je préférais dormir sur la colline des apparitions, afin d’être près de la Madone. Ce jour-là, à une heure du matin, j’ai allumé des cierges, puis j’ai jeté cette poudre sur les flammes. Alors, au lieu de prier selon mes habitudes, un lourd sommeil s’abattit impitoyablement sur moi. Dans une vision, j’avais entendu le grognement d’un animal, on aurait dit un monstre qui menaçait de me dévorer. J’avais alors fui mon bivouac de la colline, et j’ai rendu compte au responsable du groupe charismatique de ma paroisse. Plus tard, nous fûmes choqués d’apprendre que la voyante a fait deux avortements consécutifs, et selon les rumeurs, le clergé de la localité serait impliqué dans ce scandale sexuel. Chez nous, il n’y a pas de fumée sans feu et de telles rumeurs sont des vérités qu’on tente d’étouffer. Il y eut des disputes entre le clergé, la voyante et les garantes de la voyante sur l’authenticité des apparitions ; et ce fut le moment où j’ai commencé à soupçonner une possible implication du Malin dans les apparitions mariales. J’ai alors commencé à douter de l’identité réelle de cette femme qui se présentait sous le nom de la Vierge Marie, Reine du Ciel.


                                                                                                                         Myrna Nazzour


Les apparitions de Marie revêtent souvent une forme de violence et de brutalité. Les voyants ne s’attendent jamais à une visite de la Madone ; et lorsqu’elle apparaît, ils sont apeurés et prennent la fuite comme on fuit un serpent. On observe cela chez Mr I., un des voyants de Yougoslavie (12). De même, le 15 Décembre 1982, pendant qu’une foule de croyants priait devant l’icône de la Vierge Marie, Myrna parla de son apparition de la manière suivante : « J’ai senti soudainement quelque chose qui me tirait la main vers le haut de la terrasse. J’ai senti une force invisible qui me poussait et j’étais effrayée… Je me suis agenouillée sur le sol en tremblant, le visage contre le sol. Lorsque j’ai relevé ma tête, j’ai aperçu la Vierge Marie en face de moi. Elle brillait comme si elle était couverte de diamants. J’étais effrayée et je me suis sauvée en criant… » (14).

Une huile dite sainte coule souvent de l’icône de la Madone ; et souvent elle coule aussi des mains de Myrna. Mais un jour, Myrna fit cette prière devant le Père Elias Zahlaoui : « Oh ! Sainte Vierge Marie, ne permets plus que l’huile coule de mes mains, mais seulement de ton icône. Les gens viennent ici à cause de toi et non à cause de moi ». Après avoir dit cette prière, elle annonça au Père Zahlaoui : « Père, on dirait que la Vierge est rentrée dans mon corps ». Et soudainement, l’huile s’est mise à couler abondamment des mains de Myrna comme une éponge engorgée d’huile (14).

Au sujet de ces faits, je voudrais faire quelques observations. Lorsque le Seigneur Jésus marchait sur l’eau vers ses disciples, ceux-ci eurent peur, car, à leurs yeux, cela se produisait pour la toute première fois. Il y avait effectivement de quoi avoir peur, et de croire à un fantôme, surtout que cela avait lieu la nuit (Matthieu 14 : 25-33). Mais après sa résurrection, lorsque Jésus-Christ est apparu plusieurs fois à ses disciples, personne n’a pris la fuite par peur. C’était toujours une expérience merveilleuse de paix. Pourquoi donc les apparitions mariales font-elles si peur ? D’une part, on constate que Myrna n’est pas à l’aise avec le phénomène d’apparition de la Vierge. Elle ne l’a pas désiré, car on la voit trembler, crier et se sauver. D’autre part, on voit La Vierge qui force la situation malgré le rejet apparent qui s’affiche dans l’attitude de la jeune dame. Malgré cette répulsion avérée, La Vierge apparaît quand même et s’impose. À mon avis, le cas de Myrna ressemble plutôt à une prise d’otages.

Lorsque Myrna implora la Madone de ne plus laisser l’huile couler de ses mains, le contraire se produisit aussitôt. Pourquoi violer la volonté de cette jeune dame ? L’observation la plus importante est que, dans le miracle de l’huile, la voyante témoigne que la Vierge est rentrée dans son corps ; et seulement quelque temps après, l’huile s’était mise à couler de ses mains. Cela ressemble à une forme de possession temporaire, même si des miracles éclatent par la suite. Ni les apôtres du Christ, ni les évangélistes d’aujourd’hui qui ont opéré des miracles ne disent avoir été possédés de cette manière. Ils font une prière, et Dieu en réponse fait éclater des miracles. L’expérience du baptême du Saint-Esprit est complètement différente de ces modèles de possession.

Dans nos Églises, les fidèles font de longues prières accompagnées de longs jeûnes. Ils tendent les mains vers le ciel et implorent Le Saint-Esprit de descendre sur eux. Mais il ne descend pas si facilement. Pourtant, dans le cas de Myrna, sans qu’elle n’invoque La Madone, et même lorsqu’elle affiche une attitude antipathique, La Madone apparut tout de même, et par la suite, les stigmates accompagnés de leurs terribles souffrances apparurent également sur son corps. De guerre lasse, elle dut finir par accepter sa nouvelle vie.

Au cas où vous désireriez observer de vos propres yeux, une stigmatisée en agonie ou une statue de Marie en larmes de sang, en vue d’une analyse personnelle, je vous recommande deux adresses Internet :

http://lalumierededieu.eklablog.com/naju-en-coree-apparitions-de-la-vierge-et-jesus-p51904

http://fr.najumary.or.kr/

                                                                                            La Vierge Marie face aux malheurs


Les apparitions mariales sont auréolées de malheurs. Oui, elles sont toujours soit précédées de malheurs, soit suivies de malheurs ou constituent l’épicentre même des malheurs. Vous passerez en revue tous les pays où ces apparitions ont eu lieu et vous constaterez qu’elles sont jalonnées presque partout de guerres, de révolutions, de pandémies, etc. Curieusement, presque toutes les prédictions de malheur annoncées par la Vierge Marie se sont réalisées sans que les nombreuses prières qui lui furent adressées ne soient capables de les conjurer. Est-elle peut-être liée à ces malheurs ?

                                                                                                       Exemples de malheurs


En Septembre 1665, une jeune fille, Benoîte Rancurel qui gardait les moutons, eut l’apparition d’une dame majestueuse portant un bel enfant dans ses bras. Cette dame était la Vierge du Laos. Elle voulut la construction d’une chapelle en son honneur, et annonça que, plus tard, le démon fera une guerre violente à la bergère. Elle prédit aussi que, par la suite, elle portera des stigmates et endurera des douleurs les vendredis. En effet, ces malheurs survinrent. Le 19 Juillet 1830, la Vierge Marie, à travers de chaudes larmes, révéla à Catherine Labouré qu’en France, les rues seront pleines de sang, dans un délai de quarante ans. Effectivement, en 1870, la guerre éclata en France, et le sang coula dans les rues. Beaucoup de prêtres furent tués par les communards. Monseigneur, l’archevêque Darboy fut fusillé. En Septembre 1846, lors de son apparition à La Salette, elle annonça des malheurs futurs et précisa que ceux déjà arrivés l’année précédente provenaient de Dieu. Le 19 Juillet 1870, Napoléon III déclara la guerre à la Prusse. L’armée française connut des défaites et sa capitale fut assiégée. En Janvier 1871, l’armée prussienne, commandée par le général Von Schmidt, était aux portes de Laval. Il faisait face au général Chanzy qui l’empêchait de prendre la ville. Pendant que cette guerre faisait rage, toute la France fut frappée par de redoutables épidémies de fièvre typhoïde et de variole. La mort était omniprésente. Au cours de ces moments pathétiques, la Vierge Marie apparut à quatre jeunes enfants, dans un petit hameau appelé Pontmain, aux confins de la Bretagne et de la Normandie. En 1914, éclata la Première Guerre mondiale, et en automne 1918, presque à la fin de la guerre, la Vierge apparaissait à Fatima au Portugal. Elle annonça d’autres malheurs, et immédiatement toute l’Europe fut frappée par une épidémie de grippe. On a dénombré cinquante millions de morts y compris les voyantes. Après cela, la Deuxième Guerre mondiale éclata et plus de soixante millions de personnes furent tuées. Sur la chaine de télévision américaine History Channel, les chercheurs affirment que la grippe qui tua les cinquante millions d’Européens après le phénomène de Fatima était d’origine extra-terrestre. De même, la peste noire qui décima les habitants du moyen âge, la peste justinienne, etc., apparurent seulement après des phénomènes spatiaux similaires à ceux de Fatima. Des virus laissés sur terre par ces visiteurs venus de l’espace. En 1981, la Vierge Marie apparut au Rwanda, et annonça des malheurs futurs. Dès 1990, une guerre éclata, et le génocide ravagea entre huit cents mille et un millions de personnes, y compris deux des voyantes. La même année, à partir de Juin 1981, la Vierge commença ses apparitions dans le village de Medjugorje (Bosnie-Herzégovine). En Avril 1992 débuta une guerre sanglante en Bosnie, conséquence de la dislocation de la Yougoslavie, elle-même liée à la chute des régimes communistes en Europe de l’Est. Sous les regards de la Vierge, les premières estimations (revues à la baisse) faisaient état de 200 000 à 260 000 morts. Dès après l’apparition de la Vierge Marie au Maghreb (Liban, Égypte, Syrie), tous les pays arabes furent embrasés par des révolutions et des guerres sanglantes. Par exemple, en Décembre 1982, la Vierge Marie est apparue à Myrna Nassour, à Damas en Syrie. La voyante devint une stigmatisée légendaire, mais trente ans plus tard, lors du printemps arabe, la Syrie devint un champ de guerre et tout le pays, un tas de ruines. En Mars 2014, les vingt-trois millions d’habitants que comptait la Syrie étaient la proie à la famine, aux épidémies, aux bombes, aux attaques chimiques de tout genre, etc. À cette date, les Nations Unies recensaient plus de cent quarante mille morts et près de trois millions de réfugiés ou de déplacés. Quant aux blessés, ils se comptaient par millions, alors que le conflit était bien loin de s’essouffler, l’opposition aussi bien que le pouvoir se livrant à la course aux armes.

Pourquoi se trouve-t-elle toujours au milieu des malheurs et pourquoi son intercession est-elle toujours inefficace ? Pourtant, n’est-elle pas l’avocate des causes impossibles et désespérées ?

Si Marie est la mère du perpétuel secours et avocate plénipotentiaire des causes impossibles et désespérées, alors, pourquoi a-t-elle abandonné les Rwandais qui comptaient sur son intercession et qui ont consacré de longues heures à réciter le chapelet ? Pourquoi le génocide eut lieu, bien que le peuple rwandais, catholique fervent, comptât désespérément sur le secours maternel ? Pourquoi plus de huit cent mille personnes ont été sauvagement massacrées, sous les yeux de Marie qui, malgré les prières relativement longues qui lui ont été adressées, n’a pas levé son doigt pour conjurer ce malheur ? Pourquoi le sang des voyantes a été versé et pourquoi ont-elles été sauvagement massacrées et mutilées, elles, les porte-parole de Marie ! Selon toute évidence, ce n’est pas la paix et le bonheur que la Vierge Marie apporte lors de ses apparitions, mais plutôt des guerres et des épidémies.

Jésus-Christ ne s’est jamais mêlé de guerres politiques. Pourtant sa nation était en guerre contre les romains qui occupaient leur terre. Il arrivait que plus de mille Juifs fussent crucifiés le même jour et les rapaces s’abattaient sur leurs corps suspendus à la croix sans que personne ne puisse les secourir. Jésus-Christ a observé ces épouvantes pendant toute sa vie sur terre sans jamais intervenir. Lorsque sa nation voulait le saisir et le faire roi, l’ayant su, il s’est éclipsé. Contrairement au Christ qui ne s’est pas mêlé de guerre politique, cette dame des apparitions apparaît toujours dans les guerres politiques et son identité doit être sérieusement remise en cause.

L’intervention de Dieu est infaillible lorsqu’il est invoqué. La Bible fait l’éloge de ses brillants exploits chaque fois que son peuple est sur le point d’être exterminé par un ennemi quelconque. Alors, si la femme des apparitions venait de Dieu, pourquoi n’a-t-elle pas été capable de conjurer ce génocide annoncé longtemps à l’avance ? La faillite de l’intercession mariale pour le Rwanda m’a permis de découvrir davantage le subterfuge du Malin qui se présente sous le nom de Marie.

Les cimetières et les ossements humains sont des terrains de prédilection où Satan savoure sa victoire sur la race humaine. Le diable hait le Dieu Très-Haut, mais ne peut ni l’approcher, ni le nuire. C’est pour cela qu’il s’acharne sur l’homme qui est créé comme image visible du Dieu invisible. Son objectif principal est de saboter les œuvres merveilleuses de l’Éternel. Après une guerre ou une pandémie, les morts se comptent par milliers ; et cette Dame qui nous apparaît sous le nom de Marie pourrait bien être Lucifer en personne qui vient conduire les hommes sur une fausse piste d’intercession, sachant bien qu’il a déjà planifié son massacre. Le culte marial étant un culte idolâtrique, une horreur pour le Dieu des armées, voici de quoi éloigner le Tout-Puissant de ces intercessions hérétiques, laissant le terrain libre au Malin pour commettre tranquillement ses meurtres.


                                                                                          La puissance et l’infaillibilité de Dieu dans l’histoire


Lorsque Sennachérib, le roi d’Assyrie, avec sa puissante et indomptable machine de guerre, s’apprêta à écraser Jérusalem, le roi Ezéchias invoqua l’Éternel son Dieu qui lui répondit par le prophète Ésaïe. La même nuit, l’ange du Seigneur combattit pour son peuple, et tua cent quatre-vingt-cinq mille soldats assyriens et rendit ainsi l’invasion impossible (Ésaïe 36 et 37). De même, au temps du prophète Élisée, lorsque les Syriens encerclèrent la Samarie, le siège fut long et désastreux, au point que certains Israélites affamés mangèrent leurs enfants pour ne pas mourir de faim. Il a suffi d’un petit acte de la part du Seigneur de l’impossible, pour mettre fin au siège et secourir son peuple. Il fit simplement entendre le bruit d’une puissante armée équipée de chevaux et de chars. L’armée syrienne pensa que la Samarie avait payé les Hittites et les Égyptiens pour les combattre. Alors, pris de panique, ils abandonnèrent le siège et s’enfuirent pour sauver leur vie. Ils abandonnèrent derrière eux leur camp bondé d’animaux, d’aliments, ainsi que tout leur trésor. Par ce geste apparemment dérisoire, le Seigneur mit fin à ce long siège (2 Roi 7 : 6-7).

De tels exemples sont légions dans La Bible et démontrent que Le Dieu d’Israël est puissant, et qu’il est capable de se défendre et de protéger ses enfants qui l’invoquent d’un cœur sincère. Si les prières adressées à maman Marie étaient approuvées par Dieu, alors elles auraient été efficaces. Mais la réalité est que ces prières sont inexaucées, et la race humaine en paie un lourd prix.

Pour obtenir les faveurs du Bon Dieu, il ne s’agit pas de seulement prier, car même les démons, les personnes sataniques et les païens prient. Pour être exaucé, il faut le prier suivant son plan et selon son instruction et sa volonté. Autrement dit, il boucherait les oreilles et ne se laisserait pas fléchir (Isaïe 1 : 15).


                                                                                                                   Les gloires de Marie


On a toujours parlé des gloires de Marie, mais jamais on ne fait mention de ses échecs. Pourtant, beaucoup de personnes ont eu recours au secours marial et ont été profondément déçues. Les exemples ci-dessus cités sont assez éloquents. Je voudrais citer aussi mon propre exemple et celui de mon entourage dans notre groupe de prière charismatique : six fois, je me suis agenouillé devant l’impressionnante statue de la Vierge Marie au 48 rue du Bac, Paris. Cinq fois, j’ai été en pèlerinage à Lourdes et j’ai imploré le secours marial à la grotte de la Massabielle. Après les prières de la grotte, je passais des heures au cimetière de l’Angel de Lourdes sur la tombe du père Jacomo Fillon d’Udine, un pieux religieux qui est mort en odeur de sainteté et dont la tombe attire beaucoup de pèlerins… Non seulement je priais pour moi, mais aussi pour des frères et sœurs catholiques de ma paroisse qui ne pouvaient se payer le voyage et qui m’ont remis leurs requêtes écrites sur du papier. Nos prières sont demeurées inexaucées, bien que ces requêtes fussent des cas sociaux désespérés. Je n’oublierai pas le cas de plusieurs paroissiens qui ont jeté leurs puissants fétiches pour se consacrer à la prière mariale et qui, des suites de profondes déceptions, sont repartis vers ces fétiches. Ces catholiques pratiquent maintenant un christianisme hypocrite, car ils consultent des charlatans et ont érigé des autels sataniques dans leurs maisons. Inutile de mentionner ici les déceptions de la patronne du groupe de prière charismatique (une personne très pieuse) qui, de nombreuses fois, a fini par dire des phrases comme : « Jésus ne connaît pas la honte ; il est difficile de suivre Jésus… ». Ces mots sont le résultat de tant de prières inexaucées ! Pourtant, notre groupe de prière charismatique était le plus célèbre à l’échelle nationale, et les gens venaient de loin nous consulter. Nous étions de vrais adorateurs de Marie ; et il était difficile de nous concurrencer sur ce terrain du culte marial.

Ceux qui se vantent d’avoir été exaucés par Marie devraient d’abord examiner leurs talents, et voir s’ils ne sont pas les artisans de leur propre réussite. Oui, les efforts humains, la grâce de Dieu et les circonstances de la vie suffisent, des fois, à réaliser de grands rêves, sans le concours des êtres célestes. Les célébrités de ce monde ne fléchissent jamais les genoux, cependant, ne réussissent-ils pas, souvent, mieux que ceux qui prient ?

                                                                                                                La dévotion du premier samedi du mois


Lors de son apparition à Fatima, la Très Sainte Vierge Marie a institué une nouvelle dévotion qui doit se faire tous les premiers samedis du mois. Cette dévotion consiste à consacrer le monde entier au cœur douloureux et immaculé de Marie. Selon notre mère du ciel, la Russie communiste dominera le monde et beaucoup de nations seront rasées. Même le Pape en souffrirait. Mais si cette dévotion était assidûment observée, son cœur immaculé triompherait, le communisme soviétique connaîtrait la chute et une période de paix sera accordée à la terre. Nous avons observé cette dévotion mariale jusqu’à la chute du communisme soviétique et nous continuons de prier. Le communisme soviétique est un système politique qui fait de l’athéisme son cheval de bataille. Toute religion y est considérée comme de l’opium, une sorte de drogue qui endort le peuple. Par conséquent, la religion y est appelée à disparaître. Dans les pays communistes, les églises sont ainsi transformées en salles de théâtre ou de cinéma, en magasins de stockage de vivres ou de munitions… Les serviteurs de Dieu ainsi que les chrétiens sont torturés, tués ou déportés. Puisque le communisme est incompatible avec la foi chrétienne, il pourrait donc être d’origine satanique. Comme la Vierge Marie a prédit sa chute, et a proposé une méthode qui a triomphé sur l’avancée communiste, alors, elle est toute puissante et son œuvre rend gloire à Dieu. Néanmoins, observons les choses sous un autre angle, car des fois, le véritable sens des choses est souvent voilé, et la façade qu’on nous présente est toujours de la mascarade. Supposons que cette Dame qui se présente sous le nom de la Vierge Marie soit en réalité le diable qui prend l’apparence d’un ange de lumière, dans le but de nous égarer loin du vrai christianisme, quel mensonge peut donc se cacher dans cette dévotion qui aurait provoqué la chute du communisme soviétique ?


                                                                                                                    La portée politique de la dévotion


Jusqu’alors, le monde était divisé en deux grands blocs bipolaires et antagonistes : le capitalisme à économie libérale, avec les USA en tête, et en face, le communisme de l’U.R.S.S. Ces deux systèmes politiques étaient incompatibles et chacun s’efforçait de phagocyter l’autre, afin d’imposer au monde son idéologie. Il était donc prévisible et inéluctable qu’un des systèmes viendrait à disparaître. Bien que le communisme ait connu une prédominance dans certains domaines de la technologie (le spatial), ses fondements étaient néanmoins menacés, à cause de la faiblesse de son économie et de l’austérité de sa politique. Surtout avec un rival aussi puissant, prospère et impitoyable que le capitalisme, la chute de ce système politique était prévisible, sans même le concours de la prière.

                                                                                                                        La portée spirituelle de la dévotion


Les systèmes politiques et religieux sont toujours de connivence. Dans le communisme, l’accent est mis sur l’action commune pour l’intérêt du peuple. L’intérêt personnel et les évasions spirituelles sont de facto caducs. L’interdiction des religions fut un ferment pour le communisme athée et un refuge pour le Malin. La chute de ce système représentait une grande défaite pour Satan qui cherchait à supprimer toute religion de la planète. Satan connaît aussi les plans de Dieu et savait que le communisme qui est sa religion allait bientôt s’écrouler. Alors, ne pouvant plus combattre la religion par un système politique athée, il était donc obligé de tolérer une religion dans laquelle sa présence sera toujours effective : les idoles. C’est ce qui expliquerait la tolérance facile et le succès du catholicisme orthodoxe dans les pays de l’ex-U.R.S.S. Nul doute que l’Église catholique a combattu le communisme. Toutefois, l’on peut constater qu’à la chute de ce système politique, c’est la Vierge Marie qui apparaît et occupe le terrain par un culte idolâtrique. Juste de quoi ôter au christianisme sa valeur spirituelle en l’éloignant de Dieu. Ainsi donc, l’Église devint le nouvel instrument efficace pour la perte des âmes, un nouveau cheval de bataille pour Lucifer à travers l’iconographie : au lieu d’adorer Dieu, les hommes choisirent de se prosterner devant des images et des objets taillés, prétendant ainsi adorer le Créateur.

L’Église catholique depuis ses origines était la représentation officielle du christianisme. Le Malin a essayé en vain de détruire le christianisme dès sa naissance, en tuant le maximum de chrétiens, à travers les persécutions orchestrées par les empereurs de Rome. Et vu qu’il était plutôt florissant, alors, le Malin changea de méthode. Satan est parvenu autrefois à faire tomber le judaïsme par l’idolâtrie et la fausse religion, de sorte que les Hébreux, au lieu d’entrer dans la terre promise, jonchèrent le désert de leurs cadavres. L’idolâtrie est donc une arme efficace qui enflamme la colère de Dieu. Le diable, une fois de plus a appliqué cette même méthode avec le catholicisme, par l’introduction d’une fausse mère qui remplira l’Église d’idoles : c’est donc le même diable, avec les mêmes ruses et le même résultat efficace, tant dans le judaïsme que le catholicisme.

                                                                                                               La tentative d’usurpation


La dévotion sur la consécration du monde à Marie doit se faire tous les premiers samedis du mois. Cependant, nous savons que le samedi est le jour du sabbat qui est le jour de repos consacré par l’Éternel. En ce jour, aucune entreprise ne devait être menée. Même allumer du feu pour cuire un repas était interdit. C’est le jour du Seigneur, et c’est le jour du repos total. Toute personne qui ramasse même un simple bois pour cuire son repas en ce jour devait être mise à mort, selon la loi de Moïse (Exode 31 : 14). Pourquoi cette Dame du Ciel viole-t-elle le repos sabbatique, pour imposer, en ce jour, une dévotion qui oblige les gens à profaner son caractère sacré et spécifique ? Pourquoi avoir choisi le jour de repos du Seigneur pour que le monde lui soit consacré ? Le monde appartient déjà àDieu, et toute personne qui veut se consacrer au Dieu des chrétiens le fait par le moyen de la conversion pour laquelle le baptême est un parfait témoignage. Toute personne ou entité spirituelle qui veut donc que le monde lui soit consacré apparaît comme un rival ou un ennemi de Dieu. Si la Vierge Marie des apparitions demandait que le monde fût consacré à Jésus-Christ ou au Dieu Jéhovah, cela aurait été acceptable. Mais qui est-elle pour que le monde lui soit consacré ? Voyez, c’est une vieille ruse : Adam et Ève ont donné à Satan toute la création, en lui obéissant dans Éden. Le sacrifice de Jésus à la croix mit fin à cette transaction illicite. Aujourd’hui, la Vierge Marie demande aux hommes de lui consacrer (offrir) le monde de nouveau. Si cette femme venait de ce Dieu à qui le monde appartient, alors, elle n’aurait pas besoin que le monde lui soit de nouveau consacré. Il s’agit là d’une tentative d’usurpation.

Pendant le repos du Seigneur, au septième jour après la création, Satan entra en jeu et pervertit l’œuvre de création en y introduisant la barbarie (voir mon livre » la création du septième jour » (59). Et si le monde se porte si mal, c’est à cause de cette activité diabolique pendant le repos du Seigneur. Cette nouvelle dévotion mariale imposée pendant ce jour sacré du sabbat porte clairement la signature du dieu de ce monde.


                                                                                                                        Les apparitions


Le christianisme est l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ. Ce ne sont pas les apparitions mariales qui auraient donné naissance à cette religion. Si toute apparition d’êtres célestes provient forcément du Dieu d’Abraham, alors tous ceux qui croient aux apparitions mariales feraient mieux de se convertir aux nouvelles religions qui sont nées par suite d’apparitions d’anges.

Après la mort du Seigneur Jésus, le christianisme a tenu bon malgré les persécutions. Il était florissant sans le concours de Marie. Les apparitions mariales n’ont pas posé les fondements du christianisme. Elles sont apparues comme une gangrène qui ronge le christianisme et divise les enfants de Dieu. Elles sont comme un cancer qui obère la crédibilité de la foi catholique. En effet, les Églises évangéliques ne considèrent plus l’Église catholique comme une Église chrétienne,

à cause des idoles et des pratiques non bibliques. Pourtant, l’Église catholique demeure ferme et imperturbable. Elle affirme être l’Église apostolique, le leader de toutes les Églises chrétiennes. Et pourtant !

Je ne trouve pas utile de faire la promotion du culte marial ainsi que tous les phénomènes miraculeux qui l’accompagnent. La Bible enseigne clairement que seule la foi en Christ Jésus peut sauver l’âme. Ainsi donc, votre Église, votre dénomination et toutes ses œuvres de puissance ne sont pas utiles au salut, si elles compromettent un tant soit peu votre intégrité et votre Foi en Jésus-Christ.


                                                                                                                        Les guérisons et miracles


La Bible nous enseigne que beaucoup guériront des malades au nom du Seigneur Jésus, mais seront rejetés. Par conséquent, les miracles de guérison observés lors des apparitions mariales ou pendant toute forme de prière ne portent pas forcément l’approbation de Dieu. Dans l’accomplissement d’un miracle, il faut reconnaître que ce n’est ni votre pouvoir, ni Votre Sainteté qui se manifeste, mais tout simplement La Parole de Dieu qui produit des fruits en sa saison. Car, avec un peu de foi, un ordre donné au nom du Seigneur Jésus peut avoir des effets surnaturels. De même, la maladie n’est rien d’autre que la conséquence du péché, autrement, un outil de Satan. Adam et Ève n’ont jamais connu la maladie avant la chute. Tous ces malheurs sont apparus avec Satan, lorsqu’il fit tomber l’homme dans l’insubordination. Les maladies sont les armes de Satan, et puisqu’il peut donner une maladie, il a aussi le pouvoir de la reprendre et de guérir ainsi la personne concernée. De ce fait, toutes les guérisons miraculeuses de la Madone peuvent être une ruse du Malin, des démons qui chassent d’autres démons pour faire miroiter une guérison de façade. Satan qui fait et défait les liens et qui se présente comme un ange de lumière (cf. 2 Corinthiens 11 : 14-15).


                                                                                                                    Les larmes de sang de Marie


Le Seigneur Jésus fut saisi d’une grande angoisse, juste avant sa passion ; et la sueur qu’il versa était mêlée de sang (Luc 22 : 44). Certains chrétiens, par un excès de ferveur religieuse, affirment qu’il a même versé des larmes de sang. Lorsque son corps fut descendu de la croix, sa mère l’avait tenu dans ses bras et a pleuré. Cette scène bouleversante a inspiré le célèbre artiste italien Michel-Ange qui a taillé une des plus émouvantes statues de Marie connue sous le nom de « la piéta ». Certaines sources catholiques disent que la Vierge Marie aurait versé des larmes de sang ce jour-là sur le corps de son divin fils. Ce dernier fait n’est pas confirmé par La Bible.

Quand bien même il revêtirait un caractère païen et non biblique, le phénomène de larme de sang est réel, et les preuves matérielles abondent. La Vierge Marie, lors de ses multiples apparitions, a déjà pleuré, et du sang coulait de ses yeux. Les stigmatisés ont aussi versé des larmes de sang. Les statues de Marie pleurent et versent aussi des larmes de sang. Du vrai sang humain, selon l’analyse des médecins. Des prières telles que le chapelet des larmes de sang ont été composées pour invoquer les larmes de sang de la Vierge Marie. En voici un extrait : « Oh ! Très Sainte Vierge Marie, je vous offre les larmes de sang de celui qui vous a le plus aimé sur la terre et qui vous aime le plus tendrement au ciel (cinq fois). Oh ! Jésus exauce mes prières à cause des larmes de sang de ta très sainte mère (cinquante fois)… » L’œuvre du salut a été accomplie à la croix lorsque le divin sauveur paya le prix de nos transgressions et déclara : « Tout est achevé ! » (Jean 19 : 30). Les êtres humains sont sauvés, justifiés et sanctifiés s’ils acceptent l’œuvre de rédemption. Les larmes d’une mère ne changeront rien à la destinée des hommes. Si cette femme pleure, cela pourrait cacher une certaine astuce. On se souviendra que pour rivaliser avec Moïse, les magiciens, de connivence avec les divinités égyptiennes, ont transformé les eaux en sang. Puisque ces divinités ont le pouvoir de changer l’eau en sang, elles peuvent aussi verser des larmes de sang à travers les statues mariales. Mon propre témoignage donnait l’exemple d’un démon religieux qui trouvait des motifs pour pleurer et sangloter au-dedans de moi, alors qu’en fait, il pleurait sa mort prochaine. À mon avis, les larmes de sang sont une tromperie de l’ennemi qui se joue de nos émotions. Pensez-vous que le Roi des cieux va permettre à sa bien-aimée mère de venir pleurer partout sur la terre comme une veuve désespérée ?

Tout ce sang versé par les stigmatisés, par les statues de Marie ou par Marie lors de ses apparitions, constitue une forme moderne de sorcellerie. Dieu commanda explicitement aux hommes de ne point tailler d’idoles ou d’images. Les hommes refusèrent et taillèrent des idoles et les idoles se mirent à pleurer du sang. Les hommes persistent davantage dans l’erreur en attribuant ces œuvres à Dieu.

Permettez-moi de vous poser une question : dans toute l’histoire de la race humaine, depuis quand une pierre ou une matière plastique a-t-elle saigné ? Si ces idoles saignent, ne vous trompez pas, elles sont bien vivantes, car elles sont habitées par des êtres invisibles. Un saint ange de Dieu ne s’exprimera jamais dans une idole. Aussi, le Dieu Très Haut s’est clairement démarqué des idoles (Ésaïe 42 : 8) ; et par conséquent, il n’y a aucune chance qu’il se manifeste à travers ces idoles de Marie. Curieusement, pendant que les statues de maman Marie pleurent de chaudes larmes, les idoles hindoues du dieu Ganesh (un homme avec une tête d’éléphant) se mettent à boire du lait. Le phénomène appelé « miracle du lait » fut observé par la presse, alors qu’il se produisait dans plusieurs grandes cités telles que New York, Los Angeles, Canada, Kenya… (15). Nous vivons un siècle où les idoles commencent à s’exprimer.

                      

                                                                    3O juin 85 Corée     Mars 203 Venezuela     14 Juillet 2012  New Delhi           Miracle du lait                                                                                                         

                                                                                                      Le signe de l’adversaire


Une semaine avant que je ne reçoive les premières apparitions du Seigneur Jésus dans le catholicisme, j’ai fait un rêve banal qui, par la suite, fut révélateur d’un principe divin : un gros serpent d’environ un mètre de long m’a pourchassé jusqu’à ce que je me hisse sur un rocher. Alors, ce serpent rabougri a tourné trois fois autour de moi. Après avoir bouclé un tour du rocher, de sa gueule, il creusait un trou à mes pieds, et y enterrait quelque chose. Quelque temps après ce rêve, commencèrent les apparitions de Jésus-Christ. Quelquefois, lorsque je priais durant de longues heures, je voyais un gros serpent qui s’éloignait de moi. De même, pour ma délivrance, les marabouts d’Afrique m’avaient ordonné de faire trois fois le tour du marché avec un objet enfermé dans mon poing gauche, puis de l’offrir en sacrifice. Curieusement, lorsque j’ai rencontré le premier pasteur pentecôtiste aux USA, pendant la prière de délivrance, avant que je ne lui dise quoi que ce soit, il esquissa le même cérémonial : il m’a dit de fermer mon poing gauche, de maintenir le poing droit ouvert, de fermer les yeux et de me consacrer à Jésus-Christ. À ce même moment, il tourna lui aussi trois fois autour de moi dans le sens contraire des aiguilles d’une montre, et lança un cri de guerre : « Crac ! », un peu comme s’il cherchait à briser un lien. À la fin de la prière, il m’annonça qu’il a vu un serpent pendant la prière. Il n’y a pas de doute, le Malin m’avait scellé pour son œuvre. Je l’ai vu, les marabouts l’ont vu, le pasteur pentecôtiste l’a vu et a tenté de briser ce lien. Les pasteurs qui ont prié pour ma délivrance, après de longues intercessions qui auront duré des années, ont fait mention de ce serpent (www.gbalima.com). Curieusement, lorsque les divinités égyptiennes ou de l’Inde se présentent, on observe le serpent à leur côté. Le serpent est le symbole du Malin, et dans les apparitions de la Vierge Marie à Sainte Catherine Labouré, sur la médaille miraculeuse, on voit bien un serpent aux pieds de la Vierge Marie. À travers la catéchèse et les cantiques mariaux, l’Église catholique dira, à tort que c’est la femme qui a écrasé la tête du serpent, et c’est ce qui explique la présence d’un serpent aux pieds de Marie. Encore une excuse ! Cependant, il y a une grosse erreur dans cet enseignement reçu dans le catholicisme, laquelle a donné naissance à des interprétations erronées. En effet, toutes les versions de La Bible que nous avons en notre disposition enseignent clairement que c’est la descendance de la femme qui écrasera la tête du serpent (Genèse 3 : 15). Cette prophétie s’est réalisée lorsque le Christ mourut sur la croix pour détruire les œuvres du Malin. La présence du serpent aux pieds de Marie devra alors trouver une autre explication pour être crédible. En ce qui me concerne, j’ai vécu une expérience différente, et les conclusions auxquelles je suis parvenu sont différentes : le fait que le serpent ancien, l’ennemi juré du Dieu de La Bible, apparaisse aux pieds de Marie est une confirmation que les apparitions mariales sont de type satanique.

                                                                                                  Les deux vierges Maries du christianisme


Cet ouvrage en dit long sur les origines sulfureuses des apparitions de la Vierge Marie. L’objectif est de vous aider à ne pas tomber dans un piège du diable. Mais s’il arrive que des religieuses de l’Immaculée Conception ou des fanatiques du culte marial opposent toujours une résistance farouche à ma plaidoirie, ce dernier exemple devrait les désarmer. Il s’agit d’une preuve indéniable démontrant clairement que la dame vénérée dans le catholicisme n’est pas la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. En effet, la toute première apparition mariale a eu lieu du vivant même de la vierge Marie, dans des conditions nébuleuses qui incitent à la réflexion. Tout a commencé le 02 Janvier 40. À cette date précise, au moment où la mère de Jésus vivait à Jérusalem auprès des apôtres, une dame, une autre Vierge Marie dénommée « Nuestra Sefiora Del Pilar » (Notre Dame du Pilier), totalement inconnue des apôtres et accompagnée de milliers d’anges apparurent à Saint Jacques à Saragosse en Espagne. Curieusement, Saint Jacques dont on prétend faussement qu’il a eu cette fameuse apparition historique ne l’a pas mentionnée dans son épître, et le livre des Actes des Apôtres n’en fait pas cas non plus. Seule la tradition de l’Église catholique enseigne sur ces phénomènes.

J’ignore ce que pensent les autres enfants de l’Église catholique sur cette mystérieuse apparition. Mais moi, votre ancien frère dans la foi, je constate clairement et sans confusion qu’il y a eu plutôt deux femmes différentes, répondant toutes du nom de « Vierge Marie », et qui se sont manifestées simultanément au début de l’ère chrétienne. La première dame fut la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Elle est éternellement bienheureuse et elle était un être humain (fille de Joachim et de Anne). Elle résidait auprès de l’apôtre Jean à Jérusalem. Elle offrait son soutien modeste aux apôtres qui s’efforçaient de poser les bases de l’Église primitive, ce, malgré les embûches et les persécutions. Elle n’a jamais fait de miracles. En un mot, elle est l’authentique Vierge Marie, l’humble fille de Nazareth annoncée dans La Bible. Au même moment, il y eut une autre Vierge Marie, cette fois-ci, un être spirituel accompagné de milliers d’anges, et qui apparurent à Saint Jacques. Cette autre Vierge Marie était superpuissante. Elle opéra des miracles hors pair au point de faire pousser une jambe amputée. Elle offrit à Saint Jacques la toute première idole du catholicisme, laquelle devrait être placée dans une chapelle construite en son honneur. Ce fut le début du culte marial dans le catholicisme. Un culte idolâtrique et démoniaque (18).

 

                                               
                                                                                                  Le serpent aux pieds de Marie / La première idole du catholicisme /L’assomption de Marie  /(Notre Dame du Pilier)     

                                                                                                  Satan, peut-il recevoir les prières adressées à Dieu ?

Peut-on prier Dieu et être exhaussé par un démon ? S’il s’agit du Dieu d’Abraham, la réponse est oui. Parce que c’est un Dieu qui sait boucher ses oreilles et refuse ainsi de nous écouter lorsque nous persistons dans le péché. L’histoire du peuple juif est bondée d’exemples de ce type (Ésaïe 1 : 15). Il exige une discipline de fer et exige d’être adoré d’une manière très particulière. Mais si vous violez un tant soit peu le principe par lequel il veut être adoré, alors, il se détournera de vous. Surtout si vous abritez des idoles dans votre maison ou dans vos lieux de culte, comme l’ont fait les Israélites du temps de l’exode, à coup sûr, ce Dieu vous tournera le dos et les démons religieux se joueront de vous.

Pour illustrer le fait que vos prières peuvent être déviées avec succès à l’adresse d’un autre dieu ou d’un démon, je citerai l’exemple d’Isaac et ses deux fils : frappé par le poids de l’âge, le patriarche Isaac avait perdu la vue. Lorsqu’il bénissait Jacob, il pensait, au fond de son cœur, que celui qui se tenait devant lui, était Ésaü, son fils aîné. Alors, il prononça la bénédiction. Mais en réalité, c’était Jacob qui, par la supercherie, a usurpé les bénédictions de son frère. Lorsqu’Ésaü arriva, la chose était irrémédiable et le patriarche Isaac reconnut que Jacob s’était déjà approprié la bénédiction de son frère, et que par conséquent, il restera béni. Comprenez-vous enfin ce fait bizarre ? Une bénédiction ou une prière mal placée va toujours à la mauvaise adresse. Lorsque Ésaü implora une bénédiction quelconque, son vieux père lui répondit qu’il ne pouvait rien faire (Genèse 27). Le monde spirituel possède alors ses lois et ses principes qui échappent à la raison humaine. Il ne s’agit donc pas de prier de votre propre manière. Il faut être sûr de prier selon la bonne manière sinon, c’est le Malin qui recevra votre louange, en lieu et place du Bon Dieu. Si vous pensez que tous les miracles qui s’opèrent dans vos prières sont un signe d’approbation de Dieu, vous vous trompez, car les démons religieux sont aussi de grands faiseurs de miracles.

                                                                                                                 Les noms de Dieu

Au cours de l’histoire tumultueuse de ma vie, il m’est arrivé de consulter les dirigeants locaux de certaines religions, pour régler un problème. Ils m’ont alors donné des noms à réciter. Ces noms sont communément appelés « les noms de Dieu ». Je devais réciter ces noms cent cinquante à deux cents fois, toutes les nuits avant de m’endormir. Il y a environ cinquante noms. Vous verrez autour de vous des gens (certains musulmans) qui, à l’aide d’un chapelet, récitent continuellement un nom, et qui comptent en égrainant leur chapelet. Il y a un nom pour chaque difficulté de la vie, pour les affaires, pour la protection, etc. L’invocation de ce nom est très efficace. Curieusement, ces noms de Dieu ne se trouvent inscrits ni dans la Torah des Hébreux, ni dans La Bible des chrétiens, ni même dans Le Coran des musulmans. En réalité, ce sont des noms d’anges rebelles de Dieu qui se mettent au service des êtres humains.

Lorsque vous observez les objets de cultes récupérés lors des fouilles archéologiques des anciens temples d’Égypte (21), vous retrouverez les mêmes chapelets utilisés dans le catholicisme, dans l’Islam et par certains bouddhistes. La taille des chapelets peut varier suivant les civilisations, mais c’est toujours les mêmes. Je dois avouer que les divinités d’Égypte et de l’Inde ont trouvé le moyen de s’exprimer de nouveau dans ce siècle au travers de nos religions et de nos cultures. En fait, ils ont simplement changé de nom…

                                                                                            Les chapelets des religions au cours des millénaires

                      

                                                                                           Chrétien: dizainier et 7 douleurs/Islamique/Le malla bouddhique ou hindou/Égypte pharaonique

                                                                                    La dame de l’Apocalypse 12, est-elle la Vierge Marie ?

Un grand signe apparut dans le ciel : une femme revêtue du soleil, qui avait la lune sous ses pieds et une couronne de douze étoiles sur sa tête. Elle allait mettre au monde un enfant, et les peines de l’accouchement la faisaient crier de douleurs […]. Quant à la femme, elle s’enfuit dans le désert, où Dieu lui avait préparé une place, pour qu’elle y soit nourrie pendant mille deux cent soixante jours […]. Quand le dragon se rendit compte qu’il avait été jeté sur terre, il se mit à poursuivre la femme qui avait mis au monde un fils. Mais la femme reçut les deux ailes d’un grand aigle pour voler jusqu’à la place préparée pour elle dans le désert, afin d’y être nourrie pendant trois ans et demi, à l’abri des attaques du serpent… (Apocalypse 12).

L’Église de Rome nous a enseigné à travers la catéchèse que cette femme était la Vierge Marie avec son enfant Jésus. Cette doctrine est erronée ou sciemment dispensée afin d’encourager le culte marial. Le livre de l’Apocalypse est un message codé. Le code est un ensemble de signes, de symboles et d’expressions idiomatiques qui sont cependant expliqués dans les pages antérieures de La Bible. Il suffit de retrouver ces symboles à travers les concordances bibliques et la lecture devient digeste et compréhensible.

La femme revêtue du soleil, avec la lune à ses pieds, représente plutôt la nation d’Israël, et les douze étoiles de sa couronne représentent encore les douze tribus d’Israël. C’est par cette nation qu’est venu le Christ, le roi qui fera paître les nations au moyen d’une verge de fer.

    Pour preuve, nous notons qu’au début du chapitre, Jean nous précise qu’il a vu un signe (un symbole qui n’est qu’une représentation graphique, un dessin faisant référence à une similitude, non pas à une réalité matérielle). Ce symbole biblique est expliqué dans le livre de La Genèse : Lorsque l’adolescent Joseph fit son rêve, il le révéla à ses frères, en disant : « J’ai de nouveau rêvé dit-il : le soleil, la lune et onze étoiles venaient s’incliner devant moi. Il raconta aussi ce rêve à son père. Celui-ci le réprimanda en lui disant : Devons-nous, tes frères, ta mère et moi-même, venir nous incliner jusqu’à terre devant toi ? » (Genèse 37 :9-11). La femme enveloppée du soleil, avec la lune à ses pieds, représente donc la nation d’Israël. Dans son rêve, Joseph a vu onze étoiles se prosterner devant lui, parce que lui-même représentait la douzième étoile.

Ce chapitre 12 du livre d’Apocalypse prophétise sur le combat final que Satan va livrer contre Israël, pendant la tribulation de sept ans qui s’abattra sur les Juifs, après l’enlèvement de l’Église (la période des troubles de Jacob).

L’enlèvement déclenchera la tribulation et Satan utilisera les nations qui se ligueront contre Israël, pour le faire disparaitre. Les 1260 jours (3 ans et demi ou 42 mois), pendant lesquels la femme sera nourrie au désert, représentent la première moitié des sept ans de tribulation au cours desquels Dieu secouera Israël son peuple. Lorsque La Bible dit que la femme a reçu les deux ailes de l’aigle pour s’envoler jusqu’au désert, pour être nourrie pendant trois ans et demi (un temps, des temps et la moitié d’un temps), cela représente encore la seconde moitié des sept ans de tribulation au cours desquels Dieu apportera du secours à son peuple. Les deux ailes de l’aigle données à la femme pour s’enfuir au désert est un autre symbole biblique qui signifie secourir. En effet, lorsque Dieu sauva les enfants d’Israël de la main des égyptiens, en les conduisant vers lui au Sinaï, voici ce qu’il déclara plus tard : Vous avez vu vous-mêmes ce que j’ai fait à l’Égypte : je vous ai portés sur des ailes d’aigle et fait venir vers moi (Exode 19 :4 La Bible Thomson). Tout comme Dieu a nourri Israël dans le désert pendant les quarante ans d’exode, tout laisse croire que, pendant la grande tribulation des sept ans, il conduira de nouveau son peuple au désert. Il le protégera, le nourrira et le délivrera de la main des exterminateurs (Satan et les mouvements antisémites qui s’acharneront sur Israël).

La femme ne représente pas l’Église, comme le prétendent certaines personnes, car en ce moment-là, l’Église aura été enlevée.